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  • Cahors (46) : un septuagénaire tabassé pour avoir roulé trop lentement, selon l’agresseur déjà connu de la justice, il l’aurait traité de « sale b**gnoule »

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    Âgé de 31 ans, le prévenu jugé hier par le tribunal correctionnel de Cahors est accusé de violences volontaires et de délit de fuite.

    Les faits remontent à l’été dernier. Le 14 juillet 2020, un homme âgé de 78 ans dépose plainte à la gendarmerie : alors qu’il circulait en voiture dans Figeac, un autre homme le colle avec son véhicule, lui fait des doigts d’honneur, le dépasse par la droite et finit par lui couper la route en s’arrêtant. Ce second conducteur sort alors de sa voiture, force la portière de la victime et lui assène des coups. Quelques jours plus tard, le véhicule et son propriétaire sont identifiés notamment grâce à une témoin.

    Si le prévenu reconnaît, à la barre comme en garde-à-vue, les faits, il tente pour autant de les nuancer.

    Selon sa version, c’est lui qui a été destinataire des premières incivilités routières et du premier coup de poing. “Il nous a foncé dedans, j’ai eu peur pour mon enfant car j’ai déjà perdu mon fils il y a trois ans. Je lui ai coupé la route, je suis allé à sa voiture et j’ai pris un poing. Il m’a insulté de sale bougnoule. Là, j’ai pété un câble. Je reconnais que c’est inexcusable“, confie le prévenu.

    “Outre son âge, cette personne est gravement malade. Peut-être vous a-t-il insulté mais j’ai du mal à croire que cette personne déjà sous le choc vous mette un coup de poing”, avance la présidente du tribunal. Lourd de 12 mentions, le casier judiciaire du prévenu ne joue pas en sa faveur. Les premières condamnations remontent à 2005 et les dernières à 2016, beaucoup concernent des faits routiers.

    Du côté de la partie civile, on dénonce “une agression gratuite”.

    Il essaie d’échapper à sa responsabilité en essayant de dire que mon client est raciste et violent. Il ne semble pas avoir compris la gravité des faits. Mon client a 78 ans, il circulait normalement, peut-être un peu trop lentement au goût du prévenu“, déplore l’avocate qui réclame pour la victime 5 000 € de dommages et intérêts, tous préjudices confondus. “Au moment des faits, il était suivi pour un cancer avec un traitement fatigant et une insuffisance respiratoire“. Résultat : “Des injections plus lourdes, des interventions décalées, et plusieurs mois d’angoisse et troubles du sommeil“. Quant au parquet, il requiert 200 € pour la contravention et trois mois d’emprisonnement pour le délit de fuite assorti d’un sursis probatoire de 2 ans et une obligation de soins et de travail.

    C’est la parole de l’un contre l’autre. Le prévenu s’est emporté parce qu’il a eu peur. Depuis 2016, on n’a jamais entendu parler de lui. Il a même tenu à présenter ses excuses. Il travaille, il est inséré, il ne pose aucune difficulté“, souligne Me Yassfy qui, face aux sommes réclamées par la partie civile appelle “à raison garder”. La décision du tribunal sera rendue le 7 octobre.

    La Dépêche via fdesouche

  • « Sale blanc. Allah Akbar, j’vais faire comme à Nice » : Abdelkader échappe à la prison malgré ses menaces faisant référence aux attentats terroristes

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    Abdelkader El Mechbouh a échappé à la prison ce mercredi 1er septembre 2021. Il avait pourtant menacé à trois reprises des passants et des policiers, en faisant directement référence aux attentats terroristes.

    Courrier-Picard via fdesouche

  • Ce délire sanitaire doit cesser !

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    Thomas Joly, Président du Parti de la France : « L'obligation faite aux écoliers de porter un masque en classe n'est rien d'autre que de la maltraitance. Le Covid ne représente aucun danger pour eux et ils ne sont pas plus contagieux qu'un adulte vacciné. Ce délire sanitaire doit cesser ! »

    écoliers,port du masque

  • Afghanistan : les médias désespérément à la recherche de taliban modérés

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    polemia

    Afghanistan : les médias désespérément à la recherche de taliban modérés
     

    Par Pierre Boisguilbert, journaliste spécialiste des médias et chroniqueur de politique étrangère ♦ On a finalement échappé au pire. Le Monde n’a pas titré « Kaboul libéré » comme il l’avait pour Phnom Penh. Mais, dès le lendemain, le quotidien de référence s’inquiétait tout de même pour ces pauvres taliban à l’épreuve du terrorisme. Le mouvement taliban qui a hébergé Ben Laden est en effet menacé par Al-Qaïda et l’État Islamique. Il y a donc plus radicaux que les taliban — terme (singulier : talib) désignant à l’origine les étudiants des medersas les plus radicales.

    Les taliban sont un mouvement fondamentaliste islamiste armé œuvrant en Afghanistan et au Pakistan depuis octobre 1994. Ce mouvement est dirigé par Haibatullah Akhundzada, qui a été proclamé commandeur des croyants de l’« Emirat islamique » le 25 mai 2016 et l’est devenu effectivement le 15 août 2021. Ils y sont fortement influencés par une école de pensée, l’école deobandi, qui prône le retour à « un islam juste et respectant les principes islamiques » À côté d’un islam deobandi extrême, l’idéologie talibane intègre un autre fondamentalisme, le wahhabisme issu d’Arabie saoudite, mais aussi des éléments purement pashtouns comme le Pashtunwali », le code tribal des Pachtouns. Les Taliban sont issus de tribus afghanes pachtounes qui représentent plus de 40 % de la population du pays.

    L’utopie démocratique mondialiste en échec

    La position dominante des Pachtouns, qui sont répartis dans une zone en arc-de-cercle s’étendant de la frontière pakistanaise à la frontière iranienne (est et sud du pays), a souvent provoqué le ressentiment des autres groupes ethniques, s’estimant marginalisés sur les plans politique, économique et culturel. Deuxième groupe ethnique du pays, représentant environ un quart de la population, les Tadjiks de lointaine origine indo-européenne parlent le dari (farsi en persan). Les Hazaras, qui représentent autour de 10% de la population afghane et parlent un dialecte dari, sont considérés comme originaires d’Asie Centrale et de peuples turcs, et se trouvent principalement dans le centre du pays. La minorité ouzbèke — environ 10% de la population — est essentiellement installée dans le nord du pays chevauchant la frontière avec l’Ouzbékistan. Ses liens notamment linguistiques et culturels sont forts avec la Turquie et les Ouzbeks sont principalement des musulmans sunnites. Le chef de guerre Abdul Rachid Dostom, issu de cette ethnie et toujours à ses commandes, est soupçonné d’avoir fait massacrer en 2001 des centaines, voire des milliers, de prisonniers taliban.

    Comment des fonctionnaires occidentaux en costume croisé ont-ils pu penser imposer la démocratie à ce pays ? Une guerre de vingt ans en aura apporté la preuve, la démocratie n’est  pas et n’a jamais été un système universel que l’on pouvait imposer après une guerre. Cet impérialisme idéologique est sans doute mort à Kaboul après avoir été discrédité en Irak en Syrie et en Libye. Il aura même été incapable de se servir des leçons du colonialisme qui, à chaque fois, a fait beaucoup mieux au niveau de la compréhension des peuples et du respect de leurs identités profondes et intangibles. On dit que l Afghanistan n’a jamais été conquis. C’est vrai des Soviétiques et des Américains et un peu moins des Anglais. Mais l’Afghanistan préislamique a été imprégné de la conquête d’Alexandre avant d’être balayé plus tard par les armées de Gengis Khan ou de Tamerlan. Et une dynastie de guerriers afghans a régné sur l’empire perse.

    C’est dire que les analyses médiatiques passent à côté de bien des complexités, si éloignées des critères sclérosés de nos anachronismes idéologiques. Tout tourne autour des réfugiés, du droit d’asile et de discussions avec les Taliban. Discuter sans les reconnaître ? Mais il n’y a rien à reconnaitre sauf la réalité : ils sont les maitres de Kaboul. Auraient-ils changé en deux décennies, alors qu’ils n’ont pas bougé en un millénaire ? Ils sont les mêmes. Ils veulent pouvoir lapider en toute tranquillité les femmes réputées adultères selon les lois de la charia. L’explosion démographique et la fuite des campagnes vers les villes risquent certes de leur poser des problèmes nouveaux. Bon courage cependant pour trouver des taliban modérés et en faire des interlocuteurs valables, sinon des alliés, contre ceux qui rêvent au nom du même dieu de nous faire sauter ou de nous égorger.

    Les taliban vont devoir maintenant affirmer leur pouvoir contre ceux qui, ethniquement ou religieusement, veulent le leur disputer. Mais c’est leur affaire. Pour nous restent la perspective d’un tsunami de réfugiés et surtout une nouvelle guerre pour rien et des soldats sacrifiés à l’utopie démocratique mondialiste. Avec ce sentiment de honte, comme après Saïgon ou Alger, de lâchage de ceux qui ont cru qu’on resterait. On ne reste plus jamais depuis si longtemps… Et quand on voit le désarroi d’un Joe Biden vieilli par sa déroute, on se dit que ceux qui espéraient un nouvel Obama se retrouvent avec au mieux un Jimmy Carter et au pire avec un Gorbatchev états-unien. Après Kaboul, l’empire ne contre-attaquera plus jamais dans le monde arabo-musulman.

    Pierre Boisguilbert
    02/09/2021

    Source : Correspondance Polémia

  • France, Italie, et combien d’autres pays : mêmes absurdités quant au passe sanitaire

    Publié par Guy Jovelin le 03 septembre 2021

    Auteur : 

    Oyez, oyez, braves Français : si vous croyez que le banquier Macron et son gouvernement de néo-technocrates douteux et néophytes véreux, est le seul à pondre des normes absurdes quant au passe sanitaire, détrompez-vous. En Italie, sous la houlette du banquier Draghi, -et oui la banque est aux commandes dans le Bel Paese aussi-, le Green Pass, comme on l’appelle là-bas, -petite indication qu’il est là pour durer et servir à une urgence climatique qui pointe à nouveau le bout de son nez-, donne lieu à des situations ubuesques, si ce n’est tragiques ! Et vous remarquerez que c’est le même schéma normatif, autre indication que nos pays européens sont soumis à des ordres supranationaux…

    Petite compilation des absurdités listées par un quotidien italien :

    « Si les pompiers n’ont pas le Green Pass, ils ne peuvent pas prendre l’hélicoptère. Ceux qui ont un besoin urgent d’aide peuvent également mourir, la faute ne reviendra qu’à ceux qui ne se font pas vacciner ou qui ne font pas leur test à temps. En sommes-nous arrivés là ? Oui, apparemment. C’est arrivé dans le Trentin, mais ce n’est pas la seule absurdité de nos jours.

    Depuis hier 1er septembre, une série de nouvelles obligations Green Pass a été déclenchée. Le passe sera désormais obligatoire dans les restaurants et bars avec service de table en salle, spectacles, événements sportifs, piscines, gymnases, expositions, musées et autres lieux de culture, une réglementation complexe pour les mariages est introduite, il sera toujours obligatoire pour les enseignants et le personnel scolaire et à l’universitaire pour les enseignants et les étudiants, les avions, les bateaux, les trains, les bus longue distance. Le bon sens est déjà la première victime de cette campagne et les premiers événements tragi-comiques provoqués par ces nouvelles obligations sont là pour le prouver.

    Le même règlement cet été a prouvé que prendre un bus bondé ne nécessite pas de Green Pass, alors qu’il est obligatoire pour prendre un train interrégional avec un siège réservé. Où est le plus le risque de contagion ? Dans le bus pour aller au travail (surtout maintenant que tout le monde retourne en masse au travail) ou dans le train où vous êtes déjà espacé ? Vous risquez plus dans un métro bondé (pas de Green Pass) ou dans un avion (Green Pass obligatoire) avec air filtré et espacement ? Dans une église où l’on assiste à un concert, lorsqu’il y a un événement culturel : le Green Pass. Dans la même église, si une messe est célébrée : pas de Passe Vert. Dans un bar, si on consomme au comptoir, il n’y a pas besoin de Green Pass, si l’on s’assoit à table, dans la même pièce, il faut le montrer au barman. Doit-on continuer ? Oui bien sûr : même pour entrer sur une place, en cas d’événement sportif ou culturel, il faut présenter le Passe Vert, mais si l’on passe par la même place, peut-être avec plus de monde aux heures de pointe, il n’est pas nécessaire.  

    La nouvelle série d’obligations déclenchée hier a déjà provoqué une nouvelle compétition de zèle dans l’application de la norme, avec un grand mépris du ridicule. L’Université de Trieste a introduit l’obligation d’un Green Pass pour les étudiants et les enseignants également au cours des examens à distance. Vous avez bien lu : à distance. Par conséquent, deux personnes se parlant depuis une webcam, à des kilomètres l’une de l’autre, doivent être en possession du Green Pass, comme s’il y avait un risque de contagion. Le recteur, Roberto di Lenarda, a expliqué sa décision en ces termes : l’obligation de posséder le laissez-passer n’a pas été établie dans le but de “garantir à aucun vacciné de rester chez lui et de passer ses examens à distance”. En ce sens, ajoute Di Lenarda, “l’obligation sert à inciter les élèves à se faire vacciner”. Sincérité bénie, utile pour ceux qui croyaient encore que le Passe Vert était une mesure de sécurité pour protéger notre santé, pas un décret éthique de l’État pour encourager les citoyens à se comporter de manière vertueuse.

    Et maintenant nous arrivons au cas des pompiers. Cela se passe à Trente, la nouvelle est donnée par le journal localIl Dolomiti. Nous rapportons textuellement : « Une voiture au fond du lac de Garde et l’alarme pour le risque que quelqu’un soit coincé à l’intérieur de l’habitacle. Il a fallu une heure et demie aux plongeurs du Trentin pour atteindre Campione du côté de Brescia. Un voyage en van à jongler avec la circulation et les virages le long de la route nationale du Gardesan le dernier dimanche d’août. La raison ? Sans un laissez-passer vert, ils n’ont pas pu monter dans l’hélicoptère et voler en 15 minutes environ, déjà en équipement de secours, directement vers la cible. La ponctualité est la clé des opérations de secours mais les délais se sont incroyablement allongés : sans vaccination ni tampon négatif de 48h vous ne décollez pas mais vous conduisez et tout s’allonge. » Heureusement, la voiture était vide et il n’y a eu aucune victime. Toutefois, notez au moins deux choses. La première : sans le Green Pass, vous ne pouvez pas monter à bord d’un hélicoptère, mais vous pouvez voyager en van. Une heure et demie de trajet en van est donc considérée comme moins dangereuse, aux fins de l’infection, qu’un quart d’heure en hélicoptère. Et c’est la moindre des choses. Le vrai problème est le deuxième aspect : vous préférez risquer de tuer une personne en commettant le crime de mort injustifiée, afin de respecter à la lettre le règlement Green Pass. Il ne serait pas poli de recourir à des comparaisons avec des régimes totalitaires sanglants, mais des choses similaires ne se sont produites que dans les États soviétiques.

    Et la cerise sur le gâteau, en fait, c’est le commentaire du responsable local : “Cette fois, ça s’est bien passé parce qu’il n’y avait personne à sauver, déclare Raffaele De Col, le directeur général du Département de la protection civile du Trentin à Il Dolomiti. Mais il n’en demeure pas moins qu’il y a eu un retard dans l’intervention du fait d’opérateurs sans vaccination ni tampon (la rédaction souligne). L’espoir est qu’il serve à ébranler la conscience de ces gens ». La conscience de ceux qui introduisent ces règles, en revanche, est parfaitement en paix. »

    Même dictature sanitaire avec ses règles absurdes et tragi-comiques d’un côté de l’autres des Alpes, dictature qui veut s’imposer au monde entier…

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : .medias-presse.info