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  • Encore une théorie du complot qui se réalise

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2021

    Encore une théorie du complot qui se réalise

    avoir raison trop tôt,théorie du complot

    L’idée selon laquelle le coronavirus a été créé au sein d’un laboratoire chinois à Wuhan a été dénoncé comme une théorie du complot en avril 2020 :

    Une théorie du complot de plus, dans un contexte anxiogène alors que la fulgurante contagion se répand à travers les continents, au grand dam de l’Organisation mondiale de la santé (OMS)

    Elle devient réelle en mai 2021 :

    Longtemps écartée par l’OMS qui la jugeait «hautement improbable», étouffée par les autorités chinoises qui ont tenté de réécrire l’histoire de la pandémie, desservie, voir décrédibilisée par le fait qu’elle a été défendue par l’Administration Trump, l’hypothèse d’un accident de laboratoire refait surface. La France est d’autant plus concernée que c’est elle qui a exporté le P4 de Wuhan, un laboratoire de très haute sécurité biologique, destiné à l’étude des virus pathogènes les plus dangereux. Un joyau de la technologie française, qu’on réserve d’ordinaire à ses amis.

    Finalement être complotiste c’est avoir raison trop tôt.

     

    Source : lesalonbeige

  • Comment réindustrialiser, quand on fait tout pour faire fuir les investisseurs ?

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2021

    Rappelez-vous, c’était il y a un an : face à la pénurie de masques, de , de pièces détachées et même de principes actifs du paracétamol, Macron et le pouvoir reprenaient à leur compte l’émotion de la population et promettaient de tout faire pour retrouver une  industrielle. 

    désindustrialisation,investisseurs,réindustrialiserCar les risques de pénurie ont démontré que les dégâts de la désindustrialisation, largement minimisés par les suppôts du mondialisme, allaient bien au-delà des pertes d’emplois : ils remettaient en cause la survie même de nos économies. Or, que voit-on, depuis ? Des usines Peugeot ont dû fermer pour cause de pénurie de semi-conducteurs importés d’Asie. Les risques de pénurie se multiplient à tous les niveaux. Les relocalisations sont restées lettre morte, au stade de l’incantation.

    Normal, à bien y regarder, tout est fait pour que rien ne se passe, et même que le mouvement de délocalisation se poursuive. Car la fuite de nos industries n’a jamais été le fruit du hasard. Elle tient à la socialisation excessive de nos sociétés, qui rend le coût du travail prohibitif, surtout pour les industries à faible valeur ajoutée : textile, acier et bien d’autres. Elle tient au fiscalisme, qui place nos impôts de production bien au-dessus de ceux de nos concurrents, y compris l’, la , l’Italie, l’Espagne. Elle tient au  liberticide, aux réglementations en tous genres qui paralysent l’initiative et rendent la vie des entreprises impossible. Elle tient à la bureaucratie galopante, qui freine l’activité de ceux qui produisent.

    Qu’est-ce qui est fait, depuis un an, pour susciter le retour des industries sur notre territoire ? Rien. La  publique augmente et laisse augurer un prochain matraquage fiscal. Qui viendra investir en sachant qu’il sera mobilisé pour payer les quarante ans d’errements budgétaires de nos gouvernements ? Les  et les infrastructures fonctionnent de moins en moins bien : on paie, et en plus pour des services qui ne répondent plus. L’ordre public n’est plus assuré. Nous avons atteint, en 2020, le chiffre faramineux de 64 % de  par rapport au PIB : la production privée est confisquée, essentiellement pour renflouer des caisses sociales en faillite. La  est toujours engluée dans la crise pandémique, quand bien d’autres pays en sont sortis depuis longtemps : pourquoi viendrait-on investir dans un pays où rien ne marche, à part les services de recouvrement fiscaux ? En plus, la France s’est, à la suite de Biden et des autres pays européens, astreinte à des contraintes suicidaires en matière d’émissions de CO2, quand la Chine est laissée libre de faire ce qu’elle veut jusqu’en 2030… Et en plus, les politiques de sanctions commerciales face à la concurrence déloyale de la Chine sont mises au ban : il faut affronter, sans aucune protection, la concurrence asiatique, lestés de tous les boulets que je viens d’énumérer…

    Des industriels qui viendraient investir en France, dans ces conditions, passeraient pour des sadomasochistes, voire des kamikazes. La priorité du gouvernement en faveur des industries est aussi sérieuse que celle évoquée pour la lutte antiterroriste : on s’en tient aux discours et aux effets d’annonce. En réalité, on se moque bien de redresser notre industrie : quand on daigne en parler, ce n’est que pour donner le change aux angoisses de l’opinion. En sous-main, on organise le démantèlement de notre économie.

     

    Olivier Piacentini

    Ecrivain, politologue
     

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  • La république ou la France ?

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2021

    lafautearousseau

    Avec une rigueur apparente qui frisait la raideur, la ministre de la Défense s’est drapée dans la République et ses valeurs pour fustiger les militaires pour la plupart en retraite qui ont eu la “déloyauté” de rappeler dans quelle spirale infernale la France était engagée. L’inflation d’un terme dans les discours publics doit toujours éveiller un soupçon : sa présence insistante dans la parole officielle n’est-elle pas le signe de son absence dans la réalité ? 

    france,réalité charnelle et spirituelle,républiqueA force de trop brandir l’institution comme un ostensoir laïque, ne cherche-t-on pas à cacher sa déchéance ? Quand on connaît les carrières des orateurs, à l’ombre d’un parti, d’un cabinet à un conseil d’administration, avec des salaires mirobolants et des parachutes dorés à la sortie, on se dit qu’ils ne sont pas les mieux placés pour défendre les valeurs de la République lorsqu’ils sont devenus ministres d’une république qu’on suppute quelque peu bananière.

    La République est un concept, la France, une réalité charnelle et spirituelle. La France existe depuis qu’il y a un Royaume des Francs, comme les Allemands l’appellent encore aujourd’hui, “Frankreich”. Par rapport à cette réalité historique, géographique, culturelle et humaine, le mot “république” est une abstraction. Pour Jean Bodin, au XVIe siècle, elle correspondait à l’Etat souverain ayant autorité entière pour faire valoir le bien commun. Et sa conclusion était que la monarchie absolue était la meilleure forme de gouvernement pour atteindre ce but car elle maintient l’unité et la direction du vaisseau. La France est le vaisseau, et la république ce qui lui permet de naviguer, la nécessité d’une autorité souveraine. Par la suite, à la chute de la monarchie, on a opposé la république à cette dernière. Pendant un siècle et plus, les Français étaient divisés sur la forme que devait prendre la République au sens initial, monarchie ou république. Cette opposition a laissé des traces funestes.

    La première est évidemment la fracture de l’histoire de France, comme si celle-ci avait commencé en 1792. Péguy en parlant de la République, notre “Royaume de France” a réglé son compte à cette lecture idéologique de l’histoire. La seconde consiste à substituer la “république et ses valeurs”  à la France. De quelles valeurs s’agit-il ? La plupart des politiciens qui s’en réclament ne les précisent guère. Il faut y comprendre en premier lieu celles qui sont proclamées dans notre Déclaration des droits de l’Homme et du Citoyen, celle qui est toujours le préambule de notre constitution et qui correspondait à la monarchie constitutionnelle de 1791. Qui rechignerait en effet devant la liberté, l’égalité des droits, la propriété, ou la sûreté ? Et même devant le droit de résistance, que Mme Parly semble ignorer. On se dit simplement que la liberté d’expression est en berne, que les tribunaux semblent davantage enclins à la museler qu’à réduire les atteintes à la propriété et à la sûreté. On avance timidement que notre déclaration n’est pas seulement celle des droits de l’homme, mais aussi celle des droits du citoyen, et que ce dernier, en tant que membre de la nation en a davantage que l’étranger, ce qui paraît aujourd’hui contestable dans l’esprit de certains. Pourtant, quand l’Assemblée nationale n’est plus qu’une chambre d’enregistrement et qu’on refuse aux citoyens la démocratie directe, le référendum d’initiative populaire pourtant clairement justifié par les articles 6 et 14, quand on réduit le rôle des jurys populaires dans les Cours d’Assises, et que dans le même temps on “récompense” les étrangers clandestins en proportion de la durée de leur clandestinité, surtout s’ils sont parvenus à jouir d’un emploi illégal, en leur octroyant un permis de séjour de 10 ans, et cerise sur le gâteau, la nationalité française, au bout de cinq ans, on se rend bien compte que notre “république”, notre “res publica”, n’est plus tout-à-fait la nôtre. C’est devenu un produit d’exportation publicitaire et d’importation migratoire. Publicité mensongère et remplacement de population n’ont plus rien à voir avec la République parce qu’ils nuisent à la France.

    Nous en sommes là. A force d’employer le mot république prioritairement à celui de France, de faire valoir faussement le rayonnement de ce concept dans le monde, on a inversé le moyen et la fin. Pis, on a fait d’un moyen un boomerang qui nous revient avec les revendications et les accusations de ceux qui voudraient que nos principes se retournent contre nous : liberté, y compris pour afficher ostensiblement son hostilité à la manière de vivre des Français ; égalité quelques soient les mérites, et discrimination positive pour compenser de prétendues inégalités ; protection juridique des délinquants jusqu’à désarmer police et justice au mépris de la loi et de l’ordre. L’oligarchie qui nous gouverne semble peu se soucier de ces délitements. Elle accumule les privilèges, demeure à l’abri des périls, se moque de la souveraineté nationale, c’est-à-dire de ce qui constitue vraiment la “République”.  Elle a remplacé le mot démocratie par l’expression Etat de droit pour que la politique demeure la chasse gardée des technocrates et des juristes. Or la démocratie est l’affaire du peuple, de la nation, et il est temps que les Français rappellent qu’ils sont le Souverain de notre République, notre Royaume de France.

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Drôle : Quand des gauchistes et le service d’ordre de la CGT se traitent mutuellement de “fachos” (VIDÉO)

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2021

    Posté par Eric Martin  Il y a 2 jours

    Drôle : Quand des gauchistes et le service d’ordre de la CGT se traitent mutuellement de “fachos” (VIDÉO)

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1388546717826654209

    Vidéo : https://twitter.com/ClementLanot

     

     

  • Traumatisée à 7 ans… Voilà pourquoi il n’y a plus de Pierre dans ces écoles

    Publié par Guy Jovelin le 04 mai 2021

    Traumatisée à 7 ans… Voilà pourquoi il n’y a plus de Pierre dans ces écoles

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    Une histoire comme il en existe bien d’autres similaires dans la France d’aujourd’hui. Encore une chronique du délitement :

    En novembre, Noémie, 7 ans, a été agressée par un enfant de sa classe. Traumatisée depuis, elle ne suit plus une scolarité normale. Ses parents se battent pour qu’elle puisse retourner sereinement en classe.

    Ce mardi 27 avril, Noémie n’a pas fait sa rentrée à la même heure que ses camarades de CE2 à l’école Jean Jaurès de Pantin (Seine-Saint-Denis). Le matin, son père, Nicolas Calzas, lui a fait la classe. L’après-midi, il l’a déposée au portail de l’établissement, au 4 rue Barbara. La fillette s’y rend seulement trois après-midi par semaine, et ça depuis février. Avant et depuis le 6 novembre 2020, elle n’y allait plus.

    Le 5 novembre 2020, Moussa, un élève de 9 ans dans sa classe, l’a poursuivie, une paire de grands ciseaux pointus à la main. Pour le maîtriser, les enseignantes s’y sont mises à trois. L’une d’elles s’est même assise sur lui, en vain : il s’est extirpé. Noémie se cachait sous des bureaux, passant d’une classe à une autre avec la complicité des élèves et d’une enseignante.

    Un pédopsychiatre et un psychiatre diagnostiquent tous deux un traumatisme durable.

    L’Education nationale n’aidera pas les parents. L’inspectrice de la circonscription de Pantin refuse d’aider Noémie au détriment de Moussa, qui mérite lui aussi de suivre une scolarité normale. Elle propose de demander à une équipe éducative « d’accompagner Noémie sur sa phobie d’aller à l’école ». Un conseiller d’aide à la scolarisation des élèves en situation de handicap demande qu’on cesse d’appeler Moussa « l’agresseur » car « désigner un enfant de 10 ans comme un agresseur, ce n’est pas dans les textes de l’Éducation nationale. » Lesparents repartent avec 2 propositions : soit ils aident leur fille à dépasser sa peur, soit ils la changent d’école.

     

    Source : lesalonbeige