Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 16

  • Le Coca Cola… positif au Covid-19

    Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2020

    Le Coca Cola… positif au Covid-19

    Le jeudi 11 décembre, un député autrichien, Michael Schnedlitz, en pleine séance au Parlement, à Vienne, a amené un verre de Coca-Cola et un test. Après avoir versé une goutte sur la bandelette, il assure que le résultat est positif. “Nous avons un problème : il y a un cas de coronavirus à la chambre”, ironise-t-il, brandissant le résultat devant les élus. Avant de conclure que ces tests, utilisés en Autriche dans une très large campagne de dépistage au Covid-19, étaient en réalité inefficaces. Et auraient permis de gonfler les chiffes des personnes positives.

    Le laboratoire Dialab, fabricant le produit, juge au contraire que l’élu a mal réalisé le dépistage.

    Et “en même temps”, voici ce que me transmet un élu municipal : l’arrêt immédiat d’utilisation d’un test, qui s’est déclaré non fiable

    Voilà qui est rassurant…

     

    Source : lesalonbeige

  • Islamisme : « la République française n’est pas la solution à nos problèmes, elle est le problème »

    Publié par Guy Jovelin le 15 décembre 2020

    « Lorsqu’elle a voulu montrer sa suprématie sur la religion catholique, la République a décroché toutes les croix des murs, a utilisé la force pour déloger de leurs congrégations des communautés de bonnes sœurs et de frères désarmés, a pris possession des églises et en a bradé le mobilier, a établi le règne des Droits de l’homme athée contre la foi et contre le Christ. Sans sourciller une seconde.

    Lorsqu’elle veut, ou lorsqu’elle prétend vouloir freiner l’appétit d’un islam conquérant devenu vorace, elle refuse d’utiliser le mot «islam» afin de ne pas offenser les musulmans.

    Rappelez-vous simplement qu’après les lois de séparation, sur les places des villages, l’officier public, mandaté par la République, organisait des ventes sauvages des objets de culte auprès desquels s’étaient recueilli plusieurs siècles de vos ancêtres. Que l’on a retrouvé, sur les étals des brocanteurs, des statues qui avaient passé 300 ans, parfois plus, dans les églises de nos aïeux. Ce vandalisme légal, cette boucherie, cette profanation, la République les assume impeccablement, je le redis : sans sourciller.

    Et maintenant, il faut à cette République profanatrice vingt attentats pour commencer à envisager la fermeture administrative, pour quelques mois seulement, d’une mosquée fanatique.
    Et lorsqu’il s’agit pour elle de répondre à la conquête de nos territoires par l’islam, elle refuse même de citer seulement son nom.
    La République française n’est pas la solution à nos problèmes, elle est le problème. »

    de Jonathan Sturel

  • Au-delà du negru

    Publié par Guy Jovelin le14 décembre 2020

    Au-delà du negru

     

    Il aura suffit qu’une vingtaine de privilégiés se mette à bouder dans un stade vide pour que ce que la France compte de pleurnichards antiracistes essaie de refourguer ses fables d’une société blanche raciste et anti-noire. Une société blanche qui devrait faire amende honorable et courber l’échine face aux stupides thuriféraires de la pleurniche éternelle du gentil homme noir persécuté par le méchant homme blanc.

    Je ne reviendrai pas sur le fond de l’affaire, le milieu nationaliste a déjà fait toutes les bonnes analyses et notamment Thomas Joly dans sa dernière vidéo.

    Ce qui m’intéresse, c’est de me pencher sur la mauvaise foi et le tas de mensonges sur lequel la propagande pro-noire anti-blanche s’appuie.

    Tout d’abord la mauvaise foi, elle est criante dans le cas de cette faire entre l’arbitre Sebastian Coltescu et l’histrion islamiste Demba Ba, qui reprochait à ce dernier d’avoir traité Pierre Webo de négro. L’arbitre a seulement désigné dans sa langue roumaine Pierre Webo comme « un noir », « negru », ce qui est effectivement le cas. On a donc ici une histoire de racisme imaginaire monté de toutes pièces par un débile analphabète pour qui noir est une insulte : Demba Ba. Pourtant, sans parler du terme de négro qu’ils utilisent entre eux, les noirs s’appellent noirs et c’est bien normal, c’est par exemple le cas quand Thuram parle de ses « étoiles noires » ou quand les noirs américains appellent leur mouvement politique identitaire « black lives matter », littéralement : « les vies noires comptent ». Le problème n’est donc pas là.

    Le fond du problème, c’est que les noirs militants politiques, c’est le cas de Demba Ba, sont tellement incapables de trouver du racisme dans les sociétés blanches qui ont fait d’eux des stars, qu’ils deviennent ivres d’hystérie quand ils croient en déceler, ce qui leur permet d’enfin laisser éclater leur haine des blancs basée sur des mensonges. Le cas de l’intervention stupide de Demba Ba et des autres joueurs de balle au pied a engendré un lynchage médiatique planétaire à l’encontre de Sebastian Coltescu, qui a été la victime de la gigantesque et fanatique meute politiquement correcte, condamné et socialement assassiné avant même qu’aucun magistrat n’ait pu se pencher sur un éventuel soupçon de racisme avéré. L’injustice de l’émotion a jugé et frappé.

    Les mensonges sur lesquels la haine anti-blanche de ces noirs prospère sont martelés avec force par les historiens carriéristes et gauchistes, relayés par les professeurs qui tiennent à leur poste et les professeurs gauchistes. Il va par exemple s’agir de la légende de l’esclavage européen, alors que non seulement les Européens sont les derniers à être entrés dans ce commerce et que ce sont les premiers à l’avoir aboli ! Et les militants identitaires noirs qui font semblant de prendre les blancs comme l’alpha et l’oméga de l’esclavage font comme si les blancs n’avaient jamais été eux-mêmes des esclaves, alors que les récits historiques regorgent au contraire de cas de blancs, de slaves, vendus par des juifs à des musulmans. On ne compte pas les exemples où l’Eglise s’est démenée pour racheter des esclaves chrétiens afin de leur rendre leur liberté.

    Mais l’objet de cet article n’est pas de proclamer ouin ouin nous aussi on a souffert, nous aussi on est des victimes. Tous les peuples ont connu des hauts et des bas, et les peuples qui veulent aujourd’hui utiliser la pleurniche pour combattre les blancs doivent savoir qu’ils trouveront toujours les nationalistes sur leur route pour contrecarrer leurs mensonges, et que la vérité finit toujours par triompher.

    Amis européens, formez-vous, informez-vous, brisez les chaînes du mensonge de l’histoire officielle et de l’Education nationale. Notre Seigneur nous l’a déjà dit : « la vérité vous rendra libres » ! Ne laissez rien passer à la bêtise crasse des militants antiracistes. Nous vaincrons !

  • La prime de Noël versée à partir de mardi à 2,5 millions de foyers bénéficiaires de minimas sociaux

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2020

    La prime de Noël sera versée mardi et mercredi aux bénéficiaires de certains minimas sociaux : RSA (Revenu de solidarité active), ASS (chômeurs de longue durée), AER (allocation équivalent retraite). Son montant reste inchangé depuis 2009 : elle va de 152,45 euros à plus de 400 euros, selon les situations.

    C’est un coup de pouce bienvenu accordé par l’Etat aux bénéficiaires de certaines allocations sociales. Quelque “2,5 millions de ménages aux revenus modestes“, selon le ministère des Solidarités, bénéficieront à partir de mardi de la prime de Noël. Cette aide existe depuis 1998 ; elle avait été mise en place par le gouvernement de gauche conduit par Lionel Jospin. Son montant est inchangé depuis 11 ans.

    Dans les deux cas, aucune démarche n’est à faire, la prime étant versée automatiquement. Les bénéficiaires de l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), de l’allocation aux adultes handicapés (AAH) ou de la prime d’activité ne sont pas concernés par cette mesure. La prime de Noël complète deux aides exceptionnelles d’urgence décidées pendant la crise sanitaire, accordées cette année en mai puis à en novembre aux ménages les plus modestes.

    Le JDD via fdesouche

  • Un tiers des policiers du département de l’Isère demandent une rupture conventionnelle

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2020

    Un tiers des policiers du département de l’Isère demandent une rupture conventionnelle

    182 fonctionnaires de police du département de l’Isère ont demandé à quitter la police. D’autres démissions pourraient suivre un peu partout en France. Un geste symbolique ou sérieux ?

    Les demandes de ruptures conventionnelles de 132 policiers grenoblois, qui entendent protester contre le “lâchage” présidentiel de la police, ont été déposées lundi matin en préfecture.

    “Il faut que le préfet fasse remonter l’exaspération de tous mes collègues isérois, mais aussi de tous les policiers en France”, a déclaré à la presse le secrétaire départemental du syndicat Alliance, Yannick Biancheri, en présence d’une trentaine de policiers en tenue venus soutenir l’action.

    www.sudouest.fr via fdesouche