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  • Étude: 22 % des moins de 50 ans diagnostiqués avec une nouvelle maladie post-vaccination

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2022

    Que nous enseigne la première enquête ?

    La première enquête, réalisée auprès de 1 038 participants, s’adressait aux adultes de tous âges. Des résultats inquiétants, si l’on en croit ses conclusions, puisque parmi l’ensemble des participants, 33 % n’étaient pas vaccinés, 67 % avaient été vaccinés au moins une fois et 15 % d’entre eux avaient déclaré avoir été diagnostiqués avec une nouvelle maladie quelques semaines ou mois après s’être fait inoculer le vaccin.

    Les résultats de cette étude mettent en évidence la vulnérabilité des jeunes, puisque ce risque est concentré sur les tranches d’âges de 18 à 29 ans, avec 30 % des personnes vaccinées qui ont reçu un nouveau diagnostic. Un chiffre également élevé pour la catégorie des personnes âgées de 30 à 49 ans, qui sont 23 % à avoir déclaré une nouvelle maladie.

    En revanche, pour les tranches d’âges supérieures, les chiffres sont nettement en baisse. Parmi les personnes âgées de 50 à 64 ans, 6 % d’entre elles ont été diagnostiquées avec une nouvelle pathologie, un chiffre qui tombe à 4 % chez les plus de 65 ans.

    Ce sondage montre qu’il existe aussi des disparités entre les appartenances ethniques, puisque les Afro-Américains (21 %) et les Hispaniques (32 %) ont beaucoup plus souvent été diagnostiqués avec de nouvelles maladies que les Occidentaux (7 %). Des données qui devraient être analysées pour connaître les raisons de ces différences.

    Selon l’enquête, les nouvelles pathologies mentionnées par les personnes interrogées coïncident avec les effets secondaires des vaccins. Parmi les événements indésirables cités, les caillots sanguins (21%) ont été le plus souvent mentionnés, suivis par les crises cardiaques (19%), les lésions hépatiques (18%), les embolies (17%) et les accidents vasculaires cérébraux (15%).

    Parmi les personnes vaccinées consultées, 67 % ont continué à penser que la vaccination était une bonne décision, 24 % ont déclaré être neutres sur le sujet, et 10 % ont regretté leur décision.

    Les personnes qui ont accepté de participer à cette enquête ont également été interrogées à propos de leur entourage après la vaccination. 26 % des participants, dont la majorité sont jeunes, ont répondu connaître des personnes ayant reçu de nouveaux diagnostics. Les maladies observées étaient les mêmes que celles mentionnées ci-dessus.

    Les données recueillies par la seconde enquête

    Que nous apprend la seconde enquête ? Peu de choses nouvelles. Il s’agit plutôt d’une confirmation de la première, même si des différences existent. Celle-ci se concentre uniquement sur la catégorie des 18-49 ans, et la proportion des personnes souffrant de nouvelles maladies y est nettement plus importante. En effet, sur 829 personnes interrogées, 38 % n’avaient reçu aucune dose, 62 % étaient vaccinées et parmi elles, 22 % ont été diagnostiquées avec une nouvelle pathologie peu de temps après le lancement de la campagne de vaccination.

    Ce sondage détaille également la proportion de maladies citées pour chacune d’elles, ainsi que le degré de gravité. Parmi les pathologies les plus fréquemment rencontrées, les maladies auto-immunes représentent 21 %, les caillots sanguins 20 %, les attaques cérébrales et les embolies pulmonaires 19 %. 17 % des personnes répondant à l’enquête ont également déclaré des lésions hépatiques, des thromboses des jambes et des infarctus du myocarde, et 15 % présenteraient des syndromes de Guillain-Barré, des paralysies de Bell ou encore un cycle menstruel perturbé.

    Cette étude a par ailleurs examiné les niveaux de gravité des événements indésirables ou des pathologies déclarées. 47 % des personnes interrogées ont déclaré que la maladie avait été légère, 43 % ont signalé avoir souffert d’événements indésirables graves et 10 % des personnes affectées n’ont toujours pas à ce jour recouvré la santé.

    Comme la première, cette seconde enquête révèle que la majorité des personnes (58 %) pensent que la vaccination est une bonne chose. 28 % est sans position tranchée. Quant à ceux qui regrettent, ils représentent désormais 14%, un chiffre en légère augmentation.

    Si corrélation n’est pas causalité, et si l’imputabilité de la preuve reste à établir entre l’acte de vaccination et le développement de pathologies, ce sont des chiffres qui devraient néanmoins alerter les autorités, particulièrement les centres de pharmacovigilance, afin de les amener à s’interroger sur les décisions contraignantes ou imposées aux populations. La proportion importante d’individus jeunes soupçonnés d’avoir souffert d’événements indésirables, alors que l’infection par Sars-CoV-2 n’a jamais représenté un risque majeur pour cette tranche d’âge, montre que la décision de vacciner en population générale était d’une grande imprudence.

    Alors que des indices d’effet secondaires sous-déclarés ne cessent de s’accumuler un peu partout dans le monde, les preuves tangibles de l’efficacité de ces thérapies géniques font toujours défaut. Si plus personne ne croit à un effet protecteur du vaccin contre la contamination et la transmission, l’argument selon lequel il empêche de faire des formes sévères de la maladie est de plus en plus remis en question à mesure que le phénomène ADE (Antibody Dependant Enhancement, qui se traduit par la facilitation de l’infection par les anticorps) est démontré.

    Il faut également rappeler que tous les vaccins, qu’ils aient été conçus à partir de la technologie à ARN messager (Pfizer, Moderna) ou à vecteur adénovirus (Janssen et AstraZeneka), sont toujours en phase d’évaluation et que par conséquent, le caractère expérimental de cette vaccination est toujours en cours.

  • Perpignan : “On est chassés du quartier Saint-Mathieu par un gang qui a un permis de dealer”, déplorent les riverains

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2022

    Perpignan : “On est chassés de Saint-Mathieu par un gang qui a un permis de dealer”, déplorent les riverains

    (…) L’Indépendant via fdesouche

  • Tribunal de Perpignan : « Je suis ici [en prison] pour me former à la haine et au terrorisme. Quand je sortirai je tuerai plein de gens car ils ne sont pas bons. Je sais les reconnaître », Samir est relaxé

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2022

    […]

     

    “Je suis ici pour me former à la haine et au terrorisme. Quand je sortirai je tuerai plein de gens car ils ne sont pas bons. Je sais les reconnaître. Et des enfants d’un an et demi, deux ans, car ils sont innocents, avant qu’ils ne soient pris par Satan”.

    Placé en détention provisoire pour une énième détention de stups et port d’arme blanche, Samir est entendu par un gradé à son arrivée à la maison d’arrêt. Il va sans dire que la cheffe, signale sans attendre les terribles menaces qui viennent d’être proférées.. Et le parquet le renvoie devant les juges pour apologie du terrorisme et menaces de mort réitérées.

    En écoutant le président relater ses paroles, Samir affiche un large sourire. “Bah, j’ai pas dit vraiment tout ça, j’étais énervé. Je ne suis pas dangereux, ma mère vous le dirait“.

    […]

     

    Le tribunal ne peut que l’admettre : “il n’y a pas eu publicité et les menaces ne visent pas quelqu’un de déterminé”. Le prévenu est relaxé.

    L’Indépendant via fdesouche

  • Émeute et mutinerie au centre de rétention du Mesnil-Amelot (77) : Incendies, tentatives d’évasion de clandestins, violences envers les policiers, locaux dégradés…

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2022

    Selon nos informations, de violentes émeutes se sont déroulées au centre de rétention du Mesnil-Amelot, en Seine-et-Marne, la nuit dernière. Aucun policier n’a été blessé.

    Incendies allumés, tentatives d’évasion, violences envers des policiers qui assuraient la sécurité sur place. Entre 21h30 et 23h30, de violentes émeutes et mutineries se sont déroulées au sein du centre de rétention du Mesnil-Amelot, en Seine-et-Marne, dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août. Selon nos informations, aucun blessé n’est à déplorer dans les rangs de la police nationale. Le sous-préfet s’est rendu sur place. Par ailleurs, des pompiers ainsi que des renforts policiers en provenance du même département et de la Seine-Saint-Denis se sont également rendus sur les lieux, pour rétablir l’ordre aux alentours d’1 heure du matin.

    La rétention « prioritairement destinée » aux étrangers délinquants

    Ces faits se sont déroulés quelques jours seulement après les propos de Gérald Darmanin au sujet des délinquants clandestins. Dans une instruction datée du mercredi 3 août – diffusée dans la presse – et adressée aux préfets et aux responsables de police et de gendarmerie, le ministre de l’Intérieur avait rappelé sa ligne selon laquelle la rétention doit être « prioritairement destinée » aux étrangers délinquants.

    (…) Valeurs via fdesouche

  • Poutine et Macron ne s’appellent plus : la France est un pays « inamical », selon le Kremlin

    Publié par Guy Jovelin le 07 août 2022

    Les présidents russe Vladimir Poutine et français Emmanuel Macron n’ont pas eu d’entretien téléphonique depuis deux mois car la France est un pays « inamical » avec lequel des discussions ne sont actuellement pas « nécessaires », a déclaré vendredi le Kremlin.

    « Eh bien, tout d’abord, la France est un État inamical au regard des actions qu’elle prend concernant notre pays », a déclaré à la presse Dmitri Peskov, en réponse à une question sur l’absence d’échange téléphonique récent entre les deux dirigeants, qui s’étaient parlés à plusieurs reprises au début de l’année.

    « Ils ne s’appellent pas parce qu’ils estiment que le moment n’est pas venu, et qu’actuellement ce n’est simplement pas nécessaire. Si la nécessité se fait sentir, ils peuvent s’appeler dans la minute », a affirmé Dmitri Peskov.

    Le dernier échange officiel entre Poutine et Macron remonte au 28 mai, quand les deux dirigeants avaient notamment évoqué au téléphone, avec le chancelier allemand Olaf Scholz, le sort de soldats ukrainiens faits prisonniers par l’armée russe. Auparavant, Emmanuel Macron avait eu des entretiens téléphoniques avec Vladimir Poutine début mai, début mars et à cinq reprises en février en pleine montée des tensions jusqu’à l’offensive du Kremlin en Ukraine, le 24 février. Il s’était aussi rendu en personne à Moscou, le 7 février, pour rencontrer Poutine.

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