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  • BABY BOOM !

    Publié par Guy de Laferrière le 12 juin 2023

    Christian Rol

    BABY BOOM !
    Le vrai coupable de ce massacre, c’est l’Etat français aux ordres de la Commission européenne, ce machin criminel qui ordonne la guerre contre la Russie et le carnage dans notre propre pays.
    Les Français sont « choqués », certes, mais dans un mois ils ont le cul sur une plage, au camping, dans un charter pour Beaufland ou un week-end bourgeois à l’île de Ré. Alors, comme la décapitation de Samuel Patty, les attentats du Bataclan ou Nice, tous ces faits divers quotidiens qui endeuillent leur impuissance et leur lâcheté, ces mêmes français auront oublié les enfants sacrifiés et continueront de raser les murs de leur bonne conscience. Même les flics ont peur de tirer sur un mec avec un couteau dans un jardin d’enfants ; c’est vous dire l’état mental de ce peuple…
    Il faut couper sans trembler la main qui tenait le poignard ; toutes les mains ! Des millions ! Mais, surtout, il faudrait greffer une paire de balloches aux Français, les dissuader de croire en l’ « État de droit », aux lois et à la « violence légitime » de ce même État. Ce peuple est complice et il le sait...
    C. Rol
    Peut être une image de 1 personne et texte qui dit ’E| CE QUE L'ON SAIT BFM TV.’
     
     
     
     
     
     
     
     

  • Marseille : son fils n’est pas retenu dans l’équipe de foot, « il débarque, me met un coup de tête dans la tête et m’entaille le poignet avec son couteau de boucher », accusant le club d’être raciste (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 12 juin 2023

    12/06/2023

    […]Après les tests passés, un premier coach serait allé voir le papa, lui informant que son fils, joueur du club en U11, ne pourrait pas poursuivre la saison prochaine. (…) Lorsque Frédéric, va pour chercher ses clés dans sa voiture, avant d’enchaîner avec les détections U17, « il débarque, me met un coup de tête dans la tête et m’entaille le poignet avec son couteau de boucher ». Celui qui n’avait jusqu’alors jamais présenté d’animosité particulière aux abords du stade le couvre d’insultes, lui disant, «je vais te tuer, tu prends pas mon fils, je vais tous vous tuer, je vais tous vous planter !». L’homme s’en prend alors aux parents et enfants aux alentours, les menace eux aussi de mort, accusant le club d’être des racistes. […]

    La Marseillaise


    09/06/2023

    Les parents ayant un enfant inscrit dans un club de foot marseillais redoutent cette période : celle des détections de fin d’année. Faute de pouvoir inscrire un nombre suffisant d’équipes, les entraîneurs sont en effet contraints de faire des sélections, le plus souvent sous forme de match, pour déterminer qui aura le droit de jouer l’an prochain et à quel niveau.

    […]

    Ulcéré que son gamin ne soit pas retenu, un homme s’en est violemment pris aux entraîneurs du club, trois ont été frappés à coups de poing et de pied, indique une source policière. Pire : totalement hors de contrôle, l’homme a ensuite sorti un couteau de cuisine et tailladé un des coachs. Une blessure heureusement sans gravité.

    […]

    La Provence

  • Montbeton (82) : un agent d’entretien malien mis en examen pour le viol d’une pensionnaire d’un établissement pour adultes handicapés

    Publié par Guy de Laferrière le 12 juin 2023

    Surpris à demi nu avec une pensionnaire de cet établissement accueillant des adultes handicapés de Montbeton en Tarn-et-Garonne, cet homme de 28 ans a été écroué à la maison d’arrêt de Beausoileil à Montauban à l’issue de sa mise en examen pour viol.

    (…) Âgée de 30 ans, la victime est placée sous curatelle en raison d’une déficience mentale.

    (…) Durant sa garde à vue, le suspect d’origine Malienne n’aurait pas nié la relation sexuelle.

    L’information judiciaire ouverte devrait désormais déterminer si cette relation pouvait être consentie.

    La Dépêche via fdesouche

  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juin 2023

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  • Guerre d’Indochine : la pudeur du gouvernement face à la haute trahison du parti communiste “français”

    Publié par Guy de Laferrière le 11 juin 2023

    Guerre d’Indochine : la pudeur du gouvernement face à la haute trahison du parti communiste “français”

    Jeudi 8 juin a été célébré partout en France un hommage aux morts pour la France en Indochine. Le message gouvernemental de Patricia Miralles, secrétaire d’Etat auprès du ministre des armées chargée des anciens combattants et de la mémoire, a été très décevant par la pudeur de ses propos, évitant toute allusion au fait que l’armée française a combattu le Communisme et que le parti communiste dit “français” a fait preuve à l’époque de haute trahison.

    N’hésitant pas à rappeler que le Japon était l’allié de l’Allemagne nazie pour évoquer ce qu’elle appelle la 1ère guerre d’Indochine (invasion de l’Indochine par les troupes japonaise en 1940), elle oublie de parler du Communisme (URSS et Chine) qui a financé et armé le Viet-Minh de 1945 à 1954, sans parler de l’attitude du PC”F” en France qui a tout simplement trahi la France :

    “De 1940 à 1954, deux conflits successifs ont engagé la France en Indochine. Celui provoqué par l’agression du Japon, pays allié de l’Allemagne nazie, puis la guerre d’Indochine qui a marqué la fin d’un siècle de présence française en Extrême-Orient (…) La guerre contre les puissances de l’Axe à peine achevée, d’autres soldats français embarquaient vers Hanoï, pour un autre combat qui annonçait une nouvelle ère de notre Histoire, entre guerre froide et décolonisation (…) Tous ceux aussi qui, internés par le Viet Minh dans des conditions effroyables, succombèrent à la faim, à la maladie et à l’épuisement. 40 000 soldats de l’armée française furent faits prisonniers. 10 000 à peine survécurent à l’enfer des camps (…)”

    Viet-Minh, enfer des camps, guerre froide… Quelle pudeur ! Quelle honte !

    Voici un petit rappel de l’action des communiste durant cette guerre où nos soldats français se conduisirent en héros et se sont sacrifiés pour la Liberté :

    ” La France avait engagé sa parole auprès du Viêt-Nam, dirigé alors par Bao Daï. Elle n’était plus un pays affrontant une rébellion nourrie par la Chine et l’URSS, elle était la représentante d’un système, le « monde libre », face à un détachement d’un régime ennemi, le « communisme ». Et le général Catroux, ancien gouverneur général de l’Indochine, d’écrire dans Le Figaro du 21 juillet 1953 : « Il n’est pas en effet loisible à la France de rompre à sa convenance le combat, parce que la guerre d’Indochine n’est pas seulement sa guerre contre le seul Hô Chi Minh, mais celle du monde libre, auquel elle est liée, contre le communisme ».

    Dès le début de ce conflit, les communistes français n’eurent de cesse de procéder à une critique et à une condamnation de cette « sale guerre » qu’ils appréciaient, à l’instar d’Etienne Fajon « comme une guerre injuste, réactionnaire, menée contre la liberté d’un peuple ». Dès lors, tout fut mis en œuvre pour venir en aide au « peuple vietnamien opprimé » et la consigne émise par la direction centrale du PCF : « Refus de la fabrication, du transport et du chargement du matériel de guerre destiné à l’Indochine », immédiatement appliquée, notamment par les syndicalistes de la CGT.

    La presse communiste devenait quotidiennement plus incisive en stigmatisant à outrance la présence française en Indochine, la qualifiant de « poison colonialiste » et Léon Feix d’écrire dans L’Humanité du 24 mars 1952 : « De larges masses participeront effectivement à la lutte anticolonialiste dans la mesure où nous saurons extirper de l’esprit des Français, en premier lieu des ouvriers, le poison colonialiste »… tandis que Jean-Paul Sartre, n’avait de cesse de fustiger dans la revue « Temps Modernes », « l’action criminelle des soldats français ». Dès lors, les communistes français allaient, à leur façon, participer activement à ce conflit…

    Dans les usines d’armement, les armes et les munitions destinées aux soldats de l’Union Française étaient systématiquement sabotées… « L’effet retard » des grenades était volontairement supprimé, ce qui entraînait leur explosion immédiate dès qu’elles étaient dégoupillées, la plupart du temps, dans les mains de leurs servants… Les canons des pistolets mitrailleurs et des fusils étaient obturés avec une balle, ce qui entraînait souvent leur explosion… Les munitions étaient sous chargées ou ne l’étaient pas du tout… Les obus de mortier explosaient dès leur percussion ou s’avéraient inertes… Les moteurs des véhicules de terrains comme ceux des avions subissaient également toutes sortes de sabotage : Joints de culasse limés et limaille de fer dans les carters à huile… Ce fut le cas, entre autres, des moteurs de l’hydravion « Catalina » de la 8F où furent impliqués des ouvriers des ateliers de la base de Cuers-Pierrefeu… Même le porte-avions d’escorte « Dixmude », n’échappa pas aux dégradations : Ligne d’arbre endommagé. L’enquête permit d’identifier le saboteur en la personne du quartier-maître mécanicien Heimburger, membre du Parti Communiste Français.

    Tout cela, pourtant, n’était rien d’autre que de la haute trahison et les ouvriers comme leurs commanditaires qui envoyaient chaque jour à une mort certaine des soldats français, auraient dû être traduits devant des Tribunaux d’exception pour « intelligence avec l’ennemi ». Ils ne furent jamais inquiétés ! (…)

    Sur les quais, les aérodromes et les gares tenus par la CGT, la mobilisation communiste était identique. Les acheminements de troupes et de matériels subissaient de graves perturbations… Les navires et les trains étaient immobilisés, les détériorations ne se comptaient plus, les grèves se multipliaient… A Grenoble, une pièce d’artillerie fut jetée à bas du train. En gare de Saint-Pierre-des-Corps, à Tours, une militante communiste, Raymonde Dien, devint une héroïne nationale pour s’être couchée en travers d’une voie. Cette violence atteignit son point culminant dans la nuit du 2 au 3 décembre 1947. A la suite du sabotage d’une voie ferrée par un commando de la cellule communiste d’Arras, l’express Paris-Lille dérailla, faisant 16 morts et 30 blessés…

    Quant aux blessés rapatriés, généralement débarqués de nuit à Marseille, ils étaient acheminés secrètement en région parisienne où ils arrivaient au matin à la gare de l’Est. Mais cette discrétion ne les épargnait pas des manifestations hostiles des cheminots CGT. Les blessés étaient injuriés et frappés sur leurs civières. Un hôpital parisien qui demandait du sang pour les transfusions sanguines spécifiait « que ce sang ne servirait pas pour les blessés d’Indochine » car, à l’Assemblée Nationale, les députés communistes avaient exigé que « la collecte publique de sang ne soit jamais destinée aux blessés d’Indochine qui peuvent crever (sic) ». A Noël un député suggéra qu’un colis de Noël soit envoyé aux combattants d’Extrême Orient. Une député du PCF s’exclama aussitôt : « Le seul cadeau qu’ils méritent, c’est douze balles dans la peau ! ».

    Par ailleurs, outre les armes et les fonds adressés régulièrement au « grand frère vietminh », des tonnes de médicaments lui étaient également acheminés par l’Union des Femmes Françaises (liée au Part communiste) et l’indignation de nos soldats ne résultait pas tellement de ce que l’ennemi recevait de la Métropole des colis de pénicilline, mais du fait que, chaque jour, des soldats français mouraient, faute d’en posséder. Pour nos soldats enlisés dans ce conflit, la guerre prenait un parfum amer teintée de colère et de découragement… La prise de conscience fut rapide et brutale : Désormais l’ennemi n’était plus le Viêt-Minh mais les communistes français…”

     

    Source : lesalonbeige