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Le Parti de la France - Page 923

  • Toulouse : des dizaines de migrants albanais expulsés d’un squat vivent dans la rue, les riverains se plaignent “des nuisances sonores”

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Depuis leur expulsion d’un squat de la rue d’Alès le 8 juillet à Toulouse (Haute-Garonne), plusieurs dizaines de migrants dorment dans la rue, dans l’attente d’un logement. Leur présence exaspère certains riverains qui ont en marre “des nuisances sonores”.

    Devant l’un des bâtiments de la rue d’Alès, dans le quartier Croix de Pierre, à Toulouse, trois colosses veillent. Depuis l’évacuation du squat illégal, le 8juillet dernier, une équipe de sécurité empêche les anciens occupants de revenir.« Certains prétextent avoir oublié une valise ou un autre objet pour tenter de rentrer dans le bâtiment », raconte un des vigiles. Selon la préfecture, des solutions de relogement ont été proposées à toutes les personnes.

    Pourtant, à quelques centaines de mètres de là où ils vivaient illégalement il y a encore quelques jours,des familles albanaises dorment à la rue. Près de la haie qui borde la digue, des matelas, sacs de couchage et des tentes sont empilés.« Tous les jours, j’appelle le 115 (Samu social) pour tenter de trouver une place pour ma famille. Mais la vérité, c’est que personne ne s’occupe de nous », peste Mathéo, 17 ans, lycéen, dans un français quasiment impeccable. […]

    La Dépêche via fdesouche

  • Course-poursuite à Toulouse : il refuse d’obtempérer à un contrôle, roule à contresens à plus de 100 km/h, puis provoque un accident… Il voulait “aller en vacances au bled”

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Un homme a été arrêté par la police après avoir roulé dans Toulouse à plus de 100 km/h lors d’une course-poursuite. Pour lui, si son père l’avait emmené en vacances, rien ne serait arrivé…

    « Papa c’est ta faute ! Je t’avais dit on va en vacances au bled, on reste pas en France ». À peine entré dans le box des comparutions immédiates du tribunal correctionnel, le prévenu de 26 ans n’a pas un regard pour ses juges. Il s’adresse à ses parents dans la salle d’audience. Pas vraiment pour leur lancer des mots d’amour.

    Ce vendredi-là, vers 20 h 30, cet homme a été arrêté au terme d’une course-poursuite avec les policiers de la brigade spécialisée de terrain nord. Ces derniers avaient voulu le contrôler. Il a pris tous les risques pendant dix minutes en roulant notamment à contresens avec des pointes à 100 km/h dans Toulouse. Dans sa fuite, il a percuté la voiture d’un jeune homme route de Launaguet. La victime se retrouve aujourd’hui le bras en écharpe. Son véhicule est une épave.

    (…) Dans l’habitacle de la voiture se trouvaient 20 grammes de résine de cannabis ainsi qu’une balance de précision. En poussant plus encore leurs recherches, ils ont découvert 275 gr de résine dissimulés dans le caleçon du chauffard. Dépisté, il a été testé positif au cannabis. Il conduisait sans permis et une douille de 9 mm percutée voyageait avec lui.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • David Lisnard, Maire de Cannes, dénonce des formations obligatoires notamment sur le genre à Sciences Po Toulouse : « Le fléau du wokisme ne cesse d’infiltrer l’enseignement supérieur »

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Twitter

  • Nîmes : Sonia, une jeune policière adjointe échangeait des messages sur Snapchat avec des détenus, elle est interdite d’exercer

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nïmes échangeait des messages avec deux détenus qui avaient des téléphones portables en prison. La jeune femme est condamnée à six mois de prison assorti d’un sursis. Le tribunal a prononcé une interdiction d’exercer la fonction de policier ou de gendarme pendant cinq ans.

    Sonia (le prénom a été modifié), jeune policière adjointe à Nîmes n’a pas su ou pas voulu couper les ponts avec ses amis du Chemin-Bas-d’Avignon. Des téléphones appartenant à des amis du quartier en détention et connus pour leurs antécédents judiciaires ont été saisis en septembre 2021 lors d’une fouille en prison. 

    Un officier de police judiciaire a découvert que l’une des personnes contactées avec ces téléphones portables était une jeune policière adjointe en poste au commissariat de Nîmes. L’un des détenus lui annonçait qu’il allait être placé en garde à vue. “T’es sûr ? C’est bon. T’inquiètes. Tu as besoin de quoi ? J’y serai à 6 heures (NDLR : au commissariat) “, lui répond la jeune femme après avoir vérifié l’information sur le registre des gardés à vue.

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche