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Le Parti de la France - Page 1092

  • Biden déclare que le « boucher » Poutine « ne peut pas rester au pouvoir » et appelle à un changement de régime en Russie

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2022

    « Nous aurons un avenir différent, un avenir plus brillant, ancré dans la démocratie et les principes, l’espoir et la lumière, la décence et la dignité, la liberté, des possibilités. Pour l’amour de Dieu, cet homme ne peut pas rester au pouvoir », a déclaré le président américain.

    Mais cette déclaration a été nuancée quelques minutes plus tard par un responsable de la Maison Blanche, qui précise que le président n’a pas appelé à un « changement de régime ».

    « Ce que le président voulait dire, c’est que Poutine ne peut pas être autorisé à exercer un pouvoir sur ses voisins ou sur la région. Il ne parlait pas du pouvoir de Poutine en Russie, ni d’un changement de régime », a dit le responsable.

    « Ce n’est pas au président américain de décider qui est au pouvoir en Russie », a déclaré le porte-parole Dmitry Peskov à l’agence de presse Reuters. « Le président de la Russie est élu par les Russes », a-t-il déclaré.

    Joe Biden qualifie Vladimir Poutine de «boucher» :

    Biden a aussi qualifié samedi son homologue russe Vladimir Poutine de « boucher » lors d’une rencontre avec les réfugiés ukrainiens à Varsovie.

    Interrogé sur « ce qu’il pensait de Vladimir Poutine, compte tenu de ce qu’il inflige à ces gens », M. Biden a répondu d’une phrase : « C’est un boucher », alors que la rencontre était transmise en direct par plusieurs chaînes de télévision depuis le stade national de Varsovie.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Joe Biden : « Couper le gaz russe va nuire à l’Europe mais c’est le prix que je suis prêt à payer »

    Publié par Guy Jovelin le 27 mars 2022

    Vu que l’Europe dépend à 40 % du gaz et 30 % du pétrole russe, ce coût serait l’effondrement de l’économie européenne au profit des Etats-Unis, en gros, suicidez-vous pour l’Amérique au nom de la guerre en Ukraine et des néonazis d’Azov !

     

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1507325780166127621

  • Une jeune réfugiée ukrainienne scolarisée dans un collège français : “Ici les maths c’est beaucoup plus facile qu’en Ukraine”

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2022

     
    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1507661731446804483
  • La menace d’une crise alimentaire liée à la guerre en Ukraine… et aux délires mondialistes

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2022

     

    « Selon un antique adage, gouverner consisterait avant tout à prévoir. Pour les instances européennes, le compte n’y est pas. Et là, il ne s’agit plus de société inclusive et autres gadgets bienveillants : juste de savoir ce qu’il y aura dans nos assiettes – ou pas – demain.

    Ainsi la Commission européenne vient-elle enfin de comprendre que le Vieux Continent était désormais dépendant des céréales russes et ukrainiennes. Tout comme il aura fallu attendre le Covid-19 pour s’apercevoir que nous n’étions même plus capables de fabriquer de l’aspirine et que nos voitures peinaient à rouler sans ces micro-processeurs, eux aussi usinés en Chine.

    Il y avait la fameuse « mondialisation heureuse », chère à Alain Minc ; on avait oublié ces mondialistes distraits, persuadés que l’empire du Milieu resterait à jamais l’usine du monde.
    Un mépris ethnique et civilisationnel mêlé à cette jobardise qui consiste à imaginer que ceux qui ont inventé papier et poudre à canon se contenteront pour l’éternité de mouler des Mickey™ en plastoc et des Barbie™ en Merdaflex™.

    Aujourd’hui, le « cercle de la raison » (Alain Minc, toujours, et sa « bonne gouvernance ») commence à en rabattre. D’où ce plan pour revenir à ce qui fut jadis notre ordinaire : l’autosuffisance alimentaire. La France fut l’autre grenier à blé de l’Europe. Du passé. Désormais, les derniers de nos paysans jonglent avec les réglementations.

    On les a naguère sommés de démembrer leurs champs et d’abattre les haies, au nom d’une rationalité toute technocratique, pour ensuite leur reprocher d’avoir dévasté l’environnement. On les a poussés à utiliser engrais et pesticides plus que de raison pour, désormais, les accuser d’écocide. On les a obligés à penser avant tout à l’exportation pour, aujourd’hui, les condamner aux circuits courts. Résultat ? Les enfants ne veulent plus reprendre la ferme familiale et ceux qui relèvent le défi caracolent en tête des taux de suicide.

    On oublie pourtant que ce sont eux qui nous nourrissent quotidiennement et que sans eux, nous mourrions tous de faim. Cela mériterait peut-être un petit merci ou, tout au moins, un semblant de considération. Nous en sommes loin. La preuve en est ce caprice de gosses de riches ayant amené, ce 19 mars, certains enfants gâtés à arraisonner un train empli de blé aux alentours de Pontivy, en Bretagne, pour en jeter la cargaison aux quatre vents.

    Certes, les motivations de ce collectif méritent aussi d’être entendues : « En déversant ces céréales destinées à l’alimentation d’une partie du cheptel breton, nous symbolisons le lien au sol à recréer dans notre agriculture, le lien à la terre bretonne, cette même terre qui ne peut pas supporter les incidences de l’élevage d’un si grand nombre d’animaux. »

    Mais que font ces paysans, si ce n’est obéir aux injonctions successives et contradictoires d’instances, au début étatiques puis supranationales, leur expliquant comment pratiquer le métier de leurs ancêtres, instances dont les représentants ne sauraient même pas faire la différence entre un topinambour et un kiwi ?

    Si l’on suit l’actuelle logique gouvernementale, Emmanuel Macron ne devrait pas tarder à demander conseil à d’autres experts. Ceux de McKinsey, peut-être ? »

    de  Nicolas Gauthier
    sur BVoltaire

  • Il y a soixante ans : le massacre de la rue d’Isly

    Publié par Guy Jovelin le 26 mars 2022

    Le 26 mars 1962, un traquenard diabolique ourdi par le pouvoir gaulliste et ses complices à Alger permettait d’enfermer dans une nasse les patriotes algérois venus défiler pacifiquement derrière les drapeaux français, pour protester contre le terrible blocus du quartier de Bab-el-Oued, assiégé par la Gendarmerie mobile.

    Le préfet Vitalis-Cros fit appel à l’armée pour bloquer le passage de la foule. C’est le 4e Regiment de Tirailleurs Algériens ( arabes ou berbères, qui n’avaient jamais assuré l’ordre en ville, revenus harassés après plusieurs jours de marche), qui est désigné malgré la mise en garde de son commandement prévenant que ces soldats ne sont pas préparés à une confrontation urbaine.

    Ils étaient trois mille civils non armés à défiler vers le quartier de Bab el Oued, et se retrouvèrent donc face à un barrage militaire.

    A 14h45, un lieutenant des tirailleurs vient les prévenir, ou plutôt les supplier :
    « dispersez-vous, nous avons ordre de tirer ».

    Quelques minutes après, les armes automatiques crépitent vers la foule.
    Une centaine de Français, hommes, femmes, enfants, furent abattus (certains achevés à terre) et plusieurs centaines furent blessés par les balles françaises. Ils sont tombés victimes de la haine gaulliste.

    Ce que les Soviétiques n’ont pas osé à Budapest fin octobre 1956, les criminels gaullistes l’ont réalisé : faire tirer sur les habitants, sur les civils. Des officiers et des soldats portant l’uniforme de l’armée française ont tiré, pour réduire au silence en les tuant, des Algérois français qui voulaient rester français. Crime ineffaçable et qui souille à jamais notre armée et notre nation.

    Le gouvernement n’a jamais présenté d’excuses.

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