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  • Esther Benbassa veut la fin des tests osseux pour les mineurs étrangers isolés qui «bafouent l’intérêt supérieur de l’enfant»

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2020

    Dans une tribune que publie le JDD, Esther Benbassa, sénatrice écologiste de Paris, dénonce un des problèmes liés à l’accueil des migrants en France : les tests osseux pour les mineurs étrangers isolés.

    Les problèmes que pose l’accueil des migrants en France ne sont pas nouveaux. Le délogement très violent des tentes de migrants sans abri installés à la place de la République en guise de protestation n’en a été qu’une illustration de plus. Et quand on examine le budget ‘asile, immigration, intégration’ pour 2021, on constate que la mission ‘lutte contre l’immigration irrégulière’ est en nette progression. L’objectif est toujours de dissuader les migrants de rejoindre notre pays. Or on devrait savoir que lorsqu’une personne décide d’émigrer, ce ne sont pas les obstacles mis en travers de sa route qui l’empêchent de le faire. […]

    Ces tests consistent en une radiographie du poignet et de la main gauches. C’est le moyen le plus souvent utilisé par les tribunaux. Cette radiographie est ensuite comparée à des planches d’images de squelettes de la main et du poignet gauches modélisés dans les années 1930-1940 aux États-Unis, auprès d’un millier de jeunes adolescents américains des deux sexes, caucasiens, issus des milieux aisés de l’époque – l’Atlas dit de Greulich et Pyle, du nom de ses deux inventeurs, conçu à l’origine pour suivre l’évolution d’enfants atteints de troubles endocriniens. C’est cette méthode qui est utilisée dans les tribunaux en France pour connaître l’âge osseux des migrants qui se déclarent mineurs. Les études ont démontré l’inadéquation de ces images lorsqu’elles sont appliquées à une population subsaharienne. […]

    Il est grand temps que la France s’engage dans une politique d’accueil décente et cesse, en cette période de pandémie grave, de continuer à bafouer l’intérêt supérieur de l’enfant et la dignité des personnes migrantes.

    Le JDD via fdesouche

  • Une théorie monétaire moderne qui nous conduit à la pire des catastrophes

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2020

    synthesenationale

    la pire des catastrophe,théorie monétaire moderne

    Marc Rousset

    En France, la situation n’est pas brillante puisque le gouvernement drogue tout le monde avec de l’argent public emprunté au lieu d’entreprendre les nécessaires réformes structurelles. Les dépenses publiques vont représenter, en 2020, 63,6 % du PIB, contre 55,6 %, en 2019, chiffre le plus élevé de tout l’OCDE.

    La Société générale continue sa descente aux enfers en fermant, prochainement, 600 agences bancaires lors de la fusion avec le réseau bancaire du Crédit du Nord. Une crise bancaire n’est pas à exclure en 2021, la France devant s’adresser à l’Allemagne pour permettre à la BCE d’émettre encore davantage d’euros afin de renflouer son système bancaire exsangue, suite aux trop faibles marges bancaires provoquées par la baisse des taux d’intérêt et à l’augmentation des créances douteuses.

    La nécessaire réforme des retraites est reportée aux calendes grecques, tandis que les entreprises zombies et les faillites, malgré les bas taux d’intérêt, vont déferler sur la France en 2021. L’État a, en effet, garanti jusqu’à 300 milliards d’euros de prêts, contre 40 pour l’Allemagne et 60 pour le Royaume-Uni. Quant aux comptes publics, ils vont encore davantage se dégrader, avec une dette publique et un déficit qui seront bien supérieurs aux 122,4 % et 8,5 % du PIB annoncés par Bercy. L’Italie, elle, sera au minimum à 160 % du PIB.

    Aux États-Unis, la forte augmentation des contaminations au Covid-19 va de pair avec la forte augmentation du chômage. En novembre, seulement 5,8 millions d’Américains étaient au chômage, mais 19 millions d’Américains ont épuisé leurs droits et vivent, désormais, grâce aux seules aides mises en place en mars 2020 par le gouvernement fédéral. Le ratio dette/PIB, qui était d’environ 40 % en 1970, pourrait être de 200 % en 2021.

    La Fed a annoncé depuis longtemps qu’elle ne relèverait pas les taux courts tant que le chômage n’aurait pas baissé suffisamment, mais l’élément nouveau radical est la nomination prochaine par Biden, au Trésor, de Janet Yellen, ancienne présidente de la Fed, adepte de la théorie monétaire moderne, qui va ouvrir toutes grandes les vannes des dépenses publiques et de la fausse monnaie créée par la Fed. Les deux piliers de la théorie monétaire moderne (TMM) sont la fusion de fait entre le Trésor et la Fed, ainsi qu’une dette illimitée. Il se trouve que le Japon a effectivement une dette de 250 % du PIB, sans croissance depuis trente ans, mais sa dette est détenue par des Japonais alors que la dette des États-Unis est détenue par des investisseurs étrangers.

    La dette des États-Unis se terminera par une perte de confiance, une hausse des taux et l’effondrement du dollar, de Wall Street et de l’économie américaine. Augmenter une dette pour investir avec des investissements productifs porteurs de croissance forte se justifie, mais dépenser à fonds perdus en distribuant de l’argent emprunté pour boucher les trous ne peut conduire qu’à de nouveaux impôts, à l’hyperinflation et au défaut de paiement. Les seuls exemples concrets de TMM sont le Venezuela, le Zimbabwe et l’Allemagne en 1923.

    Quant à la BCE, elle pratique la TMM sans le dire, avec l’Allemagne et les pays du nord de l’Europe comme seul frein moral. Christine Lagarde a prolongé de neuf mois et augmenté de 500 milliards d’euros son « bazooka » PEEP (programme d’achat urgence pandémique) jusqu’en mars 2022, soit 3,3 milliards d’obligations par jour, soit 1.850 milliards d’euros, en plus des opérations de refinancement à plus long terme ciblées (TLTRO) et des vingt milliards mensuels du QE (Quantitative Easing). La BCE rachète actuellement les trois quarts des dettes émises par la zone euro, c’est-à-dire qu’elle pratique en fait la monétisation interdite par les traités et ses statuts. Ce sont cette potion magique et les taux d’intérêt ridicules et négatifs de -0,432 % pour la France, -0,635 % pour l’Allemagne et 0,4449 % pour l’Italie qui expliquent les bulles sur les marchés des actions.

    En Allemagne, la question se pose déjà de mettre un frein sur les dépenses. Les débats vont faire rage en 2021 avec l’impossibilité de basculer dans l’austérité, jusqu’à l’hyperinflation ou à ce que tout explose en 2022, suite à la perte de confiance, comme aux États-Unis.

    Boulevard Voltaire cliquez ici

  • Vade retro, Vaccinas !

    Publié par Guy Jovelin le 14 décembre 2020

    synthesenationale

    pfizer,vaccin

     

    La chronique de Philippe Randa

    La Grande-Bretagne est depuis le 2 décembre le premier pays au monde à autoriser l’utilisation du vaccin Pfizer et BioNTech, basé sur une technologie innovante dite à ARN messager… ce qui a déclenché la colère de l’ancien Vice-Président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, qui estime, lui, que la pandémie est terminée et qu’elle peut donc être facilement gérée par un service de santé national en bon état de fonctionnement : « Je n’ai jamais entendu un tel non sens à propos des vaccins. On ne vaccine pas les personnes qui ne sont pas considérés à risque. De même, vous n’envisagez pas non plus de vacciner des millions de personnes en bonne santé avec un vaccin qui n’a pas été soigneusement testé sur les humains. »

    Sur le site Lockdown sceptics, il s’en prend tout particulièrement au SAGE (Scientific Advisor Group for Emergencies), l’agence scientifique qui conseille le gouvernement du Royaume Uni et a notamment incité au funeste confinement : « Le SAGE soutient que tout le monde était susceptible d’être infecté, alors que seulement 7 % de la population l’a été. C’est tout à fait incroyable ! Ils ont ignoré tout ce qui est connu dans le domaine de l’immunologie sur les virus respiratoires. De même, ils n’ont rien vu ou ont rejeté un travail d’excellente qualité de nombreux immunologistes cliniciens de renommée mondiale qui ont montré qu’il y a environ 30 % des gens qui, au départ, sont déjà immunisés » (Déclaration peu reprise, sinon par le National Herald of India).

    Et d’ajouter : « Le SAGE a tort de manière évidente sur un point crucial en disant qu’il n’existe pas d’immunité de base, alors que cette immunité se situe autour de 30 % (et si vous incluez les jeunes enfants, cela monte à près de 40 % d’immunité – bien que nous devrions davantage parler de résistance que d’immunité). Et en prenant en considération la réalité de l’immunité collective, quand la susceptibilité d’être infecté par le virus tombe aussi bas, entre 28 % et 35 %, cette population ne peut plus être considérée comme l’agent d’une quelconque flambée épidémique et ainsi le virus décroît et disparaît. »

    En France, un Français sur deux est opposé à la vaccination que nous a promis Emmanuel Macron pour la mi-décembre. Annoncée, certes, mais qu’on s’en réjouisse ou qu’on s’en inquiète, les annonces d’un gouvernement, c’est comme leurs promesses : elles n’engagent que ceux qui y croient…

    EuroLibertés cliquez ici

  • Droit : Des cursus “migrations” ouvrent dans les universités. “40% de l’activité du droit administratif concerne les étrangers”

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2020

    La complexité du droit des étrangers et le nombre croissant de contentieux devant les tribunaux suscitent le développement de formations spécialisées, destinées aux juristes et aux associations.

    Le droit des étrangers se complexifie et le nombre de contentieux explose. Pour former des professionnels, avocats, magistrats, bénévoles associatifs ou agents de collectivités, des formations sur les questions migratoires voient le jour dans les universités. À la rentrée 2020, un diplôme universitaire (DU) Droit de l’asile a ainsi été ouvert à l’université Paris 2 Panthéon Assas, ainsi qu’un parcours « migrations studies » en master à l’École normale supérieure de Lyon.

     Le poids du droit européen est de plus en plus important, il y a des réformes tous les deux ans, en moyenne, sur le droit des étrangers. Donc, il y a une expertise juridique à avoir dans le domaine , explique à l’AFP Julian Fernandez, initiateur du DU de Paris 2.

    40 % de l’activité des tribunaux administratifs

     Dans les grandes universités du monde entier, il y a des migrations studies, des profs de droit de l’immigration. On avait clairement un retard sur ça » , assure Serge Slama, professeur de droit public.

    (…) Ouest-France via fdesouche

  • Bruxelles – Une activité subventionnée interdite aux Blancs et aux hommes hétérosexuels

    Publié par Guy Jovelin le 13 décembre 2020

    Belgique – Jeudi soir, à Bruxelles, le collectif féministe et indigéniste Imazi.Reine co-organisait avec le Centre régional du Libre Examen et la Maison du Livre une discussion virtuelle autour du thème “Pour une convergence des luttes non consensuelle. Entre antiracisme et misogynie, qu’en est-il de nos hommes ?“.

    Cet événement partagé sur Facebook a provoqué un certain tollé. En effet, sur la page de l’événement Facebook était indiqué ceci:

    “Safe-space en non-mixité sans hommes cisgenre-hetero (oui aux mecs queer, oui aux personnes non-binaires) et sans personnes blanches”

    Cette activité était donc interdite aux Blancs et aux hommes hétérosexuels.

    Même un élu communal d’origine immigrée, Youssef Lakhloufi (MR), a  qualifié cette activité de “dérive racialiste et sexiste soutenue par une partie de la gauche“.

    Il convient de noter que l’association organisatrice Imazi.Reine est soutenue par la commune bruxelloise de Saint-Gilles et d’autres pouvoirs publics.

    Cette réunion virtuelle était d’ailleurs subventionnée par Equal.brussels, la plateforme du gouvernement régional bruxellois pour l’égalité des chances !

    Notons enfin que parmi les organisatrices qui apparaissent en photo, plusieurs sont voilées et musulmanes, ce qui ne les empêchent pas de participer à la propagation de l’idéologie du genre.

     

    Source : medias-presse.info