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  • Avec l’inflation les vols à l’étalage augmentent et les profils des voleurs changent, passant du “semi-professionnel” à « la personne âgée qui vole sa plaquette de beurre, son morceau de fromage »

    Publié par Guy de Laferrière le 28 décembre 2022

    Dans un sac ou directement sous le manteau, aucun produit n’échappe aux voleurs. Exemple, dans ce magasin, un homme vole une bouteille de shampoing, alors qu’il est filmé par une caméra cachée, comme on peut le voir dans la vidéo en tête de cet article. 

    Dans les allées de son supermarché, Ludovic Jouaud, directeur à E. Leclerc Cap Sud, à Saint-Maur (Indre), est confronté à des individus quasi-professionnels. Mais depuis un an, en raison de l’inflation, il y a de nouveaux profils de voleurs. “A l’heure actuelle, c’est plus une personne âgée, une personne retraitée, [qui dérobe] sa plaquette de beurre, son morceau de fromage, sa tranche de jambon, des produits basiques qui connaissent une petite hausse”, précise-t-il au micro de TF1.

    Entre le mois de janvier et le mois de cette année, les plaintes des magasins pour vols à l’étalage ont augmenté de 17 % dans notre pays. Alors, les caissières redoublent de vigilance. […]

    Certaines enseignent n’hésitent donc pas à aller plus loin. Elles font appel à l’intelligence artificielle. Les caméras sont équipées d’un logiciel qui repère les gestes suspects des clients. “Par exemple, un objet qu’on va mettre dans la poche ou alors quelqu’un qui glisse un objet sous sa poussette”, précise Jéremy Voisin, directeur commercial chez ISS Partners. […]

    TF1 Info via fdesouche

  • Romainville (93). Il vole un bus de la RATP… et l’encastre dans un tunnel dix minutes plus tard

    Publié par Guy de Laferrière le 28 décembre 2022

    Monter dans un bus pour le voler en prenant le volant est une chose, savoir le conduire et manœuvrer pour s’enfuir le plus discrètement possible en est une autre. La personne qui s’est risquée à cette entreprise dans la nuit de lundi à ce mardi pourrait en témoigner. Vers 2 heures du matin, un bus de la ligne 147 de la RATP a été retrouvé encastré à l’entrée du tunnel de la nationale 3.

    Le Parisien via fdesouche

  • Marseille : un mort et un blessé à scooter lors d’un accident après un refus d’obtempérer

    Publié par Guy de Laferrière le 28 décembre 2022

    Un jeune majeur a perdu la vie et un mineur a été sérieusement blessé cet après-midi lors d’un accident de la route dans le quartier du Canet (14e).

    Quelques minutes plus tôt, vers 14h30, les deux victimes, juchées sur un scooter, sans casque, avaient pris la fuite à la vue d’une patrouille de police qui avait tenté de les contrôler. Alors que le signalement était retransmis par radio, le scooter a été retrouvé non loin de là quelques instants plus tard, avec ses deux occupants à terre. Le pilote venait de percuter une camionnette, au niveau de la place des États-Unis.

    En arrêt cardiaque à l’arrivée des secours, le jeune majeur a succombé à ses blessures peu après. Le passager, mineur, qui souffre notamment d’un traumatisme crânien, a pu être transporté à l’hôpital dans un état stable.

    La Provence via fdesouche

  • “La nourriture, c’est de la merde” : au Mesnil-Amelot (77), les clandestins du centre de rétention administrative ne sont pas contents du tout de leurs conditions de vie

    Publié par Guy de Laferrière le 28 décembre 2022

    Le député écologiste Julien Bayou a visité de manière inopinée le centre de rétention administrative (CRA) alors que le gouvernement a lancé l’adoption d’une nouvelle loi sur l’immigration

    (…)  Ici Julien Bayou, député Nupes-EELV de Paris, qui a le droit de visiter de manière inopinée un CRA en emmenant des journalistes. En ce mardi après-midi de fin décembre, nous sommes donc cinq journalistes à l’accompagner au Mesnil-Amelot, en Seine-et-Marne. Le ciel est d’un gris uniforme et il pleut, histoire d’enlaidir un peu plus le bâtiment d’un étage aux tuiles orangées. La visite inopinée permet d’éviter que les autorités ne cachent la poussière sous le tapis, mais la commandante de la police aux frontières (PAF) qui gère le site n’est pas déstabilisée pour autant, elle qui reçoit « 2-3 visites par semaine ». D’ailleurs, elle semble rodée dans son rôle de guide et emmène la petite troupe dans ce CRA qui dispose de 120 places pour hommes.

    On commence la visite par le greffe où un grand tableau répertorie les OQTF puis la salle de fouilles avec un espace stockage où sont entreposés les effets personnels des « retenus ».

    (…) Enfin, les chambres – certains diraient cellules – sont de petites pièces composées de deux lits superposés, d’une étagère et d’une table. Une seule fenêtre, pratiquée dans la porte d’entrée, permet d’accéder à la lumière naturelle.

    Même si ce jour-là, le sentiment d’insécurité est assez peu présent (mais c’est peut-être lié à l’imposante escorte policière), les tensions au CRA sont monnaie courante. Les policiers constatent ainsi de plus en plus d’affrontements entre retenus, pour des vols par exemple. Des surins artisanaux sont, selon eux, régulièrement saisis. En août dernier, une mutinerie a même éclaté. Il faut dire que dans ce CRA particulièrement, beaucoup de « retenus » sont d’anciens détenus, environ 70 % selon une estimation policière. Après avoir purgé leur peine, ils sont envoyés en CRA en attendant leur expulsion. Sans compter les personnes sujettes à des troubles psychiatriques ou les toxicomanes.

    (…) Autre grief, fréquemment abordé quand on évoque les CRA, l’alimentation. « C’est la galère, on a pas à manger », alerte ainsi un « retenu » auprès de Julien Bayou dans un couloir. Avant de poursuivre : « La nourriture, c’est de la merde, on veut pas être là. »

    (…) Un Palestinien arrive avec son dossier sous le bras mais la commandante intervient : « On va continuer la visite ! Vous en avez 120 comme ça, sinon je vous ouvre un box ! » « On a pas la chance », se désole le Palestinien en regagnant ses quartiers.

    (…) Juste après la commandante assure le service après-vente : « Le ménage est fait tous les jours et il y a une repasse dans les sanitaires. La nourriture est en barquettes filmées et s’il en reste, ils peuvent avoir du pain en plus. »

    (…) 20 minutes via fdesouche

  • Saint-Chamond (42) : Barres de fer, marteaux… une rivalité entre deux familles dégénère, l’un des protagonistes fonce délibérément en voiture sur des piétons, une septuagénaire renversée sérieusement blessée

    Publié par Guy de Laferrière le 28 décembre 2022

    C’est un déferlement de violence qui a eu lieu vendredi 23 décembre, vers 21 heures, en pleine voie publique, route de Lyon à Saint-Chamond. Sur fonds de rivalité entre deux familles, le différend a même conduit l’un des protagonistes à foncer délibérément en voiture sur des piétons, dont une femme de 70 ans, qui a été transportée à l’Hôpital Nord très sérieusement blessée au niveau des jambes et du dos notamment. Elle était ce mardi toujours hospitalisée. Les pompiers ont pris en charge cinq blessés.

    Près d’une quinzaine de personnes impliquées

    La circulation a été coupée. Plusieurs équipages de police sont intervenus. Ils ont trouvé sur place des bâtons, des barres de fer, des marteaux, des pieds de biche… du matériel utilisé pour frapper des personnes et pour endommager deux véhicules impliqués. Les forces de l’ordre ont interpellé un conducteur et son frère, qui ont été placés en garde à vue. Depuis, les enquêteurs tentent de démêler ce qu’il s’est passé, et surtout de déterminer les agissements de chacun, en entendant auteurs des faits, victimes et témoins. Près d’une quinzaine de personnes sont potentiellement mises en cause dans cette rixe.

    Le Progrès via fdesouche