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  • “Mort aux chrétiens” : un Marocain attaque deux églises en Espagne et tue un sacristain à l’aide d’une machette

    Publié par Guy de Laferrière le 26 janvier 2023

    “Mort aux chrétiens” : un Marocain attaque deux églises en Espagne et tue un sacristain à l’aide d’une machetteUn Palestinien tue plusieurs personnes à l’arme blanche dans un train en Allemagne

    Ce sont clairement les catholiques qui étaient visés par ce terroriste marocain vêtu d’une djellaba :

    Une terrible attaque a frappé une Eglise du sud de l’Espagne peu avant 20 h. Un homme a attaqué plusieurs personnes à l’arme blanche, tuant un sacristain et blessant plusieurs autres personnes, dont un prêtre (…) La source policière de nos confrères indique que l’attaquant état muni d’une arme blanche. Pénétrant dans l’Eglise d’Algésiras dans la province de Cadix au sud de l’Espagne, il a tué un sacristain et blessé plusieurs personnes, dont un prêtre, avant d’être arrêté par les autorités du pays (…)

    Le suspect se serait alors rendu dans une autre Eglise et y aurait blessé plusieurs autres personnes. La police nationale a bouclé la place Alta de la ville, lieu du drame où se trouvaient les bâtiments religieux. Le quotidien espagnol indique qu’une enquête pour terrorisme vient d’être ouverte.

     

    Source : lesalonbeige

  • Bretteville (50) : le président d’une association d’aide aux migrants tué à coups de barre de fer par un migrant afghan de 23 ans (MàJ : déclaré “fou” par les experts, le meurtrier ne sera probablement jamais jugé)

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    24/01/23

    Le 12 mai 2020, à Bretteville-en-Saire (Manche), le président d’une association d’aide aux migrants avait été tué à coups de barre de fer. Son assassin présumé, un Afghan de 23 ans, finira probablement en hôpital psychiatrique.

    « En France, on ne juge pas les fous. » L’avocat général, représentant l’accusation, Bruno Albisetti, en convient lui-même ce mardi 24 janvier 2023, devant la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Caen. Le jeune Afghan de 23 ans, qui balance la tête d’avant en arrière, en regardant ses chaussures, depuis le début de l’audience, ne comparaîtra sans doute jamais devant une cour d’assises pour assassinat.

    Ce matin du 12 mai 2020, Amir Hussein Najafi est sujet à une « psychose paranoïde » , selon un expert psychiatre, quand il fait irruption dans la maison de Jean Dussine, à Bretteville-en-Saire, près de Cherbourg (Manche). Le directeur d’école retraité, âgé de 63 ans, venait en aide aux migrants, en qualité de président de l’association Itinérance.

    (…) Depuis bientôt trois ans, Amir Hussein Najafi dort en prison. Jamais, il n’a été hospitalisé en psychiatrie. Pourtant, les trois experts psychiatres, qui l’ont examiné en détention, ont tous conclu à « l’abolition de son discernement » au moment des faits.

    Aux enquêteurs, au fil de ses auditions, le jeune Afghan a évoqué des menaces de viol, de la part de son hôte, avant de se rétracter. Ces allégations, l’enquête ne les a jamais confirmées. Pas plus que les 4 000 € que Jean Dussine lui aurait dérobés. Ne reste qu’un mobile, dérisoire, lâché par l’accusé : « Je n’aimais pas son visage. »

    Jean Dussine

    Sœurs, neveux et nièces de la victime étaient présents, mardi, au tribunal. Leur proche, Jean Dussine, était « un homme formidable, rapporte Me Julien Dreyfus, l’un de leurs avocats. Le cœur sur la main, il donnait tout son temps, son argent pour venir en aide aux migrants qui le considéraient comme leur père protecteur. »

    Ouest-France


    13/05/20


    Bretteville. Président d’Itinérance tué : le suspect a avoué

    En garde à vue, l’homme soupçonné d’avoir assassiné Jean Dussine le mardi 12 mai à Cherbourg a reconnu les faits. Il devrait être présenté à un juge d’instruction ce mercredi 13 mai. La victime, elle, sera autopsiée le jeudi 14 mai.

    […]

    Tendance Ouest


    12/05/20

    Le parquet de Cherbourg a confirmé l’interpellation d’un individu, un migrant d’origine afghane âgé d’une vingtaine d’années. Il a rapidement été placé en garde à vue.

    Selon nos informations, le suspect aurait été hébergé par le président d’Itinérance, une association de Cherbourg venant en aide aux migrants.

    (…) actu.fr


    Cherbourg : un migrant afghan en garde à vue pour homicide sur le président de l’association ITinérances

    Le drame a eu lieu ce matin vers 10 H30  au domicile de la victime, à Bretteville-en-Saire ( 50) . Jean Dussine, président de l’association cherbourgeoise d’aide aux migrants Itinérances ,  est mort à la suite de ” coup de barres en fer “,  un migrant afghan est en garde à vue.

    […]

    Jean Dussine était président de l’association cherbourgeoise d’aide aux migrants Itinérances depuis 2016.

    Cet enseignant à la retraite hébergeait par ailleurs à son domicile des migrants…

    […]

    L’article dans son intégralité sur France 3

  • Couple franco-allemand

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    Ces derniers jours, anniversaire du traité de l’Élysée oblige, on parlait beaucoup dans les gazettes du fameux « couple franco-allemand ».

    Cependant, le « couple » bat de l’aile depuis des années.

    Et, pour cause : les États n’ont pas d’amis – a fortiori n’ont-ils pas de conjoint !

    De deux choses l’une, soit les deux pays envisagés sont souverains et, dans ce cas, ils seront tantôt alliés sur un sujet, tantôt en désaccord sur un autre ; soit les deux pays sont « mariés » (pour reprendre cette étrange métaphore qui n’a d’ailleurs cours que de notre côté du Rhin) et alors l’un est soumis à l’autre.

    Mais il semble tout à fait loufoque de prétendre que l’Allemagne et la France devraient systématiquement et sur tous les sujets partager les mêmes points de vue.

    Par curiosité, j’ai relu ce qu’Emmanuel Macron disait en 2017, lors du fameux discours de la Sorbonne. C’est bien simple : il annonçait l’intégration complète (y compris au plan juridique) des deux économies dès 2024.

    Il n’est pas sûr que ce délire utopique soit encore à l’ordre du jour !

    En tout cas, nous avons accumulé depuis quelques années les motifs de désaccords politiques et économiques entre les deux pays.

    De la crise migratoire, ouverte unilatéralement par Angela Merkel qui avait besoin de main-d’œuvre relativement qualifiée et bon marché pour le patronat allemand, au désastre énergétique du marché européen, nous voyons à quel point cette obsession du couple franco-allemand a conduit les « élites » françaises à s’auto-aveugler.

    Même le plan militaire, sur lequel, pendant les 70 dernières années, l’Allemagne a été des plus discrètes, est désormais l’occasion de passes d’armes (si je puis dire) entre les deux pays.

    En tout cas, il est urgent de prendre acte du fait que l’Allemagne défend ses propres intérêts politiques et économiques – et elle a bien raison. Ceux qui ont tort sont les dirigeants français qui refusent d’en faire autant.

    Faute de mener pacifiquement nos deux barques séparément (et, si possible, en bonne harmonie), nous allons préparer la vassalisation de la France (déjà bien avancée) et peut-être même pire : le retour de la guerre entre nos deux pays.

    En tout cas, il ne sera pas longtemps supportable que les Français paient pour la compétitivité des Allemands – notamment en fournissant de l’électricité d’origine nucléaire, dont les infrastructures d’origine sont amorties depuis longtemps.

    Mais toute la question est de savoir si les dirigeants français veulent défendre la France !

     

    Auteur

  • La France malade du socialisme

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    Le mouvement enclenché en France contre la réforme des retraites est tout à la fois grotesque et consternant.

    Il est grotesque parce que la France apparaît une fois de plus pour ce qu’elle est : un pays où les grèves, les manifestations accompagnées parfois d’émeutes, font partie d’une sorte de folklore local qui n’existe, sous cette forme et à ce degré, dans aucun autre pays développé de la planète.

    Le réceptionniste d’un hôtel, où j’ai résidé lors d’un bref séjour en France au mois de novembre dernier et à qui je disais que je ne pouvais pas passer quelques jours en France sans être confronté à une grève, m’avait répondu que grèves et manifestations font partie des traditions françaises.

    Sa remarque m’avait fait sourire à l’époque et j’avais pensé qu’il avait raison.

    J’ai écrit dans un article, il y a quelques années, qu’il y avait en France deux saisons, celle allant de septembre au mois de juin de l’année suivante, la saison des grèves, et les mois de juillet et août, au cours desquels les grévistes se reposent ou partent en vacances pour reprendre des forces en vue des prochaines grèves – et la description à laquelle j’avais ainsi procédé me semble toujours pertinente.

    Le mouvement contre la réforme des retraites me paraît grotesque, oui.

    Il me paraît consternant aussi, parce qu’il repose (ce qui est très souvent le cas lorsqu’il y a des grèves en France) sur une ignorance de l’économie très répandue au sein de la population et au sein de la gauche politique. Et ce doit être dit et répété : le système de retraites français est en situation de faillite et ne peut pas être sauvé.

    La réforme que propose le gouvernement peut être comparée au célèbre emplâtre sur une jambe de bois, ou à un rafistolage très provisoire et vain.

    Le fondement du système est, je l’ai déjà dit, et je dois le répéter, ce qui s’appelle la répartition, mais il ne répartit pas : il prend aux uns pour donner aux autres, il distribue.

    C’est un système de redistribution qui ne dit pas son nom, et ce système relève de l’escroquerie. Il dit aux salariés qu’on prélève sur leurs salaires une cotisation pour leur propre retraite. En réalité, l’argent qu’on leur prend sert à payer les pensions des gens qui sont déjà à la retraite. Et les salariés en activité sont censés compter sur les salariés que seront en activité lorsqu’eux-mêmes partiront à la retraite.

    Il reste aux salariés en activité à espérer qu’il y aura encore assez de salariés à ce moment pour cela, et que les salaires de ces salariés seront suffisamment élevés pour que la retraite versée reste assez proche des chiffres qu’on leur annonce.

    La réalité est que ce n’est pas sûr et qu’il n’y aura probablement pas assez de salariés.

    Quand le système a été créé, il y avait environ 5 salariés pour un retraité. Il reste aujourd’hui 1,7 salarié pour un retraité. D’ici à 2035, il restera 1,5 salarié pour un retraité. Un calcul mathématique simple permet de comprendre que le poids du retraité sur les salariés est écrasant et que ce qui est prélevé sur les salaires aujourd’hui n’est pas du tout suffisant pour payer les retraites.

    Des artifices comptables permettent de maquiller les chiffres et de dissimuler la réalité qui est celle d’un puits sans fonds où la richesse qui subsiste dans le pays va continuer à s’engloutir.

    Quand je travaillais en France, il y a un quart de siècle, dans des cercles libéraux, on parlait d’un retour indispensable et urgent à un système de capitalisation, et on constatait aussi que proposer ce retour était politiquement impensable en France.

    Aujourd’hui, cela reste impensable, et il est de toute façon trop tard. Les grévistes ne pourront pas obtenir satisfaction, car les caisses sont plus que vides, et les déficits se creusent.

    Les dirigeants politiques qui disent le contraire pratiquent l’analphabétisme économique cynique et volontaire pour garder leurs électeurs.

    Le gouvernement français est dans une impasse. L’avenir de la France est sombre et désespérant. Je l’écris avec une infinie tristesse. Il y a longtemps que la France est malade du socialisme, et la maladie socialiste qui frappe la France a de nombreuses autres dimensions. Je crains fort que la maladie soit mortelle. J’éprouve de la pitié pour les pauvres Français qui vont devenir plus pauvres.

     

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  • Chronique des cinglés

    Publié par Guy de Laferrière le 25 janvier 2023

    Chronique des cinglés
    Une femme a vu son chat écrasé par un TGV près de la gare Montparnasse à Paris, alors qu’elle avait demandé aux agents d’intervenir. La SNCF dit “regretter vivement” cet incident.

    La passagère déplore l’inaction ainsi que le manque d’écoute de la SNCF et demande justice. BFMTV a consacré moins 10mn d’émission à ce sujet.

    La mère et sa fille s’apprêtaient à quitter la capitale en direction de Bordeaux, quand le chat, transporté dans une caisse, échappe à leur attention et se réfugie sous un train. Ses deux propriétaires le repèrent rapidement et préviennent le personnel de la gare. Pour des questions de sécurité, la SNCF interdit aux deux femmes de tenter d’aller sauver elles-mêmes l’animal. Après 20 minutes de négociations, le TGV démarre comme prévu. Le chat finit coupé en deux. La SNCF propose alors à Georgia de récupérer le corps de son chat.

    “Je ne comprends pas: on ne pouvait pas descendre pour sauver notre chat vivant, mais il est maintenant possible de le récupérer mort”, déplore-t-elle, indiquant avoir fermement refusé la proposition.

    Cette affaire a donné lieu à des échanges ubuesques sur Twitter.

    Pendant ce temps, 600 embryons humains sont déchiquetés chaque jour en France.

     

    Source : lesalonbeige