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  • Ils sont vraiment insensés, ces escrolos !

    Publié par Guy Jovelin le 09 septembre 2022

     

    Ils sont vraiment insensés, ces escrolos !

    • Hier, en 2015, ils demandaient et obtenaient l'abandon de la construction du très utile barrage de Sivens, qui aurait créé une réserve d'eau d'1,5 million de mètres cubes pour l'irrigation des terres agricoles; certes, il aurait entraîné la submersion de 12 hectares d'une zone humide, mais les mesures compensatoires prévoyaient d'en restaurer une d'une superficie totale de 19,5 hectares...

    • Aujourd'hui, ils demandent - et obtiennent - la destruction des "barrages du Sud Manche", qui produisaient 5 millions de kWh par an. Leur destruction a commencé cet été car, disent les escrolos, ces barrages empêchaient les poissons de circuler sur toute la rivière. Ces escrolos insensés sont de véritables dangers publics, une plaie, un fléau pour le Pays. Et les semble-gouvernants qui leur cèdent sont de mauvais gouvernants, qui vont à l'encontre des intérêts réels de la population et de la Nature, de la Création...

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    Source : lafautearousseau

  • Décès de François-Bernard Huygue

    Publié par Guy Jovelin le 07 septembre 2022

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    On vient d’apprendre la mort, à 71 ans, de François-Bernard Huygue, fils de René Huygue, historien d’art et membre de l’Académie française. François-Bernard était plus qu’un compagnon de route du courant national. Il a milité à Ordre Nouveau, au Groupe union défense (GUD), a collaboré à Défense de l’Occident, de Maurice Bardèche dans les années 1970, et a officié à comme directeur de Jeune nation solidariste. François-Bernard Huygue érait docteur d’Etat en science politique et a mené une riche carrière universitaire et dirigé de nombreuses recherches dans le domaine de la communication. Il s’était fait connaître en 1987 avec un ouvrage pertinent, La Soft idéologie (Robert Laffont) qui dénonçait déjà le climat idéologique ambiant. Il laisse une œuvre importante toujours en prise avec les réalités du temps, du terrorisme à la désinformation, des Gilets jaunes aux Fakes news. Mais on retiendra surtout de lui l’image d’un homme affable et d’un militant qui est resté fidèle à ses idées jusqu’au bout. Synthèse nationale présente ses sincères condoléances à sa famille.

     

    Source : synthesenationale

  • Rambouillet (78) : deux chrétiens de 15 et 17 ans agressés et menacés de mort après la messe, ils ont été victimes d’insultes anti-catholiques et anti-Blancs (MàJ)

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    06/09/22

    Dimanche, les auteurs présumés avaient agressé des jeunes devant l’église Sainte Bernadette de Rambouillet promettant de les «crever».

    (…) Les victimes étaient d’abord insultées et qualifiées de «sales chrétiens», avant d’être menacées, les auteurs promettant de «les crever», selon des sources policières. Les agresseurs se seraient acharnés sur le garçon, le frappant à plusieurs reprises au visage et auraient ensuite utilisé du gaz lacrymogène.

    (…) Le Figaro



    05/09/22

    Deux adolescents chrétiens, une fille de 15 ans et un garçon de 17 ans, ont été agressés près de l’église Sainte-Bernadette de la Louvière à Rambouillet (Yvelines) ce dimanche 4 septembre vers 21h.

    Une agression sur fond de tensions communautaires ? Ce dimanche, vers 21h, deux mineurs chrétiens, un garçon de 17 ans et une fille de 15 ans, ont été pris à partie par trois individus devant l’église Sainte-Bernadette de la Louvière à Rambouillet (Yvelines).

    Selon une source policière contactée par CNEWS, les agresseurs ont traité les deux adolescents de «sales chrétiens», avant de les menacer distinctement en assurant vouloir «les crever». Ils ont ensuite utilisé du gaz lacrymogène à l’encontre des deux victimes, avant de frapper le garçon au visage à de multiples reprises.

    Deux des trois agresseurs présumés ont été interpellés par les forces de l’ordre pour «violences volontaires en réunions et discrimination religieuse», avant d’être placés en garde à vue. Les auditions ont permis d’apprendre que les deux délinquants étaient tous deux originaires de Trappes et respectivement âgés de 15 et 17 ans. 

    UNE ATTAQUE EN RÉACTION À L’INCENDIE DE LA MOSQUÉE VOISINE ? 

    D’après le curé de la paroisse, cette attaque pourrait être une réponse à l’incendie potentiellement criminel d’une tente de prière musulmane dans le même quartier de la ville, à la Louvière, dans la nuit du vendredi 2 au samedi 3 septembre. «L’incendie de la mosquée cultive la haine», a assuré le curé pour CNEWS. Ce dernier a toutefois précisé qu’il s’agissait probablement d’un «acte isolé» et non d’une «bagarre entre des groupes religieux».

    […]

     

    CNews

  • Yvelines : trois hommes soupçonnés d’avoir détourné 650.000 euros dans une fraude au chômage partiel pendant la crise du Covid-19

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022

    Soupçonnés de fraudes au chômage partiel, trois hommes ont été interpellés par la police judiciaire et devront s’expliquer l’année prochaine devant le tribunal judiciaire de Versailles (Yvelines). Les enquêteurs de la police judiciaire les soupçonnent d’avoir détourné environ 650.000 de fonds publics entre avril 2020 et janvier 2021. Quatre autres personnes, suspectées de les avoir aidés à blanchir ces sommes, comparaîtront à leurs côtés.

    La crise sanitaire a profité à de nombreux malfaiteurs, bien décidés à profiter des aides versées par l’Etat. Deux frères originaires de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, et leur cousin originaire du sud de la France, sont suspectés d’avoir commis, durant plusieurs mois, des escroqueries au chômage partiel. A la clé : près de 650.000 euros de fonds publics détournés, indique à 20 Minutes une source policière. Les trois hommes devront s’expliquer en janvier 2023 devant le tribunal judiciaire de Versailles, aux côtés de quatre personnes soupçonnées de les avoir aidés à toucher ces sommes d’argent.

    C’est un renseignement transmis par Tracfin – le service de renseignement de Bercy – qui a conduit le parquet de Versailles à saisir la division de lutte contre la criminalité financière de la police judiciaire de la ville. Les enquêteurs identifient très vite les trois hommes et découvrent le système élaboré qu’ils avaient mis en place entre avril 2020 et janvier 2021. « Ce montage consistait à créer des dossiers fictifs pour se faire indemniser pour le chômage dans le cadre de la crise sanitaire », décrypte une source policière. Pour blanchir cet argent, un autre montage, « un peu plus complexe », avait été mis en place avec l’aide de membres de leur famille ou d’amis d’enfance. En tout, 650.000 euros ont transité sur des comptes bancaires, en France ou à l’étranger.

    En mai 2021, la PJ passe à l’action et interpelle les trois hommes, déjà connus de leurs services. Lors des perquisitions, les policiers mettent la main sur 30.000 euros en liquide, et saisissent la même somme sur des comptes bancaires. Originaires de Rennes et d’Ile-de-France, plusieurs personnes, soupçonnées d’être complices des escroqueries, ont été convoquées et auditionnées par les enquêteurs. Elles aussi devront s’expliquer à la barre du tribunal judiciaire de Versailles l’année prochaine.

    20 minutes via fdesouche

  • « Je suis ici aujourd’hui parce que je n’appellerais pas un garçon une fille » : en Irlande, un enseignant envoyé en prison pour outrage au tribunal, il refusait d’utiliser le pronom « iel » à propos d’un élève transgenre

    Publié par Guy Jovelin le 06 septembre 2022


    Enoch Burke a été incarcéré à la prison de Mountjoy pour outrage au tribunal après avoir dit à un juge qu’il ne respecterait pas une ordonnance du tribunal l’empêchant de se rendre au travail alors qu’il était suspendu, affirmant que cela violerait ses croyances religieuses.

    L’instituteurs’est opposé à une demande d’emprisonnement de l’école de l’hôpital Wilson, déclarant: « J’aime mon école. Je suis ici aujourd’hui parce que je n’appellerais pas un garçon une fille. ». Il a dit au juge Michael Quinn : « Ce n’est pas quelque chose que je ferai. C’est en violation de ma conscience. »

    Le chrétien évangélique a été suspendu à plein salaire le 24 août en attendant l’issue d’une procédure disciplinaire après s’être heurté au directeur et au conseil d’administration de l’école au sujet d’une demande que les enseignants s’adressent à un élève transgenre sous un nouveau nom et utilisent le pronom « il » (he) au lieu de « iel » (they).

    Cependant, il a continué à se présenter au travail, ce qui a incité le pensionnat diocésain de l’Église d’Irlande à demander et à obtenir une injonction interlocutoire de la juge Siobhan Stack mercredi dernier l’empêchant de venir dans ses locaux de Multyfarmham, dans le comté de Westmeath, jusqu’au 7 septembre.

    Malgré cet ordre, il continuait à venir à l’école chaque matin. Cela a conduit à une nouvelle demande du conseil d’administration, et Mme la juge Miriam O’Regan a ordonné vendredi que M. Burke soit arrêté et traduit devant le tribunal aujourd’hui.

    Rosemary Mallon, avocate du conseil d’administration de l’école, a déclaré au juge Quinn qu’il ne cherchait pas à punir M. Burke, mais cherchait simplement à le contraindre à respecter l’ordre de se tenir à l’écart de ses locaux. « C’est le cœur lourd que l’école a dû présenter cette demande », a-t-elle déclaré.

    L’avocat a déclaré que le propre récit de M. Burke satisfaisait à la norme pénale de preuve au-delà de tout doute raisonnable qu’il avait violé l’ordonnance et continuerait à le faire.

    M. Burke, qui se représentait lui-même, était assis à l’avant du tribunal sur un banc réservé aux avocats principaux après avoir été invité à le faire par le juge. Il a confirmé que s’il n’était pas emprisonné, il avait l’intention de se présenter au travail à l’école demain matin.

    Le juge Quinn a déclaré que la seule question dont il pouvait se préoccuper était de savoir s’il y avait eu violation délibérée de l’ordonnance de Mme le juge Stack et qu’il ne pouvait pas se préoccuper des questions soulevées par M. Burke au sujet de sa suspension.

    Le juge a déclaré qu’il n’était pas contesté que M. Burke ne s’était pas conformé à l’ordonnance et qu’il était convaincu que l’enseignant était coupable d’outrage au tribunal.

    « J’ordonne qu’il soit incarcéré à la prison de Mountjoy et qu’il y reste jusqu’à ce qu’il purge son outrage ou jusqu’à ce qu’il rende une nouvelle ordonnance de ce tribunal », a déclaré le juge Quinn.

    Plus tôt, M. Burke avait déclaré au tribunal: « Je suis enseignant et je ne veux pas être en prison. Je veux être dans ma classe aujourd’hui. »

    M. Burke a serré dans ses bras son père Sean et son frère Isaac, qui regardaient depuis le corps du tribunal, avant d’être emmenés par la garde.

    […]

     

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