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  • Affaire Epstein : le Français Jean-Luc Brunel en garde à vue depuis mercredi

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    L’agent de mannequins français Jean-Luc Brunel, accusé de viols par plusieurs anciens top models, est en garde à vue depuis mercredi, a-t-on appris jeudi auprès du parquet de Paris. Selon une source proche du dossier, il a été interpellé à l’aéroport de Roissy alors qu’il s’apprêtait à prendre un avion pour Dakar.

    Nouveau rebond dans l’affaire Epstein. L’agent de mannequins français Jean-Luc Brunel, un proche du milliardaire américain Jeffrey Epstein accusé de viols par plusieurs anciens top models, a été interpellé mercredi à Roissy et placé en garde à vue, a appris jeudi l’AFP de sources concordantes. Le septuagénaire a été placé en garde à vue pour viols et agressions sexuelles, notamment sur mineurs, harcèlement sexuel, association de malfaiteurs et traite des êtres humains, a confirmé le parquet de Paris. Selon une source proche du dossier, il a été interpellé à l’aéroport de Roissy alors qu’il s’apprêtait à prendre un avion pour Dakar.

    www.europe1.fr via fdesouche

  • Belgique : le Palais des beaux-arts célèbre la naissance de Ludwig van Beethoven

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    Bozar


     

    Source : fdesouche

  • Création d'un passeport sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    Sous l'œil bienveillant du Premier ministre, le groupe UDI a proposé à l'Assemblée nationale la création d'un passeport sanitaire établi après vaccination contre le COVID, document sans lequel il serait impossible de se rendre dans un restaurant, un cinéma, un théâtre, un musée, de prendre l'avion et sans doute le train.
    C'est la version française du passeport interne soviétique et de la propiska.
    Les réfractaires seront mis au ban de la Nation, les dissidents condamnés à la mort civile, et un jour ou l'autre, les déviants internés dans une psikkushka. Dictature sanitaire, Beria pas mort.
    JFT.
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  • Covid-19 : l’horreur progressiste démasquée.

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    Depuis le début de la pandémie, le  est le mot qui revient à chaque fois à la charge pour justifier toutes les mesures de  et autres, au nom de la préservation de la santé, du caractère sacré de la vie. Thème récurrent du progressisme, que l’on retrouve d’ailleurs dans des pays comme Cuba qui, bien que très pauvre, et totalement privé de toute liberté, est doté d’un système de santé que bien des pays peuvent lui envier.

    covid-19,l'horreur progressiste démasquéeSi le premier confinement pouvait se justifier par l’effet de surprise, la méconnaissance du virus, l’impréparation de notre système de santé, le même argument ne tient plus aujourd’hui. Les mesures liberticides d’ampleur exceptionnelle prises en France, bien plus sévères que partout ailleurs, ne se justifient que par l’incompétence de ce gouvernement à adapter notre système de santé au risque, alors qu’il a disposé de huit mois pour améliorer les capacités hospitalières ! Il a gaspillé ce temps et, aujourd’hui, ce sont les Français qui paient au prix fort les pots cassés de ses errances.

    Progressisme signifierait protection de la santé : oui, mais visiblement pas pour toutes les pathologies. Car si les statistiques nous font un état précis quotidien de la mortalité due au Covid-19, personne ne nous parle des décès liés à des reports de soin, d’examen, pour les autres maladies. Très peu nous parlent de mal-être des Français : il y aurait un doublement des cas de dépression nerveuse. La tristesse et la détresse s’installent dans nos populations. Et il y a de quoi. De nombreuses professions se voient interdites de travailler, d’exploiter leur commerce, de gagner leur vie : restaurateurs, exploitants de salles de cinéma, de spectacle, de discothèque, et bien d’autres. Ces gens se voient privés de revenu, accablés par les charges et les crédits, dépossédés de leur droit fondamental à travailler : ils sont des centaines de milliers en France. Ils sont au bord de la rupture économique, sociale, familiale, psychique, mais pour eux, le progressisme ne compte pas : ils n’ont qu’à faire comme tout les assistés, attendre patiemment que le gouvernement daigne leur débloquer des aides qui ne couvrent même pas 20 % de leurs besoins… Pas grave, ils ne sont pas essentiels, nous dit-on…

    Des humoristes « progressistes » salariés du service public ont même été jusqu’à se moquer d’eux, les « chouineurs »… Les vieux n’ont, eux, qu’à rester à l’isolement, et tant pis s’ils meurent de chagrin. Pour les jeunes, pas de travail, pas de cours à l’université, pas de sortie, pas de distraction, pas le moindre job en vue en cette période de récession sans précédent : ne vous plaignez pas, le pouvoir vous sauve la vie, et celle de vos aînés…

    Cette année, la dépense publique en France va atteindre les 63 % du PIB : un score inégalé, digne de la Hongrie ou de la Pologne au temps du bloc soviétique. Mais peut-être est-ce là le vrai but recherché par le « progressisme » qui, depuis Marx, s’oppose au « populisme » réactionnaire des petits propriétaires ? Pendant que Macron et sa bande versent des larmes de crocodile sur les indépendants, ce sont Amazon et les GAFAM qui se frottent les mains de sa politique. Que deviendront nombre de commerces et restaurants poussés à la faillite ? Nombre d’entre eux seront probablement, demain, la propriété de grands groupes, grandes banques qui les rachèteront à la casse.

    Doit-on vivre seulement pour ne pas mourir ? C’est le choix qu’un régime comme celui de Cuba a proposé à son peuple. C’est un choix que le progressisme nous impose aujourd’hui sans nous permettre d’évaluer le pour et le contre. Comme il nous a déjà imposé le libre-échangisme, l’immigration de masse : à chaque fois, on nous pousse dans un sens précis sans nous permettre d’évaluer sérieusement les tenants et aboutissants. Après nous avoir dépouillé de nos usines, de nos emplois, de notre identité, de notre sécurité, voilà qu’on veut s’emparer de nos libertés et de ce qu’il nous reste de patrimoine. Mais rassurez-vous, c’est pour notre santé que le gouvernement progressiste agit ainsi…

     

    Olivier Piacentini

    Ecrivain, politologue
     
  • La Hongrie adopte l’amendement : « La mère est une femme, le père est un homme »

    Publié par Guy Jovelin le 17 décembre 2020

    La Hongrie de Viktor Orban maintient sa ligne politique et sociale en défense de la famille traditionnelle. Le Parlement a accentué son offensive contre l’idéologie LGBT, à travers un paquet législatif qui inscrit le « genre » dans la Constitution et interdit de facto l’adoption aux couples de même sexe.

    « La mère est une femme, le père est un homme », décrète un amendement à la loi fondamentale approuvé grâce au soutien des députés de la majorité, selon le site officiel de l’Assemblée. Ce texte, déposé le mardi 10 novembre,  définit le sexe comme étant uniquement celui de la naissance, et ajoute : « L’éducation est assurée conformément aux valeurs fondées sur l’identité constitutionnelle et la culture chrétienne » du pays.

    Dans son argumentaire, le gouvernement justifie cet amendement par la nécessité de « protéger l’enfant contre les possibles interférences idéologiques ou biologiques » du monde occidental moderne.

    Le Parlement a en outre voté une loi autorisant seulement les couples mariés à adopter des enfants, ce qui exclut en pratique les homosexuels, qui n’ont pas le droit de s’unir en Hongrie. Des dérogations peuvent être accordées dans des cas exceptionnels.

    Depuis le mois de mai, il est déjà légalement interdit d’inscrire un changement de sexe à l’état civil dans ce pays d’Europe centrale, membre de l’Union européenne (UE).

    Dès son arrivée au pouvoir, Orban a fait réécrire la Constitution afin d’y inclure une clause définissant « l’institution du mariage comme l’union entre un homme et une femme ». La pression s’est intensifiée en 2018, quand il a promis une « nouvelle ère » culturelle.

    La Hongrie, membre de l’Union Européenne depuis 2004, a également retiré l’accréditation officielle des études de genre.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source  medias-presse.info