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  • Montpellier (34) : Un commando de tueurs présumés interpellés par la BRI avant leur passage à l’action

    Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2021

    Ils ont été littéralement surpris la pelle à la main… Trois hommes, originaires de Montpellier ont été arrêtés, le 31 août, dans la commune de Pignan, distante d’une quinzaine de kilomètres de la ville-préfecture de l’Hérault. Interpellés par les hommes de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) de la police judiciaire montpelliéraine, les trois suspects ont été trouvés en possession d’un fusil d’assaut AK47, d’un pistolet-mitrailleur Skorpio, de quatre armes de poing et de plus de 500 munitions. Au moment de leur interpellation, ils s’apprêtaient à enfouir leur arsenal sous terre.

    Placés en garde à vue, ils ne se sont pas expliqués sur l’origine de ces armes, ni sur leur usage. Présentés, ce vendredi 3 septembre, à un juge d’instruction, ils ont été mis en examen avant d’être placés en détention provisoire…

    Actu17 via fdesouche

  • Éditorial monde de septembre : la civilisation du QR code.

    Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2021

    © Romée de Saint-Céran pour L'Incorrect

    Dix ans après les révélations d’Edward Snowden, l’affaire Pegasus ne nous apprend rien de nouveau. Elle confirme des pratiques courantes, y compris entre pays alliés, peu surprenantes dans le cas de régimes autoritaires comme le Maroc, mais qui mettent en lumière les tensions géopolitiques qui se multiplient autour du bassin méditerranéen et s’inscrivent dans un schéma global bien plus inquiétant.

    la civilisation du qr code,surveillanceCe que l’affaire Pegasus est venue confirmer, c’est la tendance à la privatisation des opérations et des méthodes de renseignements. Une dizaine de pays seraient clients de la société israélienne NSO Group, qui développe cette application permettant de mettre sur écoute n’importe quel smartphone. Comme le rapportent les journalistes Pierre Gastineau et Philippe Vasset : « Dans un univers pourtant peu porté sur la modestie, tout le monde s’incline devant les pirates du petit État hébreu » (Armes de déstabilisation massive. Enquête sur le business des fuites de données, Fayard). Si tout le monde s’accorde pour reconnaître l’expertise et la compétence d’Israël en matière de cyber-renseignement, l’État hébreu n’est pas le seul à se voir décerner un prix d’excellence. « Négligé par les occidentaux pendant longtemps, le secteur du cyber-renseignement privé a explosé en Inde ces dernières années », affirment également les deux auteurs qui démontrent à quel point le microcosme du cyber-renseignement rassemble acteurs étatiques et privés.

    Car l’enseignement principal du scandale Pegasus n’est pas que les États surveillent leurs concitoyens en tirant profit des nouvelles technologies. On le savait déjà avant même les révélations de Snowden. En revanche, l’affaire démontre que le cyber-renseignement, y compris quand il est au service des États, s’est largement privatisé, grâce aux technologies de communication. Les États font appel aux services de sociétés spécialisées pour la surveillance électronique mais tirent aussi parti de l’extraordinaire développement des médias sociaux pour collecter massivement les données publiques ou privées. Une pratique bien établie, dénommée OSINT par les services de renseignement occidentaux, pour « Open Source INTelligence » et qui peut être menée également par des sociétés privées pour le compte d’entités étatiques ou même par des ONG ou groupes d’investigation comme le célèbre site Bellingcat, qui se fait fort d’exploiter les données de comptes publics et les selfies maladroits publiés par des soldats syriens, yéménites, russes ou américains sur des sujets ou des théâtres d’opérations sensibles.

    Cette évolution géopolitique est le corollaire d’un mouvement de civilisation désormais impossible à endiguer. On observe depuis deux décennies l’avènement d’une civilisation dans laquelle la notion d’intimité devient caduque et où l’individu peut être identifié, labellisé, enregistré, contrôlé et étiqueté comme jamais auparavant. Des algorithmes décident d’embaucher ou de licencier les employés de grandes entreprises et cela n’est rien en regard de la fantastique opération de surveillance consentie à laquelle les réseaux sociaux soumettent des milliards d’individus. L’ironie réside d’ailleurs dans le fait qu’une bonne partie des « anti-système », des autoproclamés membres d’une dissidence fantasmée ou les opposants aux politiques dites liberticides vivent eux-mêmes en esclavage, heureux et emmurés dans leur compte Twitter, Facebook ou Instagram. L’algocratie est au service de l’ochlocratie.

    Les annonces du 12 juillet auront marqué un tournant historique et anthropologique, en faisant advenir la civilisation du QR code

    Ce consentement collectif à la surveillance de tous par tous est aggravé par la quasi-obligation pour l’ensemble de la population française de posséder son passe sanitaire muni de son QR code pour pouvoir accéder à une vie sociale. L’avènement de ce passe, dont Jean Castex jurait il y a quelques mois qu’il ne serait jamais mis en place, crée un nouveau format de document d’identification, cette fois totalement électronique et autorisant le croisement entre données d’identité et de santé. Cela n’a rien en soi d’une politique machiavélienne. Au-delà même de la question sanitaire, la mise en place du passe obligatoire n’est que la conséquence attendue d’une mécanique de gestion étatique et administrative qui échappe aux hommes. Nul ne sait où cette évolution nous mènera.

    Les annonces du 12 juillet auront marqué un tournant historique et anthropologique, en faisant advenir la civilisation du QR code, bien plus sûrement que l’affaire Pegasus, qui sera suivie, n’en doutons pas, de multiples autres scandales du même genre, qui sembleront de moins en moins scandaleux à mesure que nos sociétés seront accoutumées à la surveillance électronique, qu’elle soit étatique, opérée par des sociétés privées ou par les individus eux-mêmes. Happiness in slavery.

     

    Source : https://lincorrect.org/

  • Le socialiste Macron est en campagne !

    Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2021

    La caravane électorale du candidat Macron financée par nos impôts s’est arrêtée longuement à Marseille, sous le signe de la pluie. A part celle des huées qui ont accueilli le candidat lors de la visite d’une école, il y eut celle qui interrompit le spectacle élyséen en tournée, mais surtout à nouveau l’averse d’argent public d’un pays hyper-endetté, qui s’est déversée sur le tonneau des Danaïdes phocéen.

    macron en campagne,marseille,socialisteCette étape comme d’habitude relayée par des médias majoritairement encenseurs ne peut que souligner davantage la manipulation éhontée qui consiste à faire croire que la théâtrocratie actuelle serait un tant soit peu libérale. Elle est évidemment socialiste, comme Macron l’était lui-même en tant que membre du parti et comme il est resté dans ses choix politiques, comme il l’était déjà au plus haut niveau de l’équipe désastreuse qui entourait le pire président de la Ve République, François Hollande. Bien sûr, il ne s’agit pas de n’importe quel socialisme. Adoubé par Attali et quelques autres, Macron, c’est le socialisme Terra Nova, un socialisme pour les pauvres surtout lorsqu’ils sont importés et contribuent au métissage de la France et à sa dilution dans les étages supérieurs que sont l’Europe et le Monde, un socialisme qui privilégie les très, très riches possesseurs des fortunes mobilières et écrase les classes moyennes autochtones dont le sens de l’histoire appelle la fin au fur et à mesure de la disparition du commerce indépendant, des professions libérales et de la propriété immobilière, un socialisme, “progressiste” en “novlangue”, c’est-à-dire décadent en bon vieux français, qui détruit consciencieusement la famille, encourage le non renouvellement des générations compensé par l’arrivée massive de “chances pour la France” venues chercher l’Eldorado de la protection sociale sans respecter ni nos moeurs ni nos lois. Les Français ont donc été assez stupides pour élire l’héritier de M. Hollande après avoir découragé celui-ci, et ils ont donc payé pour avoir la poursuite du spectacle, avec simplement, reconnaissons-le un meilleur acteur, entouré de quelques comparses entrés par le côté droit de la scène.

    Ainsi donc tous les Français vont financer le “laboratoire” marseillais. Pour le coup, le mot est bien choisi : dans cette ville, depuis de longues années on prépare la mixture qui empoisonne la France, au sens propre avec la drogue, et au sens figuré avec une immigration excessive et non maîtrisée, le communautarisme, le séparatisme, la délinquance et l’insécurité qui en découlent. Alors on va doter la police marseillaise de moyens humains et matériels supplémentaires, truffer la ville de caméras de surveillance. Comme si la volonté politique n’avait qu’une seule expression possible : le carnet de chèques ! La video-protection est très utile, je la défendais sur les bancs de l’Assemblée alors que les socialistes s’y opposaient, mais ses effets sont limités dès lors que dans un secteur les caméras sont systématiquement détruites par l’armée des jeunes désoeuvrés au service des gangs qui sont les véritables maîtres du terrain. Devant eux, c’est la voiture de police qui est en marche arrière, car le dilemme entre “cocktail molotov, je brûle” et  “je tire et je me retrouve en garde à vue” n’est guère encourageant dès lors que la justice ne fournit pas la réponse adaptée, c’est-à-dire dissuasive. C’est un ancien ministre de l’Intérieur et Maire de Marseille, socialiste au demeurant, particulièrement ignoble envers les Pieds-Noirs, moins bien accueillis que les Afghans aujourd’hui, qui avait donné pour une fois la bonne solution, celle de Singapour où le trafiquant de drogue est condamné à mort. Cela rétablit la nécessaire hiérarchie des peines qui permet de ne pas se contenter d’un rappel à la loi pour le modeste guetteur.

    Le socialisme est repérable à deux signes : le premier consiste à dépenser à tout-va un argent qui n’est pas le sien, le second à multiplier les mesures et les règles qui étouffent la liberté, la responsabilité, et l’initiative. Le “macronisme” est un modèle du genre. En même temps qu’il a supprimé nombre de nos libertés fondamentales au nom de la protection sanitaire, alors que bien des pays ont mené une autre politique plus efficace, il a décidé de ne plus tenir compte de notre dette ni de nos déficits pour distribuer un argent public emprunté sur le dos des Français qui devront le rembourser avec une économie durablement affaiblie. Il faudra un jour régler les comptes, constater le recul de notre pays, découvrir que les apparences sauvées de la consommation et du “PIB” cachent un effondrement réel de notre production et de notre commerce extérieur, c’est-à-dire de notre capacité à créer des richesses. Le milliard-et-demi de propagande électorale offert à Marseille servira à ravaler les façades, à financer la clientèle associative et à multiplier les emplois inutiles et parfois nocifs de médiateurs chargés de compenser l’absence de citoyens. Bref, il s’agit d’un condensé de la politique de la ville qui a lamentablement échoué depuis des décennies parce que ni dans le domaine de l’immigration, ni dans celui de la sécurité, ni dans celui de l’économie, nos politiciens n’ont eu le courage du bien commun !

    Source : https://www.christianvanneste.fr/

  • Seine-et-Marne : Fin de cavale pour l’un des plus gros narco-trafiquants marseillais Kamel Meziani, condamné à 30 ans de prison pour homicide volontaire en bande organisée

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    C’est un magistral coup de filet qu’ont réalisé les enquêteurs de la police judiciaire, ce mardi 31 août, en interpellant celui qui est présenté comme le patron d’un des plus gros points de deal de la cité phocéenne.

    A 37 ans, il est décrit comme l’un des trafiquants les plus influents de Marseille (Bouches-du-Rhône). Selon nos informations, Kamel Meziani a été arrêté, ce 31 août, en région parisienne, au péage de Fleury-en-Bière (Seine-et-Marne) à la sortie de l’autoroute A6, en provenance de Marseille. Ce trentenaire a été interpellé par les policiers de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) Nationale et de la brigade nationale de recherche des fugitifs (BNRF), alors qu’il se trouvait en voiture avec une femme et des enfants.

    (…) Sous le coup de deux mandats d’arrêt délivrés par la justice marseillaise après deux condamnations à 14 et 30 ans de réclusion criminelle, il a été placé en rétention en attendant d’être rejugé. Il est présenté comme le patron de la cité des Oliviers, haut lieu de deal dans la cité phocéenne, située dans le 13e arrondissement, au cœur des quartiers Nord de la ville. (…)

    Remis en liberté après un raté de la justice

    (…)

    Actu 17

    Le parquet de Marseille a annoncé l’interpellation à Fleury-en-Bière, en Seine-et-Marne, « d’un homme connu pour son appartenance au narco-banditisme marseillais et condamné par le tribunal correctionnel de Marseille à la peine de 14 ans d’emprisonnement pour trafic de stupéfiants et, par défaut, à 30 ans de réclusion criminelle par la cour d’assises des Bouches-du-Rhône pour homicide volontaire en bande organisée ».

    Ouest-France

  • La Chine veut bannir les hommes au style “efféminé” des médias, afin de “résister à l’érosion provoquée par la culture indécente”

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    L’organisme de surveillance des médias en Chine a pris des mesures radicales adaptées aux valeurs du parti au pouvoir, rapporte la BBC.

    Un nouvel exemple de l’opération spectaculaire de Pékin sur le secteur chinois du divertissement. Après avoir « effacé » d’internet plusieurs stars chinoises récemment frappées par des scandales ou accusées de corrompre la jeunesse en faisant l’apologie du consumérisme, l’autorité de surveillance des médias chinois s’attaque au style de certains hommes, décrits comme « efféminés », dans les programmes télévisés.

    Comme l’explique la BBC, il s’agira désormais de faire peser le comportement moral et politique des acteurs dans le processus de recrutement. À proprement parler, cette attaque cible précisément les hommes dont l’image ne serait pas assez masculine et ceux utilisant beaucoup de maquillage. En parallèle, certaines émissions de révélations de talents ou de téléréalité ont été subitement annulées, tandis que des programmes faisant la promotion d’une culture traditionnelle, révolutionnaire ou communiste seront encouragés. Les programmes appelant les téléspectateurs à voter sont désormais prohibés.

    (…) À l’époque, l’organisme de surveillance des médias pointait du doigt l’homosexualité, déclarant sa volonté de « produire une génération qui pourra prendre la responsabilité du rajeunissement national » et de « résister à l’érosion provoquée par la culture indécente. »

    Le Point via fdesouche