Publié par Guy Jovelin le 07 février 2022
Sur facebook, la Direction générale du Trésor félicite l’un des siens, parti pantoufler dans le privé, pour une société étrangère, avec toute l’expérience, les secrets et les réseaux acquis !
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Publié par Guy Jovelin le 07 février 2022
Sur facebook, la Direction générale du Trésor félicite l’un des siens, parti pantoufler dans le privé, pour une société étrangère, avec toute l’expérience, les secrets et les réseaux acquis !
Publié par Guy Jovelin le 07 février 2022
La chronique de Philippe Randa
Le 20 janvier dernier, une sanglante mutinerie s’est déroulée à la prison de Ghwayran, à Hassaké, dans le nord-est de la Syrie. Deux kamikazes ont ouvert une brèche dans l’enceinte de ce lieu de détention surpeuplé par 5 000 Fous d’Allah, permettant ainsi à 200 djihadistes de pénétrer dans les lieux, tandis que des mutins s’emparaient de l’armurerie et que des centaines de détenus prenaient la clé des champs… résolvant pour partie, à l’évidence, le surpeuplement du lieu.
« Le bilan des affrontements au 29 janvier est, selon l’Office syrien des droits de l’homme, d’au moins 260 morts (180 jihadistes, 73 combattants kurdes et 7 civils) et risque fort de s’alourdir », rapporte Jean-Pierre Filieu dans Le Monde qui rappelle la mise en garde prophérée en juin 2019 par Florence Parly, ministre des Armées : « La prochaine générations de tueurs (de l’État islamique)… même si elle croupit dans les prisons kurdes, ce n’est pas une armée qui se rend, c’est une armée qui attend son heure. »
On apprend ainsi que la défaite territoriale à 100 % du Califat islamique en mars 2019, après la chute de Baghouz, est loin d’avoir signée la fin de Daech : celui-ci serait aujourd’hui « dix fois plus nombreux, avec une dizaine de milliers de combattants entre la Syrie et l’Irak, et au moins autant de sympathisants prêts à prendre les armes à leurs côtés », toujours selon Jean-Pierre Filieu.
On avait bien rit de Sandrine Rousseau, candidate malheureuse à la primaire écologiste d’EELV, quand elle avait suggéré que la France aurait tout bénéfice à avoir les « potentiels terroristes » sur son sol – pour pouvoir ainsi mieux les surveiller – plutôt que de les savoir hors de notre pays, libres de concocter leur Djihad en toute tranquillité !
Propos surréalistes ? Provocation bobo-gaucho-écolo déconnectée de tout bon sens ? Assurément… à moins que la facétieuse écologiste n’envisage que les « potentiels terroristes » nous apporte (enfin !) la solution au surpeuplement de nos propres prisons… à la mode, à la mode de Ghwayran ?
Source EuroLibertés cliquez ici
Publié par Guy Jovelin le 06 février 2022
« Une véritable saignée, comme une plaie béante qui vide le système nerveux de la matière grise, s’étendant, d’année en année, à toutes les pépinières de compétences que compte le pays », s’indigne le quotidien Liberté, qui titre en une « Ils fuient… ! », après l’annonce du départ de quelque 1 200 médecins algériens vers la France. Un chiffre qui n’a « jamais atteint cette ampleur », s’alarme le quotidien El Watan.
L’information, donnée par le docteur Lyes Merabet, président du Syndicat autonome des praticiens de santé publique (SNPSP), concerne les résultats publiés, le 4 février, par le Centre national de gestion des praticiens hospitaliers en France (CNG) dévoilant que, sur les 1 993 lauréats des épreuves de vérification des connaissances (EVC, un concours annuel), 1 200 sont des médecins spécialistes algériens. Ces derniers peuvent donc commencer à exercer dans les hôpitaux en France. « Néanmoins, les lauréats du concours devront se faire à l’idée d’avoir un statut de médecins étrangers, bénéficiant d’un poste intermédiaire, une catégorie inférieure à leurs collègues français », précise le quotidien El Watan. Ils n’auront, selon le même média, leur inscription à l’Ordre des médecins français qu’au bout de trois ans d’évaluation par les responsables des structures hospitalières où ils exercent. (…)
Publié par Guy Jovelin le 06 février 2022
Source : fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 06 février 2022
Vendredi dernier, un conducteur de bus du réseau ACSO à Creil (Oise) a déposé plainte après avoir reçu des insultes racistes de la part d’un usager. La direction de RATP Dev, qui gère le réseau, mise sur la formation, la médiation et une accentuation des contrôles des titres de transport. «Certains passagers sont extrêmement tendus», déplore Hicham El Abiad, délégué CFDT.
Face une hausse de l’agressivité de certains usagers, les conducteurs de bus du Creillois ne cachent plus leur inquiétude. « Des collègues se font insulter, cracher dessus. Il y en marre », s’indigne l’un d’eux. Selon la direction de RATP Dev, qui gère le réseau de l’Agglomération Creil Sud Oise (ACSO), une dizaine d’entre eux – sur les 90 agents que compte RATP Dev – sont actuellement arrêtés suite à des agressions verbales proférées par des usagers. […]
Le conducteur de bus du réseau ACSO qui été insulté raconte :
« Il m’a dit : tu crois que c’est le bus de ta mère », relate la victime. La situation se tend rapidement. L’homme l’insulte alors de « fils de pute » mais aussi de « sale esclave » et de « sale noir » à plusieurs reprises. « Descends, je vais te tuer », lui aurait également dit l’usager. « D’ordinaire je suis quelqu’un de très cool et de très ouvert. Je n’ai jamais eu d’altercation avec un passager. Mais là, j’ai craqué et j’ai fini par l’insulter aussi », rapporte le chauffeur, qui finira par faire descendre tous les passagers et mettre fin à son service.