Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 9

  • Israël affirme que la Syrie est son quatrième « front de combat »

    Publié par Guy de Laferrière le 10 décembre 2024

    Israël affirme que la Syrie est son quatrième « front de combat »

    « Les forces israéliennes combattent actuellement sur quatre fronts, a déclaré hier le chef d’état-major israélien Herzi Halevi, à savoir Gaza, la Cisjordanie, le Liban et depuis samedi soir en Syrie ».

    Les forces terrestres israéliennes ont ouvertement pénétré sur le territoire syrien pour la première fois depuis la guerre d’octobre 1973, traversant la zone frontalière démilitarisée, marquant leur première occupation terrestre sur le territoire syrien.

    Troupes israéliennes sur le territoire syrien

    Les forces israéliennes ont pris le contrôle du sommet du mont Hermon, du côté syrien de la frontière, ainsi que de plusieurs autres endroits jugés essentiels pour les intérêts israéliens.

    Le lieutenant-général Herzi Halevi, chef d’état-major de l’armée israélienne, a affirmé qu’Israël avait « déployé des troupes sur le territoire syrien », sans toutefois donner plus de détails.

    Israël opère secrètement en Syrie depuis de nombreuses années mais le déploiement de troupes terrestres au-delà de la zone démilitarisée en Syrie marque un changement de politique significatif.

    Avichay Adraee, porte-parole de l’armée israélienne, a annoncé dimanche un couvre-feu dans cinq villages syriens de la zone tampon, ordonnant aux habitants de rester chez eux « jusqu’à nouvel ordre ».

    Selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, des chars et des véhicules blindés israéliens ont été déployés à Quneitra, une région du plateau du Golan à la frontière d’Israël, du Liban et de la Jordanie.

    Israël a conquis le plateau du Golan lors de la guerre du Moyen-Orient de 1967 et annexé une grande partie du territoire en 1981. Le reste est contrôlé par la Syrie. La plupart des pays du monde considèrent cette zone comme un territoire syrien occupé par Israël, même si Donald J. Trump a reconnu la souveraineté israélienne sur ce territoire en 2019 lors de son premier mandat de président.

    Pierre-Alain Depauw

     

    Source : medias-presse.info

  • SYRIE, L'OTAN mondialisé au service de l'entité sioniste!

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2024

    SYRIE,
    L'OTAN mondialisé au service de l'entité sioniste!
    Ainsi le régime bassiste de Bachar El Assad s'est effondré comme un château de cartes. Celui qui avait fait preuve d'une rare combativité pendant la dizaine d'années de guerre civile qui a martyrisé la Syrie a finalement cédé. L'économie du pays était exangue financièrement suite aux sanctions internationales, le gouvernement légitime n'ayant plus accès aux revenus du pétrole, volés par les américains et les kurdes dans l'est du territoire. Les proxis islamistes de l'OTAN mondialiste ont aussi profité de l'affaiblissement de l'allié russe, tout occupé en Ukraine, du hezbollah libanais et des Iraniens, engagés dans un combat acharné au Liban et harcelés par des raids incessants de l'aviation israélienne sur le sol syrien sans que cette violation flagrante des règles internationales et de la souveraineté de la Syrie ne pose problème à grand monde en Occident.
    L'axe de la résistance en lutte contre l'hégémonie sioniste se trouve brisé et considérablement affaibli, ce qui rend plus claire maintenant la chronologie des événements. L'entité sioniste a utilisé l'attaque du Hamas du 7 octobre 2023, dont tout prouve qu'elle en avait eu connaissance pour dérouler un plan d'action prévu de longue date. Il est clair que le gouvernement des fous furieux qui siège à Tel Aviv ne va pas s'arrêter là, les prochaines cibles étant le hezbollah irakien, les houthis au Yemen et bien évidemment, in fine l'Iran qui est promis à la destruction.
    Que ce soit dans le caucase avec la tentative de révolution colorée en Géorgie à l'encontre du gouvernement légitimement élu ou dans les balkans avec le coup d'Etat institutionnel qui annule l'élection présidentielle en Roumanie promise au candidat hors système, l'Oligarchie mondiale est à la manœuvre pour imposer la démocratie libérale et globale partout dans le monde. Mais rien n'est écrit. Nous sommes entrés dans une zone de secousse où tout devient permis, y compris d'organiser et de renforcer la résistance.
    Yvan BENEDETTI

    entité sioniste,syrie

  • Qui est Abou Mohammed al-Joulani

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2024

    Thomas Joly

    469546523_1234314961185197_8653383701805327521_n.jpg

  • Le réchauffement climatique : un phénomène naturel et cyclique plus qu’une responsabilité humaine avérée

    Publié par Guy de Laferrière le 09 décembre 2024

    469647361_1233838431232850_9142008360037786904_n.jpg

    En cette journée mondiale du climat, il n'est pas inutile de rappeler quelques vérités.
    1. Le réchauffement climatique : un phénomène naturel et cyclique plus qu’une responsabilité humaine avérée
    Le climat terrestre a toujours été sujet à des variations naturelles majeures bien avant l’ère industrielle. Les cycles de Milankovitch, l'activité solaire, et les changements des courants océaniques sont autant de facteurs qui influencent les températures sur des échelles de temps longues. Des périodes comme l’optimum climatique médiéval ou le petit âge glaciaire démontrent que des fluctuations climatiques significatives se sont produites sans intervention humaine.
    Si l’augmentation récente des températures est corrélée avec l’industrialisation et les émissions de gaz à effet de serre, cela ne prouve pas une causalité directe. La climatologie, domaine complexe et encore en évolution, repose sur des modèles qui, bien que sophistiqués, restent imparfaits. La sensibilité climatique au CO₂ fait encore débat, et certains scientifiques considèrent que les forces naturelles pourraient jouer un rôle plus important que ce que l’on affirme généralement. La tendance à attribuer systématiquement le réchauffement au facteur anthropique ignore presque toujours ces dynamiques naturelles.
    2. Une climatologie transformée en culte culpabilisateur
    Au fil des années, la climatologie semble avoir dérivé vers une idéologie quasi-religieuse. Les discours alarmistes et apocalyptiques, portés par certaines ONG et médias, contribuent à instaurer une culture de la peur. Cette stratégie culpabilise principalement les pays occidentaux qui se voient désignés comme les grands responsables des désastres climatiques, malgré les efforts significatifs qu’ils ont déjà réalisés.
    Les gouvernements occidentaux imposent des taxes punitives sous prétexte de réduire l'empreinte carbone mais ces politiques fiscales frappent principalement les classes moyennes et populaires, tout en épargnant souvent les grands pollueurs mondiaux. Parallèlement, l’angoisse climatique instillée chez les jeunes générations crée un sentiment d'impuissance et un désespoir qui affecte leur santé mentale. Cette rhétorique anxiogène détourne les véritables objectifs écologiques au profit d’une croisade idéologique où la vertu apparente masque souvent des intérêts économiques et politiques.
    3. La France : un modèle parmi les pays les moins pollueurs
    La France est l’un des pays au monde qui génère le moins d’émissions de gaz à effet de serre par habitant. Son mix énergétique, dominé par le nucléaire, lui permet de produire une électricité à faible empreinte carbone, contrairement à des nations comme l’Allemagne qui dépendent encore lourdement du charbon. Par ailleurs, les politiques environnementales françaises imposent déjà des normes très strictes voire abusives dans les domaines de l’agriculture, des transports, et de l’industrie.
    Ces efforts contrastent fortement avec des pays comme la Chine ou l’Inde, dont les émissions de CO₂ augmentent massivement. Pourtant, les discours internationaux tendent à homogénéiser les responsabilités, plaçant un fardeau disproportionné sur des pays comme la France, qui contribue pourtant peu à la pollution mondiale. Cette asymétrie dans les discours et les mesures nourrit un légitime sentiment d’injustice.
    4. Une écologie capturée par des idéologues extrêmes
    L’écologie, concept noble et nécessaire, a été détournée par des idéologues radicaux qui cherchent à transformer la défense de l’environnement en outil de contrôle social. Sous couvert de sauver la planète, ces militants imposent des contraintes liberticides, érodent les libertés individuelles et fragilisent les économies. Leur approche manichéenne empêche un débat serein et rationnel sur des solutions équilibrées.
    Le Parti de la France estime que la défense de l’environnement ne doit pas être synonyme de régression ou de sacrifices inutiles. Elle doit s’appuyer sur le progrès technologique, une gestion durable des ressources et une répartition équitable des responsabilités à l’échelle mondiale. En rejetant les discours extrémistes et en privilégiant des solutions pragmatiques, il est possible de protéger la planète sans sacrifier les populations sur l’autel d’une idéologie dogmatique.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • En ce Dimanche prions pour le Roy, prions pour la France

    Publié par Guy de Laferrière le 08 décembre 2024

    469518979_10230653515176473_9161807749212046064_n.jpg