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  • « Les gardes-frontières biélorusses ne les ont pas empêchés de franchir la frontière, mais du côté lituanien, chiens et tirs » : 300 Irakiens rentrent chez eux

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2021

    Plus de 300 ressortissants irakiens, qui étaient arrivés au Belarus dans l’intention de se rendre plus loin dans les pays de l’UE, sont rentrés chez eux à bord de vols spéciaux organisés par les autorités irakiennes. Cela n’a pas fonctionné pour eux.

    Plus de 300 Irakiens se sont rendus de Minsk (Biélorussie) à Bagdad (Irak) sur les vols de décollage organisés par les autorités irakiennes au cours des deux derniers jours. Les avions sont arrivés de Bagdad à Minsk à vide et ont récupéré 80 citoyens irakiens le 9 août et 240 le 10, qui étaient arrivés en Biélorussie plus tôt avec l’intention de poursuivre leur voyage vers les pays de l’Union européenne, mais la tentative a échoué. Par ailleurs, le corps d’un homme mort en tentant de franchir la frontière entre le Belarus et la Lituanie a été transporté en Irak. En raison de l’afflux de réfugiés illégaux du côté du Belarus et de la situation de crise à la frontière, la Lettonie a imposé mercredi 11 août l’état d’urgence dans la zone frontalière.

    Comme les migrants l’ont raconté aux journalistes, les gardes-frontières biélorusses ne les ont pas empêchés de franchir la frontière, mais du côté lituanien, les gardes-frontières les ont accueillis avec des chiens, leur ont tiré en l’air et les ont obligés à faire demi-tour.

    Depuis le début de l’année 2021, plus de 4 000 immigrants illégaux ont franchi la frontière de la Lituanie en provenance du Belarus. Il s’agit principalement de réfugiés d’Irak, d’Afghanistan, de Syrie et de pays africains. La plupart d’entre eux sont entrés sur le territoire de la Lituanie au cours des deux derniers mois. La situation des migrants illégaux est devenue si grave qu’au début du mois de juillet, les autorités lituaniennes ont annoncé l’introduction du régime de situation d’urgence et l’intention de construire une clôture à la frontière avec le Belarus.

    La Lituanie a été suivie par la Lettonie, qui a adopté en juillet une loi restreignant les droits des migrants illégaux à sa frontière avec le Belarus. En raison de la situation complexe, trois districts frontaliers lettons et la ville de Daugavpils sont en état d’urgence depuis le 11 août.

    La situation des migrants irréguliers en Lettonie et en Lituanie résulte de l’affaiblissement du contrôle à la frontière avec l’UE par la partie biélorusseMinsk a agi ainsi après les sanctions imposées par l’UE au Belarus à la suite de l’atterrissage forcé d’un avion Ryanair dans la capitale bélarussienne et de la détention du journaliste et militant politique Roman Protasevich, qui se trouvait à bord. L’UE qualifie ce qui se passe aux frontières du Belarus avec la Lituanie et la Lettonie d'”agression hybride du régime bélarussien“.

    DW via fdesouche

  • Le commandant des Talibans à CNN : « Nous sommes convaincus qu’un jour les moudjahidines remporteront la victoire et que la loi islamique ne s’appliquera pas seulement à l’Afghanistan, mais partout dans le monde »

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2021

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    Nous sommes convaincus qu’un jour, les moudjahidin remporteront la victoire et que la loi islamique s’imposera non seulement en Afghanistan, mais dans le monde entier. Nous ne sommes pas pressés. Nous croyons que cela viendra un jour. Le djihad ne prendra fin qu’au dernier jour.

    Un commandant taliban à CNN

    Une ancienne base militaire américaine est désormais aux mains des talibans, alors que l’avenir de l’Afghanistan est incertain. Clarissa Ward de CNN rapporte en exclusivité ce qui reste de l’avant-poste de combat Andar dans la province de Ghazni en Afghanistan.

    CNN via MSN

  • Italie, Espagne, ces pays où le passe sanitaire est remis en question par des magistrats et des tribunaux

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2021

    Il n’a fallu que quelques jours, semaines, pour que le passe sanitaire ait du plomb dans l’aile en Espagne et en Italie.

    En Espagne, pays décentralisé, le passe sanitaire ne passe pas : en Galice, c’est le tribunal régional qui vient d’en suspendre l’usage estimant que la décision a été prise par le gouvernement régional sans l’en informer. Décision prise ce jeudi 11 août par la justice de la communauté autonome de Galice. Cette suspension concerne les bars, les restaurants et les boîtes de nuit. D’après plusieurs médias espagnols dont ElPeriodico.com, la décision prise par le gouvernement galicien de rendre obligatoire ce passe sanitaire a été attaquée par la justice régionale qui accuse le gouvernement autonome de ne lui avoir jamais soumis cette mesure. La mise en place du passe sans que le tribunal régional n’en soit informé avait été prise par Alberto Nunez Feijoo, actuel président de la région de Galice, lequel avait présenté une loi sanitaire en novembre 2020 pour infliger une amende de 3 000 euros aux Galiciens qui refusent la vaccination.

    La décision de justice de Galice suit celle identique du tribunal de justice des îles Canaries qui a aussi suspendu le passe sanitaire le 29 juillet dernier. Le média espagnol Eldiario.es explique que la justice a pris cette décision estimant que des droits ont été bafoués. La justice de deux autres communautés autonomes espagnoles (Cantabrie et Andalousie) ont également suspendu le passe Sanitaire au début du mois d’août comme le révèlent plusieurs sources dont ABC.es.

    En Italie, la contestation contre le« Green Pass » a, à sa tête, des magistrats. « Un document publié dans le journal officiel de la Magistrature Démocratique, le courant historique des juges de gauche évoque ”une violation de la constitution”, peut-on lire dans le quotidien italien Il Giornale.it. Les mots sont plus que durs envers le gouvernement en place : cette violation, écrivent les magistrats, est voulue par « gouvernement aplati sur la logique de l’urgence » et réalisée grâce à « un pouvoir policier généralisé ».

    « Il s’agit en fait d’une sorte d’appel aux robes rouges dans toute l’Italie, écrit Il Giornale, pour empêcher les mesures gouvernementales anti-Covid de se concrétiser : le décret sur le pass vert “devrait être inappliqué”. Et l’attaque implique aussi toute hypothèse de sanctions à l’encontre de ceux qui ne vaccinent pas : “Son refus doit être protégé et non recouvert d’un moralisme apocalyptique”. »

    « Le document a un titre explicite, continue l’article italien, Sur le devoir constitutionnel et communautaire de non-application du décret du laissez-passer vert, et a été publié dans le dernier numéro de Questione Giustizia, le magazine officiel de Md. Il n’est pas signé par des magistrats mais par un groupe de constitutionnalistes réunis sous le sigle « Future Generations ». Mais il est clair que la décision de publier le document sans prendre aucune distance signifie qu’au sein du courant, la ligne de pensée s’est enracinée. En revanche, déjà ces derniers jours sur certains chats internes à l’Association nationale des magistrats, le document avait été divulgué par des membres de Md connus pour contester ouvertement la stratégie gouvernementale de lutte contre la pandémie.

    (…)Le décret-loi, selon le document, produit ”des effets de discrimination multiples”, et ”finirait par constituer l’imposition indirecte d’une obligation de vaccination (…) il aboutirait à la violation de la liberté individuelle”. Et tout cela pour imposer un vaccin “encore en phase expérimentale n’ayant obtenu qu’une certification d’urgence” et malgré “le manque de preuves sur sa capacité à limiter l’infection”.

    (…) Le texte attaque également la possibilité pour les gestionnaires de lieux publics de vérifier le certificat vert : qui se définit comme un ”transfert de pouvoirs de police à des sujets totalement non qualifiés” ; et l’attribution de cette faculté aux gérants est définie ”de faible soutenabilité juridique” : un ”modèle de régulation fluide et invasif qui met en grande tension toutes les garanties des libertés individuelles telles qu’elles nous sont transmises par nos Constituants” ».

    Le document des magistrats de gauche se conclut par cet avertissement : « les vaccins anti Covid 19 peuvent être raisonnablement encouragés mais pas imposés, même pas à des catégories à risque ». Sinon le droit à la santé collective devient un « droit tyrannique ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • A la recherche de l’immunité collective en-dehors de la vaccination : Islande, Grande-Bretagne, Espagne…

    Publié par Guy Jovelin le 15 août 2021

    En Islande, pays largement vacciné avec 93% des habitants de plus de 16 ans, l’épidémiologiste en chef a jeté un pavé dans la mare de la bien-pensance vaccinatrice à tout va. Face à la progression du variant delta, dont beaucoup de scientifiques s’accordent à dire que s’il est plus contagieux il est moins dangereux, Þórólfur Guðnason a ainsi déclaré, dimanche 8 août dernier, dans une interview à la radio : « Obtenir l’immunité collective par la vaccination générale est hors d’atteinte », avant d’ajouter « qu’il faudrait laisser les gens se contaminer naturellement afin d’obtenir à terme une immunité collective ».

    Une déclaration qui rejoint celle du professeur Sir Andrew Pollard, directeur de l’Oxford Vaccine Groupe. Selon ses propos rapportés dans The Guardian le mardi 10 août, « l’immunité collective n’est pas possible avec le variant Delta ». D’après le spécialiste, ce variant infectera toujours les personnes vaccinées « et nous n’avons rien qui arrêtera complètement cette transmission ».

    En Espagne, même constat quant aux limites de la vaccination :

    « Il est peut-être nécessaire de remettre en cause l’objectif de l’immunité collective [grâce à la vaccination], car contrairement à d’autres épidémies, celle du Covid est composée de nombreux variants, et l’imperfection des vaccins rapidement développés rend l’immunité collective difficile à atteindre. »

    Parallèlement à ces constats qui sonnent le glas de la vaccination comme seul remède au covid, une étude parue sur la revue Nature le 30 juillet dernier s’interroge sur la vaccination de masse en période épidémique. Réalisée par une équipe multidisciplinaire et internationale de chercheurs, dirigée par le prof. Dermitzakis, un généticien grec connu dans le monde entier pour son autorité et directeur du Centre Genome Health 2030 de l’Université de Genève, en Suisse. Les chercheurs soulignent à quel point actuellement dans le monde « les vaccins sont considérés comme la meilleure solution disponible pour contrôler la pandémie de SRAS-CoV-2 en cours ». Pourtant cette solution pourrait s’avérer dangereuse :

    « Cependant, expliquent ces chercheurs, l’émergence de souches résistantes aux vaccins pourrait survenir trop rapidement pour que les vaccinations atténuent les conséquences sanitaires, économiques et sociales de la pandémie. Le faible taux de production et d’administration de vaccins dans le monde, combiné à la naissance et à une propagation de plus en plus rapide de nouvelles souches présentant un certain degré de résistance aux vaccins, sont une cause potentielle de préoccupation. En particulier, la plus grande préoccupation est de savoir ce qui peut arriver avec la combinaison de la vaccination lors de taux élevés de transmission du virus, et si cela peut entraîner une sélection pour favoriser la propagation dans la population vaccinée des variants du virus les plus résistants au vaccin. »

    Cela signifie la possibilité concrète de sélectionner un variant résistant au vaccin précisément en raison de vaccinations de masse pendant une période de forte circulation virale. Cette hypothèse alarmante est d’ailleurs développée depuis quelque temps par divers savants mais est constamment ignorée par les médecins de plateaux. L’étude des chercheurs arrive à ces conclusions :

    « Un nombre élevé de vaccinés crée un avantage sélectif pour le variant résistant par rapport au virus d’origine. Ainsi, précisément en raison du nombre élevé de vaccinés, le variant remplace le virus d’origine et s’installe dans la population juste dans la dernière partie de la campagne de vaccination, lorsqu’il y a plus de vaccinés. Plus le nombre de vaccinés est important, plus la probabilité que le variant résistant au vaccin prenne le relais est élevée ».

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Un agresseur sexuel, trentenaire “typé”, sévit-il en série sur la métropole rouennaise? (MàJ: 2 nouveaux viols)

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2021

    13 aout 2021

    Agglo de Rouen : la police enquête sur 2 viols commis suite à une intrusion à domicile

    Depuis le début de la semaine du 9 août, deux femmes habitant dans l’agglomération rouennaise ont porté plainte pour viol. Les policiers de la sûreté départementale de Rouen enquêtent.

     

    […]

    L’article dans son intégralité sur France 3 édition régionale