Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 13

  • L’islamo-gauchisme : mais oui, ça existe dans la « recherche », et pas que dans la « recherche

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    L’islamo-gauchisme : mais oui, ça existe dans la « recherche », et pas que dans la « recherche

    indigènes de la république,islamo-gauchisme

    De Bernard Antony :

    Frédérique Vidal, ministre de l’enseignement supérieur, a eu simultanément la bonne idée de s’inquiéter de la progression de l’islamo-gauchisme universitaire et la mauvaise de ne vouloir l’identifier que dans la « recherche ». Elle a ainsi absurdement demandé au CNRS d’enquêter sur ce phénomène.

    En effet, d’une part, ce n’est pas que dans la « recherche » que l’université est gangrénée, de l’autre le CNRS n’est vraiment pas l’institution la plus épargnée par la subversion de sa finalité à des fins révolutionnaires.

    C’est l’AGRIF qui, la première, il y a maintenant 14 ans, a mesuré l’importance des propos objectivement racistes sous couvert d’antiracisme de l’égérie du PIR (Parti des Indigènes de la République), Houria Bouteldja, et l’a combattue judiciairement.

    Le PIR a été ainsi comme un vecteur central de diffusion des idéologies convergentes « indigénistes », « racialistes » et « décoloniales » se croisant plus ou moins ensuite avec les courants de révolution culturelle venus des campus américains et avec l’impérialisme LGBT.

    Avec un condescendant mépris, Houria Bouteldja, ultra-nationaliste algérienne vivant en France et grâce à la France, a campé sans vergogne son mouvement comme la dernière chance de salut des « Blancs », à la condition que ces derniers, repentants et soumis, le rejoignent sans tarder.

    Elle répondait ainsi à Christine Delphy sur le discours des Indigènes de la République :

    « Le discours ne vous plaît pas…mais prenez-le quand même !

    Ce n’est pas grave, il faut que vous le preniez tel quel ! Ne discutez pas ! Là, on ne cherche plus à vous plaire ; vous le prenez tel quel et on se bat ensemble, sur nos bases à nous ; et si vous ne le prenez pas, demain, la société tout entière devra assumer pleinement le racisme anti-Blanc.

    Et ce sera toi, ce seront tes enfants qui subiront ça. Celui qui n’aura rien à se reprocher devra quand même assumer toute son histoire depuis 1830. N’importe quel Blanc, le plus antiraciste des antiracistes, le moins paternaliste des moins paternalistes, le plus sympa des sympas, devra subir comme les autres.

    Parce que, lorsqu’il n’y a plus de politique, il n’y a plus de détail, il n’y a plus que la haine. Et qui paiera pour tous ? Ce sera n’importe lequel, n’importe laquelle d’entre vous. C’est pour cela que c’est grave et que c’est dangereux ; si vous voulez sauver vos eaux, c’est maintenant.

    Les Indigènes de la République, c’est un projet pour vous ; cette société que vous aimez tant, sauvez-la… maintenant !  Bientôt, il sera trop tard : les Blancs ne pourront plus entrer dans un quartier comme c’est déjà le cas des organisations de gauche. Ils devront faire leurs preuves et seront toujours suspects de paternalisme. Aujourd’hui, il y a encore des gens comme nous qui vous parlons encore. Mais demain, il n’est pas dit que la génération qui suit acceptera la présence des Blancs. »

    Ultérieurement, elle déclara : « Aujourd’hui, le PIR rayonne dans toutes les universités ».

    « Nique la France » du chercheur Saïd Bouamam

    Aux côtés d’Houria Bouteldja s’est illustré l’auteur du livre « Nique la France », le « chercheur » Saïd Bouamama. Sous-titré « Devoir d’insolence », ce bouquin est préfacé par le rappeur « Saïdou » annonçant sa « première bombe artisanale », « en voiles, keffiehs et casquettes à l’envers », sa bombe d’appel aux « anticolonialistes, antisionistes, anticapitalistes »…

    En dos de couverture, Bouamama est présenté ainsi : « un sociologue, docteur en socio-économie, militant engagé dans les luttes de l’immigration pour l’égalité réelle des droits en France. Il est directeur de recherche à l’IFAR (Institut de Formation des Agents de Recherche), située à Villeneuve d’Ascq (59) ».

    En couverture, Houria Bouteldja tend un doigt d’honneur significatif. Tout au long du texte, sur pleines pages, sont plusieurs dizaines de photos de personnages faisant le même geste. En page centrale, l’un d’eux porte un « tee-shirt » : « Solidarité avec les militants d’Action Directe ».

    Le chercheur Bouamama est payé pour ce « travail » de haine antifrançaise par son institut de formation des agents de recherche. Mais on entend ce matin sur France-Inter proférer que l’islamo-gauchisme, ça n’existe pas et surtout pas dans la recherche !

     

    Source : lesalonbeige

  • Macron propose de transférer 3 à 5% des vaccins à l’Afrique : «j’ai plus de 10 millions de nos concitoyens qui ont des familles de l’autre côté de la Méditerranée»

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    Covid-19 : Macron propose de transférer 3 à 5% des vaccins à l'Afrique

    «C’est l’intérêt des Français et des Européens» car «j’ai plus de 10 millions de nos concitoyens qui ont des familles de l’autre côté de la Méditerranée», souligne le président français. «Si on laisse s’installer l’idée que des centaines de millions de vaccins sont en train d’être faits dans les pays riches et qu’on ne commence pas dans les pays pauvres, c’est insoutenable», estime Emmanuel Macron. «C’est plutôt une accélération des inégalités mondiales inédite» et «c’est politiquement insoutenable à terme parce que c’est ce qui permet d’installer une guerre d’influence des vaccins. Et vous voyez bien la stratégie chinoise, la stratégie russe aussi».

    www.lefigaro.fr via fdesouche

  • 83% des jeunes Européennes, âgées entre 16 et 29 ans, évitent certains quartiers et lieux publics, par peur d’être agressées physiquement ou sexuellement

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    Une écrasante majorité des jeunes femmes en Europe évitent certains lieux ou quartiers par crainte d’être agressées ou harcelées, selon un rapport européen publié ce vendredi.

    Par peur d’être agressées physiquement ou sexuellement, ou d’être harcelées, 83% des femmes âgées entre 16 et 29 ans évitent soit de se retrouver seules dans certains endroits, soit de se rendre dans certaines rues ou quartiers, soit de se retrouver isolées avec une autre personne, selon l’étude.

    L’Agence européenne des droits fondamentaux (FRA), basée à Vienne (Autriche), a interrogé 35’000 personnes dans l’Union européenne, au Royaume-Uni et en Macédoine du Nord sur leur perception de la criminalité, de la sécurité et des droits des victimes.

    «Les jeunes femmes en particulier évitent différents lieux par crainte pour leur sécurité. C’est une question importante en termes d’égalité, car elle montre qu’elles ne peuvent pas utiliser les espaces publics de la même manière que les hommes», a déclaré Sami Nevala, l’auteur du rapport.

    20min.ch via fdesouche

  • Trans, féministes, végans… les héros de la Génération Brut ! (DÉCRYPTAGE)

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    ndf

    Trans, féministes, végans… les héros de la Génération Brut ! (DÉCRYPTAGE)

    Dans une série documentaire disponible depuis le 29 janvier dernier sur Prime Video, le média Brut s’essaie au format long. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les producteurs ont annoncé la couleur d’entrée de jeu. Au fil de cinq séries de portraits, Brut nous présente les « héros » de « sa » génération, celle des millenials : végans, féministes, trans, libertins, écolos… Non seulement les reportages regorgent de propagande progressiste, à la limite de la caricature, mais en plus l’exercice est raté. À trop vouloir faire dans l’idéologie, Brut nous sert une production ennuyeuse et sans intérêt. L’occasion pour Christopher Lannes de nous raconter sa douloureuse expérience, un véritable voyage au pays des bobos névrosés :

    Source : TV Libertés

  • Une école contrainte de fermer en raison de l’insécurité

    Publié par Guy Jovelin le 19 février 2021

    Une école contrainte de fermer en raison de l’insécurité

    école primaire catholique,insécurité

    A Amiens, où Brigitte Macron fut enseignante (tout un symbole), l’école primaire catholique Monseigneur Cuminal, située quartier Etouvie, va fermer définitivement. La direction de l’enseignement catholique de la Somme considère que la sécurité des enfants n’est plus garantie. Mais la République est partout chez elle et il n’y a pas de zone de non-droit…

    Certains habitants, dont les logements donnent sur une sorte de grande terrasse située à l’arrière des bâtiments, ont pour habitude de jeter leurs ordures… directement par la fenêtre. Des déchets qui atterrissent parfois dans la cour de l’école. Magali, qui vit dans le quartier depuis plus de vingt ans :

    « Ici, certains jettent de tout par la fenêtre : ça peut aller jusqu’à des frigo ou des machines à laver. Je vous assure, c’est grave ! »

    On trouve des poubelles éventrées, des bouteilles, des couches, des pots de peinture, des jouets, des vêtements. Un des employés de l’entreprise de nettoyage ajoute :

    « Un jour, j’ai failli me prendre un micro-ondes sur la tête. A quelques mètres près, je ne serai plus là pour vous parler. »

    Sylvie Seillier, directrice diocésaine de l’enseignement catholique, précise que la cour de l’école est devenue une poubelle :

    « On trouve souvent des mégots, des bouteilles. Et on a même déjà retrouvé un téléviseur. » « Notre présence ici avait un sens : nous voulions être au service de familles qui ne sont pas les plus favorisées d’Amiens. Mais là, nous n’avions vraiment plus le choix : la sécurité des enfants et du personnel ne peut pas être négligée, c’est notre premier devoir. »

    Dans un communiqué, l’Enseignement catholique de la Somme ajoute que :

    « des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour participent à l’insécurité et empêchent l’école de fonctionner normalement. »

     

    Source : lesalonbeige