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  • Pascal Praud accuse Benzema pour les débordements lors de la finale

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    Pascal Praud, chroniqueur de CNEWS, fait aujourd’hui la polémique en s’exprimant sur les événements. Pour lui, Karim Benzema est le fautif : ces centaines de personnes qui ont forcé l’entrée ne l’auraient pas fait si Benzema n’était pas sur le terrain, ce que n’ont pas anticipé les forces de l’ordre. « Sa personnalité » serait responsable de l’ensauvagement des personnes qui voulaient entrer au stade sans billet à cette finale.

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1531254472743260160

     

  • UE et EU : deux « niet » à Zelensky

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    Missiles et sanctions, l’UE et les USA disent non au président ukrainien.

    Deux petites mais très lourdes portes claquèrent au nez de Zelensky. Il n’y a pas que la situation sur le terrain dans le Donbass qui inquiète le président ukrainien (« difficile de regagner du terrain », dit-il). Mais les relations avec l’UE et les États-Unis, principaux sponsors de la résistance ukrainienne face à l’envahisseur russe, entretiennent également les tensions à Kiev. D’une part, Joe Biden a nié les armes à moyenne portée demandées par l’Ukraine. Et d’autre part, l’Union européenne semble loin du feu vert à un sixième paquet de sanctions aussi incisif qu’espéré.

    Il est clair que la guerre se déroule désormais sur plusieurs fronts. Il y a d’abord les bombes, qui continuent d’exploser inexorablement dans l’est du pays et de tuer : aujourd’hui un journaliste français est également tombé. Ensuite, il y a les négociations, à la fois sur le cessez-le-feu et sur l’exportation de céréales. Ces derniers jours, Draghi, Macron et Sholz ont téléphoné à Poutine pour autoriser un couloir depuis le port d’Odessa. Aujourd’hui, c’était au tour de Recep Tayyip Erdogan. Les deux hommes ont discuté de la manière de sécuriser la navigation dans les mers Noire et Azov, désormais entièrement entre les mains de la Russie. Mais aussi de la possibilité d’accueillir une rencontre Russie-Moscou-ONU à Istanbul. Pour l’instant, Poutine a décliné l’offre d’un entretien téléphonique à trois.

    Sur le front des sanctions, cependant, les décisions de l’Union Européenne ne sont pas douces aux oreilles de Zelensky. Certes, Josep Borrel insiste sur le fait que l’UE continuera à soutenir Kiev « militairement et avec des sanctions contre la Russie ». Mais en fait les 27 sont divisés sur le sixième paquet de mesures économiques. Aujourd’hui et demain, les dirigeants se réunissent au Conseil européen avec un projet dont tout le monde n’est pas sûr qu’il puisse vraiment être adopté. Il y a un optimisme prudent au sein de la Commission européenne : la Pologne et l’Allemagne ont donné leur feu vert à l’interdiction du pétrole, mais pas la Hongrie d’Orban. L’embargo ne devrait concerner que l’or noir qui arrive par bateau, en protégeant ce qui transite par les oléoducs. Il peut y avoir des clauses d’exclusion pour Budapest. Mais le fait est que, même si l’embargo pourrait éventuellement affecter les 2/3 des exportations russes, pour l’Ukraine le fait que les 27 prennent autant de temps est mauvais signe.

    Mais ce qui frappe l’Ukraine, c’est peut-être le choix rendu public aujourd’hui par Joe Biden. Le président américain a décidé de ne pas envoyer de systèmes de missiles capables de toucher le territoire russe. Poutine l’avait indiqué comme une « ligne rouge » que l’Occident ne devrait pas franchir. Et apparemment Washington n’a pas l’intention de se risquer à devoir comprendre si ce que dit le tsar sur la bombe atomique est un bluff ou une véritable intention. Ces derniers jours, CNN avait évoqué l’hypothèse de la Maison Blanche d’envoyer des missiles à moyenne/longue portée comme le Multiple Launch Rocket System (MLRS) et le High Mobility Artillery Rocket System. Mais ce ne sera probablement pas le cas.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • L’idéologie du genre détruit des jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    L’idéologie du genre détruit des jeunesL’idéologie du genre détruit des jeunes

    Alors que les demandes de changement de sexe chez les mineurs sont en très forte augmentation en France, l’Académie de médecine alerte sur le

    «nombre croissant de jeunes adultes transgenres souhaitant “détransitionner”» .

    Elle a appelé fin février à une «grande prudence médicale» chez l’enfant et l’adolescent,

    « compte tenu de la vulnérabilité, en particulier psychologique, de cette population et des nombreux effets indésirables, voire des complications graves, que peuvent provoquer certaines des thérapeutiques disponibles» .

    Ypomoni, un collectif de parents qui milite «pour une approche éthique des questions de genre» rapporte

    «des histoires qui se ressemblent toutes: ados harcelés, agressés sexuellement, haut potentiel intellectuel (HPI), autistes, consultations expédiées, certificats de complaisance…»

    Inquiétant phénomène d’embrigadement : les cas d’enfants, d’adolescents et de jeunes adultes qui pensent ne pas être «nés dans le bon genre» et veulent changer de sexe se sont multipliés ces dernières années. En mai, le suicide d’un élève transgenre de 15 ans dans son lycée a suscité l’émotion. C’est une épidémie de suicides. Chez les adultes, le nombre de personnes prises en charge médicalement (admises en affection longue durée) pour transidentité a été multiplié par dix en dix ans, pour atteindre environ 9000 personnes en 2020, selon des chiffres de la Caisse nationale d’assurance-maladie (Cnam).

    «Isolées de la vie réelle, des jeunes filles se sont convaincues en ligne, en quelques semaines, qu’elles étaient des garçons. Des adolescentes m’ont raconté qu’elles étaient en permanence connectées à des forums de communautés trans qui jouent sur la victimisation. Elles avaient l’impression de rejoindre le camp du bien, des opprimés, et se voyaient acclamées quand elles se déclaraient non-binaires».

    Même constat pour l’association SOS Éducation :

    L’emprise des idéologies militantes trans-affirmatives fait croire à de plus en plus de jeunes en questionnement que le changement de sexe est la seule solution pour échapper à la souffrance identitaire qu’ils traversent.

    Aveuglés par les réseaux sociaux, pris dans les mailles d’un dispositif associatif sectaire, le risque est qu’ils s’engagent, en marge de leur famille, mais adoubés à l’école, dans des transitions irréversibles. Les pays qui ont pratiqué ces expériences sur des enfants font marche arrière face aux vies brisées. Pourquoi l’Éducation nationale n’en tient-elle pas compte?

    Passé la période de l’adolescence, un certain nombre de ces jeunes se rendent compte qu’ils ont fait fausse route ; mais c’est une démarche très difficile de revenir en arrière.

     

    Source : lesalonbeige

  • Stade de France : “Les collègues nous ont dit qu’ils n’avaient jamais vu autant de mineurs isolés, essentiellement des Nord-africains, regroupés et hyperactifs. Ils ont même vu un aveugle et un homme en fauteuil roulant se faire voler des biens personnels

    Publié par Guy Jovelin le 30 mai 2022

    Vols, violences et fraudes autour du Stade de France : "Jamais les policiers n'avaient vu un tel chaos"

     

    Les fonctionnaires sur place ont donc assisté à des scènes de vols répétées et sans précédent, sans presque pouvoir intervenir tant elles étaient multiples. La délinquance locale était aussi présente, mais ça n’était pas dominant du tout, selon eux. Une chose est sûre, les pickpockets sont venus en nombre pour voler du cash, des portefeuilles ou des téléphones, parfois même à des malvoyants ou des personnes en fauteuils roulants. Selon eux, il y avait tellement de vols en flagrant délit qu’ils ne pouvaient pas interpeller tout le monde. Ils ont donc récupéré et restitué les téléphones quand ils le pouvaient. Ils ont même vu un aveugle et un homme en fauteuil roulant se faire voler des biens personnels.”

    La grande majorité des gardes à vue classées sans suite

    Contacté par TF1info, le parquet de Bobigny indique ce lundi que 48 gardes à vue ont été prises sur son ressort, samedi soir, et qu’un nombre significatif de gardes à vue concernait des mineurs. “La grande majorité ont été classées sans suite – auteur inconnu ou procédure irrégulière- et aucune garde à vue de mineurs n’a donné lieu à déferrement. Une grande majorité des gardes à vue ont été levées, ajoute le parquet. Quinze gardes à vue de majeurs ont fait l’objet de prolongations, pour des décisions d’action publique à intervenir dans la journée.”

    Le parquet de Bobigny précise par ailleurs “qu’il y a eu un nombre important de plaintes contre X pour des vols, des vols à l’arraché, voire avec violence” et qu'”aucune garde à vue n’est intervenue pour des faits liés à des intrusions ou des faux billets d’entrée au match.”

    “Les policiers ont été débordés”, admet Grégory Goupil. Avant d’ajouter : “Le problème est aussi la réponse pénale qui est apportée”. Le secrétaire général du syndicat policier Alliance 93 rappelle que présenter un mineur à un officier de police judiciaire prend plus de deux heures. “Combien de vols à l’arraché, avec violence ou par ruse pendant tout ce temps pour, au final, avoir quoi ? Un rappel à la loi et une remise en liberté pour le mineur.” Selon lui, “si à chaque personne interpellée il y avait eu une réponse pénale adaptée, ce genre de débordements auraient peut-être été évités.”

    www.tf1info.fr via fdesouche

  • Le récit cauchemardesque d’une famille espagnole à Saint-Denis

    Puyblié par Guy Jovelin le 30 mai 2022

    “Il y avait des armées de voleurs qui chassaient les supporters”.

    C’est à l’aube, samedi, que ces cinq amis ont garé leur camionnette dans le quartier de Saint-Denis. José Francisco : “Nous nous sommes garés dans le quartier et un type est arrivé qui s’est mis devant nous et avec le traducteur google nous a dit “vous savez où vous vous garez ?” et nous a réclamé 50 euros pour protéger le van. On a fini par lui en donner 40, alors il a pris une photo et l’a transmise à sa bande, je suppose”.

    Puis vint le match, et le chaos : “Il n’y avait pas d’anneaux de sécurité ou quelque chose comme ça, tout le monde pouvait entrer, et ceux que l’on voyait sauter les barrières étaient des gens du quartier, de différentes races, que l’on voyait déjà palper tout le monde, chercher des montres, des téléphones portables”, se souvient José Francisco.

    La situation a empiré après le match, notamment pour Arancha Cortés et sa fille, qui n’étaient pas entrées dans le stade : “Nous sommes allées d’un bar au métro et j’ai commencé à voir des centaines de personnes du quartier qui nous observaient, qui traquaient tous les supporters, à la recherche de quelque chose à voler. J’ai appelé mon mari et lui ai demandé de sortir du stade parce que nous avions très peur, tout comme des centaines de supporters des deux équipes”.

    Et lorsque José Francisco est sorti du stade, il a découvert la scène : “Vous voyez des flots de ces gens qui se dirigeaient vers le stade, qui volaient, qui agressaient, avec des cutters pour découper les sacs. Je ne pouvais pas croire ce qui se passait, il y en avait des centaines et des centaines. Je suis arrivé dans le métro et les gens en sortaient en courant, imaginez ce qui se passait en bas. Ils ont jeté du spray au poivre et ça nous a frappé de plein fouet”.

    Le pur instinct de survie a conduit les supporters à rechercher la somme des gens, l’autodéfense : “Les supporters s’associaient les uns aux autres pour former des boucliers et mieux se défendre, les supporters du Real Madrid et de Liverpool même. J’ai appris par la suite que de nombreuses filles avaient été déshabillées et volées.”

    “Je venais de quitter le stade lorsque j’ai remarqué que quelqu’un avait fouillé dans ma poche et pris mon téléphone portable. Ma première réaction a été de lui courir après et je l’ai poursuivi jusqu’à ce que je le croise dans une rue : des dizaines de jeunes du quartier me regardaient avec un visage hargneux. J’ai crié à l’aide et la police est rapidement arrivée, est entrée dans la maison où le garçon était censé se trouver et l’a fait sortir, menotté et tout. Il était deux heures du matin et je voulais juste partir mais ils m’ont forcé à aller au poste de police pour déposer une plainte. Il y avait des centaines de fans, surtout des fans de Liverpool. Quand je suis parti, il était déjà trois heures et je cherchais comme un fou une voiture pour m’emmener hors du quartier. J’ai arrêté un gars et il m’a demandé 90 euros pour m’aider. Je l’aurais payé mille euros pour sortir de là

    C’est plusieurs heures après le début de la nuit que le groupe s’est retrouvé pour repartir vers Madrid avec beaucoup de choses à raconter : “Les gens ne peuvent pas imaginer ce que c’était. Il y avait des armées de voleurs à notre recherche. Il y a eu des bagarres, des agressions, des vols… Un film d’horreur”, se souvient Alfredo Gómez.

    20 minutos via lesobservateurs