Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2022
Source : lafautearousseau
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Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2022
Source : lafautearousseau
Publié par Guy Jovelin le 31 mars 2022
Un baiser entre deux femmes sous les yeux des enfants. L’effusion LGBT+ aura lieu dans un film d’animation Lightyear. La véritable histoire de Buzz dont la sortie en salle est prévue pour le 17 juin. Le film des studios d’animation Pixar (propriété de Disney) raconte l’histoire du film qui a inspiré la ligne de jouets du personnage éponyme de l’univers Toy Story.
Le 11 mars, Bob Chapek, PDG de Disney , a déclaré que la loi de Floride, qui interdit aux associations de parler de changement de sexe et d‘idéologie de genre dans les écoles qu’à partir de la troisième année, représentait “un autre défi pour les droits de l’homme” et a ajouté que l’entreprise renforcerait son soutien aux militants qui luttent contre des lois similaires dans d’autres États et suspendrait les contributions politiques en Floride.
Mais je sais qu’il y a encore beaucoup à faire. Je m’engage dans ce travail et pour vous tous, et je continuerai à m’engager auprès de la communauté LGBTQ+ pour que nous puissions devenir de meilleurs alliés.
Cet engagement passe par une propagande forcenée auprès de la jeunesse. Allen March, coordinateur de production chez Disney :
Mon équipe est investie pour « montrer des histoires queers » et l’entreprise a créé un indicateur interne pour s’assurer qu’il y a assez de « personnages non-binaires », de « personnages trans » et de « personnages bisexuels » dans mes films.
Vivian Ware, responsable de la diversité et de l’inclusion chez Disney :
L’entreprise a éliminé tous les mots de “mesdames”, “messieurs”, “garçons”, “filles” dans ses parcs d’attraction pour créer ce « moment magique » où les enfants ne s’identifient plus à leurs sexes.
Latoya Raveneau, productrice chez Disney :
Mon équipe met en place « un ordre du jour gay pas-du-tout secret » et « rajoute régulièrement du queer » dans ses programmes pour enfants.
Source : lesalonbeige
Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022
Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022
Dans un centre d’hébergement de l’Essonne, 49 jeunes exilés hébergés risquent de se retrouver de nouveau à la rue. En cause ? L’arrivée d’Ukrainiens qui fuient la guerre. Plusieurs associations dénoncent cet accueil discriminatoire. La préfecture dément tout lien.
A Ormoy, une cinquantaine de jeunes étrangers ont eu pour ordre de quitter un centre d’hébergement car leur situation n’était plus en règle. Selon la rumeur, pour être remplacés par des Ukrainiens. Plusieurs médias se sont engouffrés dans la brèche. En réalité, moins de cinq personnes sont concernées.
Publié par Guy Jovelin le 30 mars 2022
L’absence de chauffage et d’eau chaude depuis douze jours fut la goutte qui fit déborder le vase. Les résidents du centre d’accueil des demandeurs d’asile (CADA) de Coallia à Vergigny ont bloqué l’accès au bâtiment jusqu’en début d’après-midi de ce lundi 28 mars. Ils protestent contre leurs conditions d’hébergement.
“C’est l’expression d’un ras-le-bol”, explique Crispin Tumba. Francophone et installé ici depuis six mois, il est un de leurs porte-paroles. “L’immeuble est vétuste, résume-t-il. Malgré les efforts du personnel, les pannes reviennent à chaque fois. Rien n’est fait pour trouver une solution pérenne.” Ce CADA accueille entre 120 et 130 résidents. Dix salariés y travaillent.