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  • JO Paris 2024 : Le Breakdance remplacera le Karaté, Tony Estanguet, président du comité d’organisation préférant “des sports qui cartonnent sur les réseaux sociaux”

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2021

    Le karaté ne fera définitivement pas partie des disciplines des prochains Jeux olympiques de Paris, en 2024. Introduit pour la première fois lors des JO de Tokyo, la discipline ne sera pas reconduite, et laissera sa place au Breakdance.

    « On avait la possibilité de rajouter quatre sports, se justifie sur France info Tony Estanguet, le président du comité d’organisation des JO de Paris. En allant chercher des sports urbains comme le skateboard et le break dance, on va chercher des sports qui cartonnent sur les réseaux sociaux et que les jeunes regardent énormément. Le surf et l’escalade apportent une dimension très spectaculaire et différente des sports déjà au programme. »

    Dimanche, le médaillé d’or français Steven Da Costa faisait part de son espoir de voir le CIO changer d’avis. « Je pense que le karaté a montré une très belle image durant ces Jeux olympiques », a expliqué le champion français. « J’espère que la décision changera et qu’on rentrera dans une nouvelle ère olympique pour préparer » les JO « chez moi à la maison ».

    Tony Estanguet reconnaît que Steven Da Costa est « un grand champion qui a été très solide », et « regrette qu’il n’y ait pas de karaté en 2024 mais le rôle du comité d’organisation c’est de trouver cet équilibre, de garder la sobriété des Jeux, de lutter contre le gigantisme en rajoutant des sports et des athlètes », a-t-il insisté, notant par ailleurs que cinq sports de combat étaient déjà représentés. “On aura moins d’athlètes qu’à Tokyo, moins de sports et on aura des Jeux spectaculaires en allant notamment à Tahiti pour le surf”.

    La Voix du Nord via fdesouche

  • Moderna et Modernisme (dessin d’Alban Guillemois)

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2021

    Auteur : 

    Dessin pertinent d’Alban Guillemois accompagné de ce commentaire :

    MODERNA & MODERNISME
    “Rome perdra la foi et deviendra le siège de l’antéchrist, l’Église sera éclipsée, le monde sera dans la consternation.” Paroles de la Sainte Vierge Marie (La Salette 1846)

     

    Source : medias-presse.info

  • Etats-Unis : Vente et trafic d’organes de fœtus et nouveau-nés, le nouveau scandale de l’avortement

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2021

    La crise du covid-19 a révélé au commun des mortels que Big Pharma se sert de cellules de fœtus volontairement avortés pour le développement de ses vaccins ou injections géniques anti-coronavirus. Des scientifiques comme l’américaine Pamela Hacker soutiennent que le trafic d’organes et de cellules de fœtus avortés fait partie intégrante de la recherche actuelle dans certains grands laboratoires et que ces cellules sont prélevées sur des fœtus vivants. Des documents publiés récemment par la fondation américaine Judicial Watch épaulé par le Center for Medical Progress viennent confirmer ces trafics sur des fœtus encore vivants.

    Quelques années auparavant, c’était la machine à avorter Planned Parenthood qui se retrouvait au centre d’un scandale de vente et trafic d’organes de bébés avortés.

    Aujourd’hui, c’est l’université de Pittsburg et le département pour la santé humaine des Etats-Unis qui est sur le banc des accusés grâce au travail d’investigation et de recueil de données mené par l’association américaine Judicial Watch et le Center for Medical Progress, peut-on lire sur le site Blondet and Friends.

    Début août, ces deux organismes ont annoncé avoir reçu 252 pages de nouveaux documents du département américain de la Santé et des Services humains révélant que près de 3 millions de dollars de financement fédéral ont été dépensés pour la recherche de l’Université de Pittsburg pour devenir un « pôle tissulaire » pour les tissus fœtaux humains allant de 6 à 42 semaines de gestation.

    Le Center for Medical Progress a publié un communiqué intitulé La racialiste université de Pittsburg met en avant dans sa demande de subvention au NIH que les enfants avortés ont encore le sang qui circule avec le sous-titre suivant :

    « Les dossiers publics FOIA récemment publiés obtenus par le Center for Medical Progress indiquent que le prélèvement d’organes se fait sur des nourrissons avortés livrés vivants, et ciblés par race ».

    Ces documents ont été obtenus dans le cadre du procès Freedom of Information Act (FOIA) dans lequel Judicial Watch a poursuivi le Département la Santé et des Services humains (HHS – Department of Health and Human Services) après que ce dernier a omis de répondre à une demande FOIA du 28 avril 2020 qui recherchait, entre autres, les demandes de subvention pour « un centre de tissus et lieu de collecte » de l’Université de Pittsburgh. ( Center for Medical Progress / US Department of Health and Human Services  (No. 1: 21-cv-00642)).

    Les documents révèlent ce qui suit :

    Les objectifs du projet énumérés dans la proposition originale de 2015 étaient de « développer un pipeline pour l’acquisition, le contrôle de la qualité et la distribution d’échantillons génito-urinaires humains [organes et fonctions urinaires et génitaux] obtenus au cours du développement (6-42 semaines de gestation). … [Et] de générer une ressource continue pour distribuer de nouveaux échantillons génito-urinaires humains en développement à divers stades (6-42 semaines) aux projets Atlas GUDMAP [Molecular Anatomy of Genitourinary Development Project] ».

    Dans la proposition, Pittsburgh note qu’ « elle collecte des tissus fœtaux depuis plus de 10 ans… comprenant le foie, le cœur, les gonades, les jambes, le cerveau, les tissus génito-urinaires, y compris les reins, les uretères et les vessies ».

    Pittsburgh a noté en 2015 : « Nous avons distribué plus de 300 échantillons frais prélevés sur 77 cas. Les collections ont peut-être considérablement augmenté, car le matériel aurait pu s’accumuler à partir de 725 cas l’année dernière ».

    La Banque de tissus des sciences de la santé de Pittsburg est « intégrée au département de pathologie… offrant ainsi un accès rapide à des tissus et des échantillons biologiques de très haute qualité ».

    L’Université se vante d’avoir un certain nombre de relations internes ainsi qu’une « solide relation de travail avec l’UPMC [University of Pittsburgh Medical Center] et le département de pathologie » et avec trois « laboratoires dans les hôpitaux phares de l’UPMC ». Cela comprend un laboratoire doté d’une « scie à ruban ButcherBoy pour la dissection des os » et d’une « salle de section congelée avec flux vidéo numérique vers et depuis les salles d’opération. Cela permet également des discussions instantanées avec les chirurgiens et [comme] un « show and tell » immédiat pour eux. Elle se vante également d’avoir des ateliers au « Children’s Hospital of Pittsburgh ».

    Pittsburg prétend enregistrer « le temps d’ischémie chaude sur nos échantillons et prendre des mesures pour le réduire au minimum afin de garantir des échantillons biologiques de la plus haute qualité ». [Le « temps d’ischémie chaude » fait référence à la durée pendant laquelle un organe reste à la température du corps après que l’approvisionnement en sang a été interrompu. Le temps ischémique chaud diffère du temps ischémique froid qui fait référence à la durée pendant laquelle l’organe est refroidi. La déclaration de Pittsburg suggère que le temps entre l’avortement et le prélèvement est minime.]

    Les scientifiques de Pittsburg notent que « tous les tissus fœtaux sont collectés grâce à un processus collaboratif qui inclut la planification familiale, l’obstétrique et la pathologie ». Et que « le nombre de consentements et de collectes est en constante augmentation… et nous sommes en excellente position pour étendre nos services afin d’inclure les besoins des projets GUDMAP Atlas ».

    L’Université prévoyait « d’être en mesure de  collecter et de distribuer des tissus et des cellules de qualité … [et] ne prévoyait aucun problème majeur lié à l’acquisition et à la distribution de tissus ».

    L’objectif « est d’avoir un minimum de 5 cas (tissus et, si possible, d’autres produits biologiques) disponibles par semaine d’âge gestationnel pour les âges 6-42 semaines ».

    La proposition de Pittsburg incluait également une cible raciale pour la collecte de parties fœtales humaines. Concernant ses « sujets » d’avortement planifié, Pittsburg voulait que 50 % soient des fœtus issus d’une minorité ethnique. La proposition suggère que les « sujets » soient différents parce que Pittsburgh est différent, le US Census Bureau montre que la ville de Pittsburgh est presque à 70% blanche.

    La proposition de Pittsburg nécessitait plus de 3,2 millions de dollars sur une période de cinq ans. Des documents montrent que le NIH a financé jusqu’à présent au moins 2,7 millions de dollars pour la collecte et le pôle de tissus fœtaux humains de Pittsburg.

    En mars 2021, un tribunal fédéral a ordonné au HHS de publier plus d’informations sur ses achats d’organes prélevés sur des fœtus humains avortés. Le tribunal a également conclu qu’ « il y a des raisons de douter » que les transactions ne violent pas la loi fédérale interdisant la vente d’organes fœtaux.

    En mai 2021, Judicial Watch a annoncé avoir  découvert des documents de la FDA (Food and Drug Administration) montrant que l’agence avait dépensé des dizaines de milliers de dollars des contribuables pour acheter du tissus fœtale humain à Advanced Bioscience Resources (ABR), basé en Californie. Le tissu a été utilisé dans la création de « souris humanisées » pour tester des « produits pharmaceutiques biologiques ». Les dossiers montrent que les envois commandés par l’agence sont « frais ; expédié sur glace mouillée ».

    En juin 2020, Judicial Watch a  publié des dossiers montrant que la FDA entre 2012 et 2018 a conclu huit contrats d’une valeur de 96,37 000 $ avec Advanced Bioscience Resources (ABR) pour acquérir des tissus « frais et jamais congelés » de fœtus à partir des 1er et 2e trimestres de grossesse pour les utiliser dans la création de souris humanisées pour la recherche en cours. En février 2020, Judicial Watch a publié d’autres rapports de « souris humanisées ».

    « Ces documents montrent que l’argent des contribuables est utilisé pour transformer l’Université de Pittsburgh en un magasin de tissus fœtaux humains à guichet unique – de l’obtention de tissus à partir d’avortements électifs, du « fractionnement » des restes humains, à la distribution et à l’expédition des tissus collectés » a déclaré le président de la surveillance judiciaire Tom Fitton.

    Ces documents montrent quel degré de monstruosité a atteint la culture de mort, et à quel point le concept « sauver des vies » brandi actuellement par la bien-pensance, les médecins de plateaux  et les laboratoires pharmaceutiques pour inciter les gens à se faire vacciner contre le covid avec des injections produites ou développées sur des cellules de fœtus avortés est vide de sens, hypocrite et criminel : car, en résumé, pour sauver des vies d’adultes, on vivisecte des fœtus humains !

    Les contradictions de la civilisation nihiliste post-moderne éclatent dans toute leur horreur, l’inversion des valeurs qui caractérise notre temps décadent, anti-naturel et déconstructiviste en est le signe le plus sinistre.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Chronique d’une nuit parisienne au poste : Dormez, bonnes gens, le commissariat veille

    Publié par Guy Jovelin le 11 août 2021

    […]

     

    Le journaliste visite : l’endroit est « fonctionnel », même si tout ne fonctionne déjà plus. Dans un réduit, au-dessus de l’éthylotest, le portrait officiel du président de la République et, à droite, le couloir des cellules. Dans les deux premières, des mineurs arrêtés pour vol en réunion dorment du sommeil du délinquant.

    […]

    Peu à peu, les policiers font leurs aveux. Déplorent le temps fou (dûment constaté) gaspillé sur l’administratif, et, pour l’avenir, ne cachent pas leurs doutes. Il faut voir ce que l’on voit : les noms de « mineurs isolés » encombrent le registre d’arrivée, et rien n’est fait pour que ça change. Les anecdotes de crapules coffrées dix, vingt fois s’enchaînent. La police se sent ­utile dans la rue. Mais sur la justice, et son laxisme, silence déontologique, que certains ont du mal à ne pas rompre.

     

    […]

    De nouveaux interpellés arrivent maintenant par paquets, on cesse de compter. Trois jeunes d’origine africaine s’installent, après des violences volontaires, puis trois autres pour des vols à la tire, etc. En attendant les mises en cellule, ça braille. Deux prévenus lient amitié, comparent leur pedigree de maraud. L’un, dans un argot arabisan: « Moi j’suis de Ville­pinte, mais wallah, ici c’est mon hôtel, hein, chef de poste ? » L’autre : « Ah ! t’es là t’as vu ! Moi d’habitude je suis dans le 9-1. »

     

    […]

    Quatre heures. Un jeune Algérien pris pour vol doit monter voir l’OPJ. Il vocifère, insulte autant qu’il peut ; autant d’énergie à ­cette heure, c’est un enragé du nycthémère. Amélie, pas encore repartie en patrouille, le remue. Il tente, théâtral : « Oh ! Tu me parles avec respect ! Wesh, mais on dirait un trav ! » 

     

    […]

    Le Figaro via fdesouche
  • La maire de Lille, Martine Aubry, lance un appel aux dons pour accueillir les migrants afghans «en danger», «au-delà de ceux qui avaient travaillé pour la France»

    Publié par Guy Jovelin le 10 août 2021

    Martine Aubry appelle à la “solidarité de chacun, habitants et associations, pour répondre aux besoins matériels” de ces ressortissants que la ville de Lille pourraient accueillir. La ville affirme vouloir rester fidèle à ses “valeurs de solidarité et d’hospitalité” et se dit prête à se mobiliser pour accueillir des Afghans en danger.

    Ce lundi soir dans un communiqué, la maire de Lille Martine Aubry lance un appel aux dons, aux côtés de la Fondation de Lille. Cet appel, nommé “Accueil Afghans en danger”, vise à récolter des fonds pour “prendre en charge les frais de rapatriement ainsi que les frais de vie quotidienne“. La ville rappelle sa volonté d’accueillir des réfugiés afghans, en danger dans leur pays, qui tombe aux mains des talibans suite à la vacance des forces internationales.

    Début août sur Twitter, la maire de Lille avait interpellé le président de la République Emmanuel Macron et avait déjà signifié cette volonté : “Monsieur le Président de la République. Que fait la France pour accueillir les Afghans en danger, au-delà du rapatriement réalisé de ceux qui avaient travaillé pour la France ? La  ville de Lille est prête à prendre sa part dans cet accueil !” avait-elle écrit.

    France Bleu via fdesouche