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  • Devenir protestant avec Bergoglio ou demeurer catholique avec l’Église éternelle ?

    Publié par Guy Jovelin le 06 février 2022

    Auteur : 

    Les instituts de rite tridentin seraient « forcés » de suivre le Novus Ordo

    D’après nos confrères de Summorum-Pontificum.de du 3 février, le Vatican s’apprête à soumettre les instituts de rite tridentin, tels que la Fraternité Saint-Pierre, aux mêmes lois draconiennes que celles imposées au clergé diocésain et tentera de les forcer à adopter le Novus Ordo :

    « À l’avenir, aucun prêtre ne devrait pouvoir éviter de célébrer le Novus Ordo. La « reconnaissance » abstraite précédemment exigée de la Réforme de Bugnini et de Paul VI ne devrait plus suffire et seuls ceux qui célèbrent également publiquement dans le NO auront une chance d’être pris en compte lors de la délivrance des « exemptions » requises dans le cadre de Traditionis Custodes. »

    Les nouvelles obligations devraient entrer en vigueur au mois de mars prochain. Il est probable, et même souhaitable,  que tant de légalisme et de rigidité seront tout simplement ignorés par les Instituts de rite tridentin.

    On tentera d’imposer la règle de Chicago selon laquelle « le premier dimanche du mois » doit être célébré dans le Novus Ordo, du moins pour l’apostolat public des religieux.

    Il n’a pas encore été décidé si cela s’appliquera également à l’usage interne et comment cela serait possible, mais faisons confiance à la « Rome conciliaire » pour trouver une façon « légale » d’imposer « l’illégitime »…

    Sources : gloria.tv/fr.news / Summorum-Pontificum.de

  • En attente d’une demande d’asile, il est condamné pour avoir frappé trois personnes dont un policier dans la rue à Caen

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2022

    Condamné pour avoir frappé trois personnes dont un policier dans la rue à Caen

    C’est la vidéosurveillance du PC sécurité de Caen qui alerte les policiers. Quai Vendeuvre, un homme est en train d’en frapper un autre et une femme est au sol. Quelques instants plus tôt, le couple avait engagé la conversation avec un homme de 32 ans en attente d’une demande d’asile.

    Celui-ci aurait ensuite attrapé le sac de la jeune femme et pris le portable et les écouteurs qui se trouvaient à l’intérieur. Elle serait tombée en lui courant après tandis que son ami aurait reçu un coup de poing.

    L’interpellation n’est pas des plus simples : le prévenu crache à plusieurs reprises et porte un coup de pied sur le tibia et sur le dos d’un policier.

    www.ouest-france.fr via fdesouche

  • A force de nous fréquenter, la taille du cerveau des chats a diminué

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2022

    Par Matthias Bertrand
    Publié le  à  • Il y a 3j

    L’exemple le plus connu est bien sûr canis lupus familiaris, notre bon vieux chien domestique qui nous accompagne depuis au moins 12.000 ans, voire bien plus encore, mais qui reste génétiquement un loup, chez lequel on a simplement sélectionné des traits qui nous plaisaient, comme un caractère joueur, une moindre remise en question de l’autorité, ou une communication plus facile d’une espèce à l’autre.

    Le chat, venu avec l’agriculture

    Tous nos animaux domestiques sont des versions sélectionnées de leurs équivalents sauvages, mais pour le chat c’est un peu plus compliqué : si Felis silvestris catus fréquente notre espèce depuis au moins 7.000 ans av. J.-C., certains chercheurs pensent qu’il ne s’est pas exactement laissé domestiquer. Il a juste considéré que se rapprocher de nous pouvait lui être plutôt bénéfique alors que nous commencions à maitriser l’agriculture, attirant ainsi involontairement des rongeurs en grand nombre qui convoitaient nos grains. Le chat a suivi sa nourriture, éliminant les petits rôdeurs, et posant ainsi les bribes d’une sorte de collaboration.

    Des crânes moins volumineux que leurs ancêtres

    « Nos données indiquent que les chats domestiques ont effectivement des volumes crâniens plus petits (ce qui implique des cerveaux plus petits) par rapport aux chats sauvages d’Europe (Felis silvestris) et aux ancêtres sauvages des chats domestiques, les chats sauvages d’Afrique (Felis lybica), ce qui confirme des résultats plus anciens », expliquent les chercheurs dans leur nouvel article. « Nous avons également constaté que les hybrides de chats domestiques et de chats sauvages européens ont des volumes crâniens qui se situent entre ceux des deux espèces parentes. »

    Les chercheurs considèrent qu’il s’agit là d’une conséquence de la sélection pour la docilité lors de la domestication, qui conduit à la production de moins de cellules de crête neurale, liées à l’excitabilité et à la peur. Ce phénomène pourrait à son tour entraîner des modifications de la réponse au stress, de la taille du cerveau et de la morphologie générale du corps. De quoi démontrer que, malgré leur capacité à se débrouiller sans nous par rapport à d’autres espèces domestiques, les chats restent des animaux qui se sont fort transformés à notre contact, même si c’est moins visible que chez le mouton ou le chien par rapport au mouflon et au loup.

    Ce qui relativise donc le scénario du chat sauvage qui se serait volontairement rapproché de nous tout en gardant son autonomie : selon les chercheurs, les chats domestiques continuent d’être choisis comme animaux de compagnie en fonction de leur tempérament, ce qui en fait un sujet approprié pour la domestication. Malgré ses griffes et sa capacité à chasser -qui fait des dégâts dans les écosystèmes – le greffier n’a plus grand-chose à voir avec un animal sauvage.

  • Catalogne (Espagne) : Démantèlement d’une cellule terroriste qui payait des soins à des djihadistes dans les meilleurs cliniques de Barcelone avant de repartir en Libye pour s’y faire exploser

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2022

    La police espagnole a démantelé en Catalogne une cellule de financement du djihadisme qui aidait les combattants libyens à soigner leurs blessures de guerre dans des cliniques de plusieurs villes, dont Barcelone, avant de repartir au combat.

    La particularité de cette opération, qui a donné lieu à trois arrestations à Barcelone, Gérone et Badalona, est que cette organisation, en plus de financer le djihadapportait un soutien aux djihadistes pour que, impliqués dans la guerre en Libye, ils puissent être soignés dans des cliniques privées réputées de Catalogne et d’autres communautés autonomes.

    Comme La Vanguardia a pu le confirmer de sources proches de l’enquête, les agents du Commissariat général d’information de la police nationale ont procédé aux trois arrestations – deux citoyens libyens et une marocaine – tout au long de la journée de mercredi dernier pour un délit présumé de financement du terrorisme, dans le cadre de l’opération connue sous le nom de “Kital”. Ce vendredi matin, les trois personnes ont été remises au chef du tribunal central d’instruction numéro un de l’Audiencia Nacional, qui a ordonné l’emprisonnement du chef du réseau.

    Les enquêteurs affirment que certains rapatriés se sont fait exploser à leur retour en Libye.

    L’enquête remonte au moins à 2019, lorsque les premiers combattants sont arrivés en Espagne pour être soignés. Les mêmes sources soulignent qu’une fois que les djihadistes sont sortis des centres de santé, ils sont retournés en Libye pour continuer à combattre dans les rangs des terroristes. En fait, les enquêteurs affirment avoir détecté que certains des rapatriés avaient pour but de s’immoler au nom du djihad. L’État islamique en Libye est crédité d’une attaque en Europe, l’attentat de Manchester en 2017.

    Après avoir détecté l’entrée des djihadistes qui arrivaient en Espagne pour se faire soigner dans des cliniques privées, les agents ont atteint la cellule de financement qui a été démantelée avec l’arrestation de deux hommes et d’une femme qui vivaient en Espagne depuis plusieurs années. Les trois personnes arrêtés ramenaient de l’argent depuis la Libye pour ensuite le faire partir dans des pays tiers.

    Parmi les mécanismes qu’ils utilisaient pour déplacer l’argent figuraient les transferts et les coursiers humains, ce que l’on appelle la hawala, une méthode permettant d’envoyer de l’argent entre des personnes dignes de confiance sans avoir à passer par le système bancaire. L’enquête montre que les djihadistes présumés ont déplacé d’importantes sommes d’argent sans justification.

    Les détenus sont originaires de la région libyenne de Zawiya, dont le port est connu pour la contrebande de pétrole. En effet, le gouvernement libyen combat des milices spécialisées dans le vol de pétrole.

    […]

    Lors de l’opération policière qui s’est déroulée mercredi en Catalogne, les agents ont effectué plusieurs perquisitions au cours desquelles ils ont saisi une grande quantité de matériel informatique qui est en attente d’analyse. Dans l’attente de la vérification des informations saisies, les enquêteurs ont pour l’instant écarté la possibilité que les djihadistes arrêtés aient eu l’intention de préparer des actes terroristes, contrairement à la dernière opération d’envergure menée en Catalogne et à Madrid – au cours de laquelle cinq djihadistes présumés avaient été arrêtés “prêts à attaquer”.

    […]

    La Vanguardia via fdesouche

  • L’AFP : la plus grande fabrique française de fausses nouvelles

    Publié par Guy Jovelin le 05 février 2022

    lesmoutonsrebelles

    L’AFP, c’est 8 « Fake News » [Fausses nouvelles] en une seule dépêche1 contre le Pr Perronne.

    Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid-19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews » [vérification de nouvelles].

    Actuellement l’AFP, financée largement par l’État met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » [Vérification des faits] à disposition !

    Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.

    Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe, il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.

    1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins ! L’AFP ment en le prétendant

    Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d’un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.

    Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un vaxicament” ». L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?

    2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France ne sont plus au stade expérimental »

    Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques, mais ne montre aucun fait probant.

    Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.

    Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudovaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.

    L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !

    Mais peut-être que les « fact checkers » de l’AFP ne savent pas consulter le site « clinicaltrials.gov » ou ont du mal à lire l’anglais.

    3°) Les vrais vaccins sont destinés à empêcher les contaminations. L’AFP ment en prétendant le contraire

    Le succès des vaccinations contre les viroses telles que la variole, la fièvre jaune, l’hépatite B, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite repose sur cette capacité à empêcher d’attraper et de transmettre la maladie. Cette propriété première des vaccins à prévenir toute transmission virale constitue même l’argument fétiche pour imposer les obligations vaccinales :

    « Il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles ».

    Certes, certains vaccins n’y parviennent qu’à 90-95% (vaccin contre la rougeole) et les vaccins antigrippaux sont les moins efficaces (10 à 50%), car le virus mute chaque année et la formule vaccinale retenue ne constitue qu’un pari sur le mutant le plus probable et c’est pour cette raison qu’ils ne sont obligatoires dans aucun pays.

    Un vaccin incapable d’empêcher les transmissions risque, d’un point de vue sociétal, de se révéler plus dangereux qu’utile, car il risque d’inciter les injectés qui se croient protégés à adopter des comportements à risques. Cela a été constaté lors des essais de vaccins antisida et aussi lors de la mise en œuvre du passe sanitaire en Autriche.

    4°) Il faut au moins dix ans pour qu’un vaccin normal soit autorisé. L’AFP ment en prétendant le contraire

    Vaccination info service, organe de promotion des vaccins, précise sur son site2 :

    « Compte tenu des études et des tests exigés par les autorités, le développement d’un vaccin est très long, d’une durée pouvant aller de neuf à quatorze ans, voire plus (exemple du VIH/SIDA) ».

    Le dernier vaccin de Sanofi, le vaccin Dengvaxia a nécessité 20 ans de recherche d’après Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi3.

    Le dernier vaccin contre l’hépatite a de même nécessité plus de dix ans de recherche.

    Le vaccin Mosquirix développé pour lutter contre le paludisme à partir de 1996 n’a été accepté en Europe qu’en 2015 (19 ans après le début des recherches).

    Mais l’AFP fait semblant d’ignorer ces informations indiscutables.

    5°) L’AFP prétend imprudemment : « la technologie de l’ARN messager, élaborée depuis près de 30 ans et qui s’est révélée très efficace contre le Covid ». C’est trompeur et mensonger

    Certes cette technologie d’injection génique a été développée depuis longtemps, mais avec des échecs graves (leucémies après traitement des enfants bulles), mais elle n’avait jamais été utilisée en pathologie infectieuse. Pour un « vaccin », il s’agit donc d’une technologie expérimentale qui justifie les plus grandes précautions.

    Surtout, les résultats avérés de ces pseudo vaccins en population réelle sont franchement mauvais : incapables d’éviter la maladie et les contaminations.

    L’évolution sanitaire des pays les plus vaccinés le démontre, comme celle d’Israël désormais dans le peloton de tête mondial du nombre de personnes contaminées par nombre d’habitants.

    D’après les chiffres du ministère israélien de la Santé publiés le 30 janvier 2022, beaucoup de personnes testées positives avaient déjà contracté le Covid-19 ou bien avaient été vaccinées, et parfois même avaient reçu une quatrième dose.

    De quelle efficacité l’AFP glorifie-t-elle les pseudo vaccins ? De faciliter l’infection ?

    6° Les vaccins n’empêchent pas de faire des formes graves ni de mourir du covid. L’AFP ment en le niant

    Toutes les agences gouvernementales françaises sont mobilisées pour faire croire cette fable comme à l’époque de Tchernobyl pour prétendre que le nuage s’était arrêté à la frontière. Mais dans les autres pays, les agences sanitaires sont moins dépendantes de l’État et permettent une appréciation plus objective.

    Ainsi en Israël, en janvier 2022 le nombre de patients développant des symptômes sévères n’a pas cessé d’augmenter. Ce chiffre devrait dépasser le record de 1200 cas graves atteint il y a un an, alors que la première campagne de vaccination n’avait pas encore produit ses effets. D’après le ministère de la Santé, au 30 janvier 2022, sur les 1099 cas graves recensés dans le pays, 47% sont à jour de leur vaccination anti-Covid.

    La mortalité quotidienne actuelle dépasse déjà les records de la vague précédente.

    Grande-Bretagne

    Le 29/12/2021 UK Health Security Agency (UKHSA) a recensé 815 malades hospitalisés en soins intensifs pour Omicron.

    25% (206) d’entre eux n’avaient reçu aucune injection, 6% (49) une dose, 43% (352) deux doses et 23% (189) 3 doses, ce qui reproduit à peu près le statut vaccinal de la population générale et montre l’absence de protection des formes graves par les injections.

    7°) Oui, il existait des traitements efficaces au moment de l’homologation des vaccins. L’AFP ment en prétendant le contraire

    Pour s’en convaincre, il suffit de comparer l’évolution de l’épidémie en Algérie (qui a utilisé le protocole Raoult) à celle des pays voisins, Tunisie, Italie, France dont les populations sont proches par le pourcentage de plus de 60 ans et leurs comorbidités, mais qui ont interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

    Fin janvier 2022 l’Algérie compte 13 à 15 fois moins de morts de Covid par millions de personnes que les pays qui ont interdit les traitements précoces.

    Mais l’AFP croit peut-être qu’il y a eu un miracle en Algérie.

    8°) L’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès

    Rappelons les faits historiques.

    Après la 2ème Guerre mondiale, les alliés voulant punir les responsables des crimes contre l’humanité ont organisé deux procès, l’un contre les responsables politiques, l’autre contre les médecins responsables des expériences médicales faites dans les camps de concentration4,5. La moitié de ces essais thérapeutiques concernait des vaccins et en particulier contre le typhus, l’hépatite virale, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse.

    Pour réfuter l’argumentation de défense des accusés, les experts du tribunal ont approfondi les questions éthiques et juridiques, jusque-là peu explorées qu’ils ont résumées en Code de Nuremberg6,7.

    Ce code que les entreprises pharmaceutiques et leurs mercenaires voudraient abolir constitue le fondement des règles éthiques de la recherche médicale rappelées dans la déclaration d’Helsinki8 de l’Association médicale mondiale9 et de la convention d’Oviedo10,11. Les accords signés par la France à Oviedo en 1997 proclament entre autres :

    Article 1 : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

    Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

    Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

    Le jugement rendu les 20 et 21 août 1947 a acquitté 7 des 23 accusés. 9 ont été condamnés à de longues peines de prison, et 7 condamnés à mort ont été exécutés par pendaison le 2 juin 1948 pour n’avoir pas respecté le consentement volontaire du sujet humain.

    La convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 201212.

    D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg, mais la convention d’Oviedo qui interdit donc d’imposer une obligation d’injecter des substances expérimentales comme le sont actuellement les pseudo vaccins Covid.

    En affirmant le contraire, l’AFP reprend l’argumentaire de défense des médecins nazis.

    Globalement dans ce réquisitoire mensonger contre le Professeur Perronne, l’AFP ne s’est pas comportée en journaliste, mais plutôt comme un tribunal de l’Inquisition n’interrogeant même pas l’accusé, ne citant aucun fait avéré, diffusant sans précaution des mensonges d’État et n’hésitant pas à faire du révisionnisme historique.

    Y a-t-il encore des journalistes respectueux de l’éthique à l’AFP ?

    Mais il est vrai qu’un chien ne mord pas la main qui le nourrit et l’État nourrit généreusement l’AFP à qui elle fournit environ la moitié de son budget.

    source : Mondialisation