Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022
Ces gens sont sérieux, manifestement :
Vidéo : https://twitter.com/i/status/1592257720215900161
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Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022
Ces gens sont sérieux, manifestement :
Vidéo : https://twitter.com/i/status/1592257720215900161
Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022
La mascotte olympique des JO 2024 ?
BEURK !
Le grand champion Tony Estanguet a bien déçu, ce lundi soir, au JT, en dévoilant la mascotte des JO de 2024 : il a présentée comme un symbole de liberté ces "phryges", alors qu'elles ne représentent, historiquement, chez nous, que la Terreur, la démence sanguinaire et sanguinolente des révolutionnaires assoifés de sang, ces "bourreaux barbouilleurs de lois", comme les appelait le poète André Chénier, qu'ils guillotinèrent (tout un symbole !); les scènes d'anthrophagie, les têtes au bout des piques dès le 14 juillet 89, les horribles massacres de septembre en 92, le Génocide vendéen en 94, les cannonnades de Lyon ou les noyades de Nantes, et toutes les horreurs et atrocités commises partout en France par une bande de fous furieux, qui ont inventé, tout simplement... le Terrorisme d'État...
On attendait mieux de quelqu'un qu'on considérait comme un champion (ce qu'il reste, à nos yeux, mais avec une image bien ternie, maintenant). Et, s'il voulait un symbole de cette lamentable et sordide époque de notre Histoire, plutôt que ces "phryges" ridicules, suggérons-lui, par exemple, celui-ci : avec, comme devise, non pas "tout condamné à mort aura la tête tranchée" mais "tout athlète dépassant un Français aura le cou coupé". Ça aurait de "la gueule révolutionnaire", non ?
Et puis, après tout, comme il vaut toujours mieux prendre l'original plutôt que la copie (surtout "traficotée", "revistée" !) voici la phrygie que nous suggérons à Tony Estanguet : elle a le mérite de l'authenticité !
Source : lafautearousseau
Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022
Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022
Connaissez-vous Josep Borrell ? Vous ne perdez rien à ne pas le connaître, mais il vaut la peine de s’intéresser à ses propos, car ce socialiste et ancien ministre espagnol est vice-président de la Commission européenne et haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité. On peut donc penser qu’il traduit la politique officielle de l’Union européenne, notamment en matière d’immigration.
Invité de LCI, le chef de la diplomatie européenne a donné son point de vue sur l’intérêt des migrations : « Qu’on aime ou pas, qu’on se réjouisse ou qu’on regrette, l’hiver démographique de l’Europe est comblé par les apports du reste du monde […]. Des sociétés préfèrent le vieillissement au mélange […] et d’autres qui pensent qu’il faut un apport extérieur régulé, maîtrisé. » Vous l’aurez compris, la venue des immigrés compense le déficit de la natalité européenne, il faut donc l’organiser. Voilà qui éclaire, s’il en était besoin, la politique de notre gouvernement.
Dans ce domaine comme dans d’autres, Macron est, en effet, le bon élève de l’Europe, au point qu’on se demande parfois si c’est pour la France ou l’Europe qu’il travaille – à moins qu’en bon égocentrique, il ne ramène le monde à lui-même. Quand il plaide pour une meilleure répartition des immigrés sur le territoire, notamment dans les « espaces ruraux, qui eux sont en train de perdre de la population », il ne dit pas autre chose que Josep Borrell. Tout comme Gérald Darmanin quand il propose, dans le cadre du projet de loi Immigration, de créer « un titre de séjour métiers en tension ».
Ce parti pris pour l’immigration traduit non seulement un renoncement aux nations, mais aussi une conception de la société, où tous les hommes sont interchangeables, quelle que soit leur nationalité et leur culture, pourvu qu’ils contribuent à l’activité économique. Il s’agit de disposer d’un stock d’exécutants, si possible dociles, pour la faire fonctionner dans une perspective mondialiste. Dans l’esprit de nos dirigeants, la France n’est qu’un élément de l’Europe et ils s’accommoderaient bien de sa disparition si elle n’était pas utile à la vie économique de l’ensemble.
Nos prétendues élites sont incapables de concevoir d’autres solutions que l’immigration pour pallier le déficit démographique. Elles rejettent une politique familiale et nataliste, considérée comme passéiste et réactionnaire, qui permettrait pourtant de renforcer la population française, de renouveler les générations et de maintenir la viabilité de la protection sociale. La France s’enorgueillit d’être championne d’Europe de la natalité, avec 1,8 enfant par femme, alors qu’il faudrait un taux de fécondité de 2,1 enfants pour garantir la stabilité de la population. Qu’à cela ne tienne : l’immigration est la panacée !
On ne peut qu’être révolté par une telle incurie de nos gouvernants. Ils appellent « pragmatisme » ce qui s’apparente objectivement à une trahison. Il est urgent de les remplacer : il y va de la survie de la France. »
de Jean Florac
Source BVoltaire
Publié par Guy de Laferrière le 16 novembre 2022
De Christian Baeckeroot, ancien député, pour le Salon beige:
Bien que titulaire d’une licence en Droit public (licence en 4 ans soit l’équivalence d’une maîtrise), je ne me considère pas comme un juriste faisant autorité.
Par contre, je suis un père de famille et un grand-père préoccupé par l’immigration et en particulier par l’immigration illégale. Je constate que l’accueil de « migrants naufragés » oppose 2 positions :
1/ Pour les uns il faut accueillir ces « migrants naufragés » au nom d’une « obligation humanitaire » ;
2/ Pour les autres c’est accepter et encourager une immigration illégale.
Face à ce problème aujourd’hui sans solution, il est indispensable de faire évoluer le Droit et pourquoi pas mettre les ONG « sauveteurs » en face de leurs responsabilités dans la mise en pratique de cette traite d’êtres humains.
Le cadre juridique à établir pourrait :
1/ imposer aux navires « sauveteurs » une « boite noire » permettant une localisation permanente de chaque navire et le suivi de son parcours ;
2/ exiger une identification immédiate du navire procédant à un sauvetage ;
3/ attendre les instructions pour faire route vers la zone de départ ou vers un port d’accueil.
Aux juristes de mettre en forme cette proposition ou une proposition similaire.
Dans l’attente d’un cadre juridique ratifié par l’Etat ou du non respect par le navire du cadre juridique , la procédure d’urgence suivante pourrait être appliquée :
1/ débarquement des « migrants » pour examen de leur situation ;
2/ saisie du navire à titre conservatoire ;
3/ ouverture d’une procédure judiciaire à l’encontre de l’armateur et du capitaine.
Les Français doivent rester maîtres de leur destin.
Source : lesalonbeige