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  • Paris : le campement du square de la Porte de Pantin une nouvelle fois démantelé, 326 migrants évacuées, les familles “orientées” vers la province

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2022

    Les démantèlements de squats se multiplient à Paris. 326 personnes, 165 personnes en famille et 161 hommes isolés, regroupées sur un campement au niveau de la Porte de Pantin, square de la Marseillaise, dans le XIXe arrondissement de Paris, ont été « prises en charge » ce jeudi, annonce dans un communiqué la préfecture de la région d’Île-de-France.

    En tout, rapporte la préfecture, ce sont 165 personnes en famille et 161 hommes isolés qui ont « bénéficié d’une mise à l’abri ». Les hommes isolés ont été orientés vers des centres d’accueil spécifiques où sera examinée leur « situation administrative ». « Ils y bénéficieront également d’un accompagnement social et sanitaire », précise aussi la préfecture.

    Les familles, elles, ont été orientées vers des « places en province », « où elles pourront bénéficier d’une évaluation de leur situation administrative, d’un accompagnement social, sanitaire et administratif afin d’être réorientées ». 79 personnes présentant des vulnérabilités) ont été « orientées » vers l’accueil de jour d’Austerlitz, précise aussi la préfecture. « Une soixantaine de personnes ont refusé les solutions d’hébergement qui leur étaient proposées », explique elle aussi.

    Les autorités s’appliquent, depuis plusieurs mois, à démanteler les campements. Plus de 3 200 personnes ont été « mises à l’abri » depuis le début de l’année, dans le cadre de 12 évacuations distinctes. Le square de la Marseillaise avait déjà fait l’objet d’une opération similaire en juin, 360 personnes avaient alors été prises en charge.

    Le Parisien via fdesouche

  • Notre raison d’être

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2022

     
    Bruno Hirout Secrétaire Général du Parti de la France

    Le Parti de la France a d’abord été une réaction politique et idéologique aux errements, aux abandons et aux trahisons du Front National, en 2009, deux ans avant que Marine Le Pen ne transforme le parti de son père en une espèce de conglomérat souverainisto-progressiste.

    Ainsi, cela fait plus de 13 ans que le PdF défend les idées qui auraient dû rester celles de toute la droite nationale, un triple respect sur lequel notre civilisation s’est bâtie et se rebâtira : le respect du travail et des travailleurs, le respect de la famille et de la vie, le respect de la patrie et des héros qui ont fait la France.

    Ces idées, qui ont l’air naturelles, sont pourtant foulées aux pieds par la gauche et les agents de l’anti-France, ce qui n’est pas surprenant, mais également par ce qui nous est présenté comme la droite et son extrême. On ne trouve plus, aujourd’hui, de LR au RN, de cadres pour rappeler qu’aucune société saine ne peut se construire sur la banalisation de l’avortement, de la pornographie, de l’homosexualité, de la gestation pour autrui, de la PMA sans père ou sans mère, et de la toute-puissance du trio infernal oisiveté-malbouffe-divertissement.

    Eh bien le Parti de la France, lui, depuis maintenant 13 ans, est en quelque sorte la boussole de la famille politique nationale. C’est lui qui organise des manifestations contre l’immigration, qui envoie ses cadres et ses militants dans les manifestations pro-vie, qui organise chaque année un hommage à sainte Jeanne d’Arc, qui envoie des candidats aux élections ou qui appelle à soutenir les candidats les plus proches de nos idées ou en tout cas les candidats les moins nocifs à notre peuple et à notre patrie.

    C’est parce que le Parti de la France martèle depuis 13 ans ce que la droite nationale a toujours martelé avant de devenir obsédée par la dédiabolisation, notamment par ses candidatures, ses meetings, ses communiqués et la diffusion de son matériel militant (affiches / tracts / autocollants), que les idées utiles à notre peuple et à notre patrie ne sont pas tombées dans l’oubli et qu’hier un candidat a pu s’en saisir, même si c’était assez imparfait, et notre but est de poursuivre ce patient travail d’imprégnation de nos idées parmi la population, mais aussi parmi les cadres du mouvement national pris dans son ensemble.

  • Une étude scientifique démontre que les non-vaccinés ont un meilleur système immunitaire que les vaccinés

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2022

    Selon une analyse publiée par les National Institutes of Health (NIH), une étude récente disponible dans la revue Lancet révèle que les injections de rappel du vaccin contre le COVID-19 peuvent être nocives pour le système immunitaire et provoquer des effets indésirables importants.

    L’étude montre également que huit mois après un régime à deux doses, les injectés ont une fonction immunitaire plus faible que les non vaccinés.

    Le Dr Kenji Yamamoto , un chirurgien cardiovasculaire qui a écrit ou co-écrit des milliers d’articles disponibles sur le site Web PubMed des NIH, a souligné non seulement l’efficacité décroissante bien connue des injections expérimentales basées sur les gènes du coronavirus, mais que les injections peuvent en fait causer des dommages également au système immunitaire de leurs receveurs.

    L’étude du Lancet « a montré que la fonction immunitaire des individus vaccinés 8 mois après l’administration de deux doses de vaccin COVID-19 était inférieure à celle des individus non vaccinés », a écrit le médecin japonais.

    Pour cette raison, il souligne que même l’Agence européenne des médicaments (EMA) avertit que « des injections de rappel fréquentes contre le COVID-19 pourraient affecter négativement la réponse immunitaire et pourraient ne pas être réalisables ».

    «La diminution de l’immunité peut être causée par plusieurs facteurs tels que la N1-méthylpseudouridine, la protéine spike, les nanoparticules lipidiques, l’amélioration dépendante des anticorps et le stimulus antigénique d’origine. Ces altérations cliniques peuvent expliquer l’association signalée entre la vaccination contre le COVID-19 et le zona », a écrit le Dr Yamamoto.

    « Par mesure de sécurité, d’autres vaccinations de rappel devraient être interrompues », a-t-il déclaré.

    Rapportant son expérience à l’hôpital Okamura Memorial à Shizuoka, au Japon, le médecin respecté a mentionné de nombreux problèmes associés aux injections, y compris le zona, qui est parfois appelé « syndrome d’immunodéficience acquise par le vaccin ». Depuis fin 2021, son service cardiovasculaire a rencontré de nombreux cas « difficiles à contrôler ».

    Il a signalé que dans certains cas extrêmes, en raison des injections, les patients ont présenté une inflammation grave après une chirurgie à cœur ouvert « qui n’a pas pu être contrôlée même après plusieurs semaines » et « il y a eu quelques décès ».

    Yamamoto a également mentionné : « Les médias ont jusqu’à présent dissimulé les événements indésirables de l’administration du vaccin, tels que la thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin (VITT), en raison d’une propagande biaisée ».

    Il avertit en outre qu’avec le temps, les blessures causées par le vaccin COVID-19 « sont susceptibles de devenir plus apparentes. Il a été émis l’hypothèse qu’il y aura une augmentation des maladies cardiovasculaires, en particulier des syndromes coronariens aigus causés par les protéines de pointe dans les vaccins génétiques ».

    De plus, « Outre le risque d’infections dues à des fonctions immunitaires affaiblies, il existe un risque possible de lésions organiques inconnues causées par le vaccin qui est resté caché sans présentations cliniques apparentes, principalement dans le système circulatoire », a averti le médecin.

    Le mois dernier, une étude publiée dans le New England Journal of Medicine a révélé que deux doses d’ ARNm anti-COVID peuvent entraîner une diminution de la protection contre le nouveau coronavirus par rapport à celle obtenue par l’immunité naturelle.

    Il a également conclu que le niveau de protection offert contre l’infection par la variante omicron du COVID-19 de l’immunité naturelle dépasse largement celui d’un régime à deux doses des injections d’ARNm disponibles contre le virus.

    Fin juin, le BMJ a publié une étude montrant que les injections de Pfizer et de Moderna étaient plus susceptibles d’hospitaliser des personnes en raison d’événements indésirables graves liés aux injections qu’elles ne vous protégeraient contre des conséquences graves du COVID.

    Le risque de blessure post-vaccinale était si grand que les auteurs ont conclu qu’il n’y avait « aucune preuve d’une réduction de la mortalité globale dans les essais de vaccins à ARNm ».

    Les données publiées la semaine dernière par le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) des Centers for Disease Control ont fait état de 1 357 937 événements indésirables au total aux États-Unis après des injections de vaccins expérimentaux contre le COVID-19, dont 29 790 décès et 247 686 blessures graves entre le 14 décembre et 2020, et 22 juillet 2022.

    Ceux-ci comprennent également 55 719 incapacités permanentes, 50 739 cas de myocardite/péricardite et 14 374 cas déclarés de zona.

    Comme ces chiffres sont basés sur des rapports volontaires, il est important de noter qu’ils ne sont très probablement que « la pointe de l’iceberg » en chiffres réels.

    Une étude réalisée à Harvard en 2010 et commandée par le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a révélé que «moins de 1% des événements indésirables liés aux vaccins» sont signalés au VAERS, et le fabricant de vaccins Connaught Laboratories a calculé une « sous-déclaration des événements indésirables » (de l’ordre d’une déclaration pour 50 effets indésirables) dans une étude confidentielle.

     

    Source : medias-presse.info

  • Défends ton Eglise ! L’exemple d’une belle jeunesse de France

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2022

    Non, toute la jeunesse de France n’est pas amorphe, décadente, futile, décérébrée, hypnotisée par les écrans et incapable de se mobiliser généreusement pour les grandes causes. Ces images en sont la plus belle preuve en cette période estivale.

    Le 31 juillet, à l’appel du collectif Stop profanations, une vingtaine de jeunes catholiques se sont rassemblés devant l’église Saint-Germain à Saint-Germain-en-Laye.

    Ils ont prié le chapelet sur le parvis en réparation des récentes profanations, et ont distribué des tracts afin d’alerter les fidèles au sujet des profanations anti-chrétiennes, et surtout, de les inciter à se mobiliser dans leur propre paroisse, pour défendre notre foi et nos églises.

     

  • A Barcelone, Baptiste Marchais règle son compte à un profanateur d’église

    Publié par Guy Jovelin le 06 août 2022

    Auteur : 


    Baptiste Marchais, compétiteur en force athlétique spécialisé dans le développé couché, catholique identitaire, youtubeur (Bench&Cigars), s’explique dans une vidéo qui fait le buzz sur la façon musclée dont il a résolu la provocation sacrilège d’un énergumène à Barcelone.