Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2021
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Désirant plus de diversité raciale, l’Opéra Britannique licencie 14 musiciens blancs. La plupart membres depuis 20 ans ou plus
Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2021
L’Opera Britannique (English Touring Opera) s’est débarrassé de 14 musiciens blancs dans le cadre d’une campagne visant à “accroître la diversité” au sein du groupe.
Les musiciens, âgés de 40 à 66 ans, ont été informés qu’ils ne se verront pas proposer de contrat au printemps 2022, citant les conseils en matière de diversité du Arts Council England […]Le directeur de l’ETO, James Conway, a écrit aux musiciens pour leur dire que la compagnie “traverse des changements importants” qui incluent “l’augmentation de toutes sortes de diversité dans son équipe”.
Il a déclaré que l’opéra donnerait la priorité à “une plus grande diversité dans l’orchestre”, étant donné que des “progrès constants” ont été réalisés dans ce domaine sur scène.
M. Conway a ajouté que cette décision était “conforme aux directives fermes du Conseil des arts”.
Cette décision a été condamnée par le syndicat des musiciens, qui s’est dit “consterné” par cette lettre.
“Cela équivaut à ce que près de la moitié de l’orchestre perde son rôle”, a-t-il ajouté. “Bon nombre des membres qui ont été informés qu’ils ne seront pas engagés pour la saison 2022 se produisent avec l’ETO depuis 20 ans ou plus.”
L’ETO n’a pas répondu aux demandes de commentaires avant la publication.
[…]Daily Mail via fdesouche
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L’Union européenne encourage l’immigration irrégulière
Publié par Guy Jovelin le 14 septembre 2021
En plus d’être inefficace, la politique européenne du retour des migrants serait contre-productive, selon un rapport de la Cour des comptes européenne. Sur les 500 000 étrangers qui reçoivent chaque année l’ordre de quitter l’UE parce qu’ils y sont entrés ou y séjournent sans autorisation, un tiers seulement retourne effectivement dans son pays d’origine ou de transit, de façon volontaire ou forcée. Ce taux passe sous la barre des 20 % pour les retours vers des pays situés en dehors du continent européen.
Chaque année depuis 2008, environ un demi-million de citoyens de pays tiers reçoivent l’ordre de quitter le territoire de l’Union parce qu’ils y sont entrés ou y séjournent sans autorisation. Pourtant, moins d’un sur cinq rentre effectivement dans son pays d’origine situé hors d’Europe. Le faible nombre de retours de migrants en situation irrégulière s’explique notamment par la coopération difficile avec leurs pays d’origine. L’UE a déjà conclu 18 accords de réadmission juridiquement contraignants et ouvert officiellement des discussions avec six autres pays. Elle a aussi négocié récemment six arrangements juridiquement non contraignants en matière de retour et de réadmission.
Pour le responsable du rapport, l’ancien ministre maltais Leo Brincat,
« le système de retour de l’UE pâtit d’un manque d’efficacité tel qu’il produit l’effet inverse de celui escompté : il encourage plus qu’il ne décourage la migration irrégulière, a-t-il déclaré lors d’un point presse. Les migrants savent bien que les retours ne sont pas effectifs, donc cela peut effectivement les encourager à venir ».
Pour favoriser ces retours, l’UE a conclu depuis le début des années 2000 des accords de réadmission avec 18 pays tiers (dont Albanie, Bosnie, Serbie, Pakistan, Géorgie, Turquie, Bélarus) et ouvert des discussions avec six autres (Maroc, Algérie, Chine, Tunisie, Jordanie, Nigeria). L’UE a aussi négocié entre 2016 et 2018 six arrangements juridiquement non contraignants en matière de retour et réadmission (Afghanistan, Bangladesh, Guinée, Côte d’Ivoire, Éthiopie, Gambie).
Source : lesalonbeige
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Allemagne : un Afghan de 63 ans tranche la gorge de sa femme de 28 ans jusqu’à la colonne vertébrale devant leurs trois enfants
Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2021
Tout s’est passé sous les yeux des enfants (2, 7, 11 ans) L'Afghan Mohammad H. (63 ans) a avoué vendredi avoir tué sa femme Raheleh (28 ans) – de 64 coups de couteau !
L'homme doit répondre de meurtre devant le tribunal régional d'Oldenburg. A plusieurs reprises, il éclate en sanglots : "Je ne me souviens pas des faits...".
Selon l'acte d'accusation, le père est allé chercher sa fille aînée à l'école le 24 mars afin de pouvoir accéder à l'appartement de l'épouse. En effet, une décision de justice lui interdisait de l'approcher, pour cause de violences et de disputes.
"Je lui ai embrassé ses mains et je l'ai suppliée de reprendre la vie commune", raconte Mohammad H. Mais elle ne voulait plus de lui et elle lui aurait donné des coups de poing, dit-il.
C'est alors qu'il a disjoncté ! "Il a pris le couteau de cuisine qu'il avait apporté avec lui et a poignardé le haut du corps et la tête de la femme 64 fois. Enfin, il lui a tranché la gorge jusqu'à la colonne vertébrale", explique le procureur.
L'aumôniére des urgences, Barbara S. (74 ans), a déclaré au journal BILD : "C'était le pire cas dont j’aie été témoin de toute ma vie. Tout était couvert de sang, y compris la cage d'escalier. Au milieu de ça, les enfants hurlaient et pleuraient à fendre le cœur."
Les enfants ont été placés dans une famille d'accueil. Le procès se poursuit mardi.
L'homme était arrivé en Allemagne en 2015 avec son épouse. Elle voulait une séparation définitive.
Source en allemand : Bild (abonnés) ; en anglais : Medforth
Traduction Albert Coroz pour LesObservateurs.ch
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Sorti ce matin de prison, l’homme qui a giflé Macron lance aux journalistes “qu’il ne regrette pas son geste” et remercie ses soutiens
Publié par Guy Jovelin le 13 septembre 2021
Condamné à trois mois de prison ferme pour avoir giflé Emmanuel Macron en juin, lors d’un déplacement du président de la République à Tain-l’Hermitage (Drôme), Damien Tarel a quitté ce samedi matin la prison de Valence, selon France Bleu.
Il avait été condamné à dix-huit mois de prison dont quatre mois de prison ferme, mais n’aura finalement passé trois mois derrière les barreaux.
Il s’est agi d’une « sortie de prison discrète », pour le jeune homme, qui a quitté l’établissement à bord d’un véhicule « vers 7 heures du matin, soit deux heures avant l’horaire prévu ».
Damien Turel, face aux caméras de BFMTV a remercié ses soutiens, avant de déclarer qu’il n’avait « aucun regret » d’avoir giflé le président.
Vidéo : https://twitter.com/i/status/1436595571586908167
Source : lesmoutonsrebelles