Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 4

  • « Petit p*dé », « grande t*rlouze », « cage aux folles »… Les propos présumés d’Emmanuel Macron suscitent la polémique

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2024

    Une enquête du « Monde » dévoile les propos présumés d’Emmanuel Macron président de la République et de ses proches conseillers.

    Au milieu de l’agitation politique, et alors que le chef de l’Etat est sur le front, à Mayotte, après le passage d’un cyclone d’une violence extrême, une enquête du Monde, qui révèle le langage peu reluisant d’Emmanuel Macron et de ses proches conseillers, aurait pu passer inaperçu.

    Boys club

    Derrière les grilles du palais, les « mormons », ces membres de la bande des débuts, ont tous décampé les uns après les autres. « Du Macron des origines, seul ou presque demeure Alexis Kohler », souligne le Monde. Seuls quelques fidèles de la première heure sont restés pour conseiller le président, parmi lesquels Jonathan Guémas, ex-plume désormais chargé de la « communication et de la stratégie » du chef de l’Etat, ou Clément Lénarduzzi, reparti depuis chez Publicis.

    « Avec [ce boys club], on est loin du sacré et de la transcendance… Le soir venu, le président les retrouve pour se distraire après des journées harassantes », révèlent nos confrères du Monde« Petit pédé », « grande tarlouze »… Voilà comment ils se parlent, par textos ou autour d’un verre de Whisky. « Du 15 000e degré », assure Jonathan Guémas, quelque peu gêné !

    Mais ce n’est pas tout, car, toujours selon le Monde, l’Elysée se serait amusé à surnommer Matignon « la cage aux folles » durant une période. Une référence à peine voilée à l’homosexualité du plus-jeune-Premier-ministre-de-la-Ve-République, Gabriel Attal.

    L’Elysée « dément fermement et absolument les propos » du journal Le Monde.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Ces derniers Mohicans du monde politique d’avant !

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2024

    synthesenationale

    30579638.jpg

    La chronique de Philippe Randa

    François Bayrou, nommé Premier ministre, a déjà réussi un exploit qui ne s’était pas vu depuis longtemps, voire même jamais : il fait l’unanimité de la classe politique et de ses observateurs : tout le monde le méprise, le raille ou le déteste… ce qui pourrait finir par le rendre sympathique !

    À peine si on lui reconnaît une persévérance et une énergie incontestable à exister coûte que coûte dans le marigot politique. Ce que doivent lui envier nombre d’has been du poulailler électoral français auquel il peut redonner quelque espoir.

    Mais sa nomination à Matignon, quoi qu’on en pense, signe en tout cas le glas d’une vilaine rengaine qui cassait les oreilles dans la vie politique de nombreux pays.

    En effet, on peut déjà se demander si la mode du « jeunisme » en politique n’a pas fait enfin ! long feu en France… tout autant qu’outre-atlantique, après l’élection, puis la réélection de Donald Trump à la Maison-Blanche et l’interim de Joe Biden, tous deux modérément perdreaux de l’année.

    Pour ce qui est de ce côté-ci de l’Atlantique, que n’avait-on encensé la jeunesse d’un Emmanuel Macron – qui ne semble plus enthousiasmer grand monde (euphémisme) – puis celle de Gabriel Attal, son « petit frère » comme il l’avait appelé : ce dernier aura jusqu’à présent seulement fait un « p’tit tours » avant d’être remercié pour insignifiance notoire, alors qu’il devait sauver le camp présidentiel aux élections européennes de juin dernier d’abord, aux législatives de juillet ensuite en boutant le « Jordan » (Bardella) hors des urnes ! Patatras ! Il n’aura même pas fait illusion.

    Certes, la déconfiture de son successeur à Matignon aura au moins eu le mérite de faire oublier la sienne aux Français… ceux-ci ayant la mémoire courte, comme l’avait remarqué un certain Philippe Pétain il y a un peu moins d’un siècle de cela !

    Et donc, après un trimestriel passage éclair aux Affaires de l’européiste Michel Barnier (73 ans au compteur), le Président a extirpé de son galure le béarnais François Bayrou… de cinq mois son cadet.
    L’un et l’autre derniers Mohicans de ce « monde politique d’avant » dont la Macronie avait assuré vouloir nous débarrasser !

    Si au moins cette promesse, ne fut-ce que celle-ci, avait été tenue ! Mais même pas !

    Lire EuroLibertés cliquez ici

  • 2007 : Quand Sarkozy faisait voter la loi Dalo (Droit au logement opposable), une pompe aspirante qui eut pour conséquence de contraindre l’État à fournir un logement aux migrants au détriment des Français modestes

    Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2024


    La loi DALO (Droit au logement opposable), adoptée en 2007 sous Nicolas Sarkozy, a parfois été critiquée comme un “appel d’air” pour les flux migratoires. Ces critiques, souvent émises par des opposants politiques ou des analystes, reposent sur l’idée que la loi, en garantissant un logement décent à toute personne en difficulté (y compris les migrants en situation régulière), pourrait inciter davantage de migrants à venir en France.

    Points clés de la critique :

    1. Attractivité perçue pour les migrants :
      En rendant opposable le droit au logement, certains estiment que la loi envoie un signal attractif à l’international, surtout dans un contexte où les pays européens peinent à coordonner leurs politiques migratoires.
    2. Tension sur les logements sociaux :
      Dans des zones tendues comme l’Île-de-France, où la demande de logements dépasse largement l’offre, la concurrence entre bénéficiaires du DALO, y compris les migrants, peut alimenter des tensions sociales.
    3. Critiques politiques :
      Des responsables politiques, notamment à droite, ont dénoncé un déséquilibre entre les besoins des Français modestes et ceux des étrangers, suggérant que la loi privilégierait indirectement ces derniers.

    Source : fdesouche

  • Syrie : « Israël dirige la politique étrangère américaine au Moyen Orient depuis 30 ans »

    Publié par Guy Jovelin le 19 décembre 2024

    Le remodelage du Moyen-Orient : la Syrie attaquée à nouveau par les terroristes islamistes
    Le remodelage du Moyen-Orient : la Syrie attaquée à nouveau par les terroristes islamistes

    La situation en Syrie est catastrophique. Les États-Unis sont-ils derrière ce « regime change » ? Ou Israël via son allié américain ? Réponse dans l’entretien donné par l’économiste américain Jeffrey Sachs au célèbre journaliste Tucker Carlson qui désigne Israël comme le lobby qui « dirige la politique étrangère américaine au Moyen Orient depuis 30 ans ».

    Les révélations de l’économiste américain Jeffrey Sachs auprès de Tucker Carlson

    L’économiste américain Jeffrey Sachs (JS) était l’invité de Tucker Carlson (TC). Au cours de cet entretien Jeffrey Sachs a abordé la situation syrienne et le rôle tant d’Israël que des États-Unis dans ce « regime change » sanglant.

    « TC : Les Américains ont-ils participé au renversement d’Assad la semaine dernière ?

    « JS : Bien sûr, ils ont participé. Il s’agissait d’une opération continue. Ils sont impliqués dans cette opération depuis 13 ans sans interruption. La guerre a commencé en 2011. Comme toujours, la CIA l’a présentée comme un soulèvement local et une lutte pour la liberté. C’est ainsi que fonctionne toute opération de changement de régime de la CIA. La CIA fournit des armes, des armes lourdes, des fonds, des formations, des camps et une organisation politique. En 2012, un conflit sanglant était déjà en cours. Un diplomate de très haut rang que je connaissais très bien a été chargé d’essayer de trouver la paix. Je l’ai rencontré au printemps 2012, et il m’a dit qu’il n’y était pas parvenu. Il a expliqué qu’un accord de paix avait été préparé, mais qu’il était bloqué par une partie. Il y avait plusieurs forces en Syrie, des forces régionales, mais tout était bloqué par un pays. Bloqué par le gouvernement américain.

    « TC : Pourquoi ?

    « JS : Parce que leur condition était qu’Assad parte le premier jour de l’accord, et non par le biais d’un processus politique. Tous les autres pays ont accepté un processus politique, mais les États-Unis ont dit : non, non, il s’agit d’un changement de régime, Assad doit partir le premier jour. C’était la fin de la tentative de paix. Nous devons comprendre qu’il s’agissait d’une opération américaine. »

    Jeffrey Sachs déclare également que ce fut Obama qui « a ordonné à la CIA de renverser Assad. Cela a commencé en 2011. » Et lorsque Tucker Carlson lui demande : « Pourquoi ? » l’économiste américain n’hésite pas à lui répondre :

    « Parce qu’Israël dirige la politique étrangère américaine au Moyen Orient depuis 30 ans. C’est comme ça que ça marche ! Nous avons un lobby Israélien … Nous avons un plan de 7 guerres en 5 ans…. »

     

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info