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Le Parti de la France - Page 924

  • A Marseille, avec le soutien du préfet à l’égalité des chances et de la municipalité, une convention d’occupation légalise un squat géré par des demandeurs d’asile

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Le projet, soutenu par le préfet à l’égalité des chances et la municipalité, apporte une solution aux difficultés d’hébergement des migrants que connaît la ville.

    Ils l’appellent « le Saint-Bazile », du nom de la rue qui abrite ce bâtiment Art déco, à quelques pas de la Canebière, dans le centre de Marseille (1er arrondissement). L’immeuble de cinq étages, qui fut pendant un temps l’une des vitrines locales du Parti communiste français, abrite une expérience inédite dans une ville où un demandeur d’asile sur deux ne trouve pas d’hébergement officiel. Squatté depuis l’été 2021 et autogéré par une association de migrants, le Saint-Bazile fait l’objet, depuis le 1er juillet, d’une convention d’occupation temporaire avec son propriétaire, l’établissement public foncier Provence-Alpes-Côte d’Azur. La présence d’une quarantaine d’habitants y est légalisée pour neuf mois.

    « Ici, on se sent en sécurité. Il n’y a pas de bagarres, pas de trafic de drogue… », sourit Moses Bright, 28 ans. Dans la cuisine commune du quatrième étage, sommairement équipée, ce Nigérian prépare à manger pour son fils de 20 mois et sa compagne. A son arrivée à Marseille, deux ans plus tôt, le couple a trouvé refuge dans le squat géant de la cité des Flamants, tenu par des marchands de sommeil et des réseaux de stupéfiants. Un incendie d’origine criminelle, qui a provoqué la mort de trois personnes, a entraîné l’évacuation du bâtiment et renvoyé la famille à la rue. Jusqu’à ce qu’il rencontre le Saint-Bazile. Moses, comme les autres habitants, a aidé à repeindre les murs, à carreler une salle de bains. Tous les quinze jours, raconte-t-il, il se rend à la réunion des occupants, et, chaque dimanche, participe au ménage des espaces partagés. « Et quand il y a un problème, on peut parler avec les gens », conclut-il.

    A l’étage au-dessus, sur la terrasse où il leur arrive de dormir par temps de canicule, Amidu Kamara et Salieu Bamba se disent, eux aussi, « soulagés ». Ces deux Sierra-Léonais, respectivement âgés de 34 et 25 ans, en France depuis plus de trois ans, occupent chacun une des vingt-deux chambres du Saint-Bazile. « Nous dormions dans la rue quand Alieu est venu nous parler de l’immeuble. Il a juste dit qu’il y avait un règlement intérieur : pas de drogue, pas de prostitution, pas de business, pas de bruit qui puisse gêner les voisins… », détaille le plus jeune.

    Alieu, c’est Alieu Jalloh, 35 ans. Lui aussi est sierra-léonais. En France depuis 2017, celui qui était commerçant au pays a vécu le parcours précaire du migrant avant d’obtenir son statut de réfugié pour dix ans, en novembre 2021. Il ne vit pas au Saint-Bazile, mais il veille à son bon fonctionnement. Expulsé du premier squat où il avait trouvé refuge, Alieu a lancé, en 2019, avec une poignée d’autres migrants, l’Association des usagers de la plate-forme d’accueil des demandeurs d’asile (AUP). […]

    Le Monde via fdesouche

  • Interdiction temporaire…

    Publié par Guy Jovelin le 28 juillet 2022

    Interdiction temporaire…

    Depuis le 2 mars, les médias d’Etat russes Sputnik et RT (anciennement Russia Today), sont interdits de diffusion dans l’Union européenne. La justice européenne a rejeté, mercredi 27 juillet, une demande d’annulation de cette suspension de la part de RT France. La Russie a réagi en menaçant les médias occidentaux de représailles.

    La Cour de justice de l’UE, dans son arrêt, estime que l’interdiction “temporaire” (sic) de RT France ne remet “pas en cause” la liberté d’expression “en tant que telle”, et qu’elle est “proportionnée” (sic) à l’objectif d’éviter la “propagande” liée à “l’agression militaire de l’Ukraine”.

    Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré :

    “Nous allons prendre des mesures de pression similaires visant les médias occidentaux qui travaillent chez nous dans le pays”, a prévenu le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov. “Nous n’allons pas non plus les laisser travailler dans notre pays”.

     

    Source : lesalonbeige

  • Hausse du nombre d’agressions de médecins : plus de 1.000 incidents signalés en 2021, très peu de plaintes déposées, seuls 30% des incidents sont signalés, estime l’Ordre des médecins

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2022

    L’Ordre des médecins déplore une hausse du nombre d’agressions contre les médecins, alors que ces derniers déposent rarement plainte. Les actes d’incivilité sont principalement verbaux.

    Les agressions contre les médecins – principalement verbales – sont “reparties en hausse” l’an dernier, après une légère décrue en 2020 à cause du Covid, a indiqué mardi l’Ordre des médecins, déplorant “le peu de plaintes déposées” par les victimes.

    Plus de 1000 incidents signalés en 2021

    Les confinements au début de la crise sanitaire avaient un peu enrayé la “hausse régulière des incivilités”, mais la tendance est “repartie à la hausse” en 2021, a déclaré lors d’une conférence de presse le Docteur Jean-Jacques Avrane, responsable de l’Observatoire de la sécurité du Conseil national de l’Ordre des médecins (Cnom).

    Pour la 19e édition de cette étude annuelle réalisée avec Ipsos, 1009 fiches de déclarations d’incidents ont été remontées via les conseils départementaux. Soit un peu plus qu’en 2020 (955), mais encore moins que le record enregistré en 2018 (1126).

    La réalité est sans doute bien supérieure, puisque le Cnom estime qu'”environ 30% des incidents sont signalés”, a précisé le Docteur Avrane, pointant notamment des “grosses lacunes” dans les hôpitaux qui préfèrent selon lui “régler leurs problèmes en interne”.

    (…) BFMTV via fdesouche

     

  • Boulogne-sur-Mer (62) : la cathédrale Notre-Dame saccagée, un individu retrouvé couvert de sang

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2022

    Ce mardi 26, d’importantes dégradations ont eu lieu dans la Cathédrale Notre-Dame de Boulogne-sur-Mer. Un homme de 31 ans a été interpellé, il est actuellement en garde à vue.

    Au lendemain matin d’un acte de vandalisme inédit dans la Cathédrale Notre-Dame de Boulogne-sur-Mer, on en sait un peu plus sur ce qu’il s’est passé. Un homme de 31 ans avait été interpellé hier soir et il a été entendu par la police. Il s’agit d’un Américain de 31 ans, « son état mental pose question » indique le procureur de la République adjoint Patrick Leleu.

    En effet, le compte Twitter de la Police Nationale a communiqué des photos de l’intérieur et on peut voir l’étendue des dégâts : les bancs sont de travers, des chaises sont renversées et des statues sont cassées. La police parle « d’un homme couvert de sang et en pleine crise de folie. »

    Le procureur de la République adjoint indique que le préjudice matériel s’élève « à des milliers d’euros » puisque des « pièces historiques et religieuses sont irremplaçables ».

    (…) Nord Littoral via fdesouche

  • Essonne : un maire PCF met une école libre en danger

    Publié par Guy Jovelin le 27 juillet 2022

    Essonne : un maire PCF met une école libre en dangerEssonne : un maire PCF met une école libre en danger

    Le groupe scolaire catholique Trinité et Tarcisius est implanté depuis 9 ans en Essonne, à Frileuse, dans le hameau de la ville de Briis-sous-Forges. Seul établissement catholique hors-contrat du département, il accueille 120 élèves, de la primaire au collège. Deux bâtiments différents forment ce groupe, séparés par 5 kilomètres. Cette école est gérée par l’association familiale d’éducation en Essonne (AFEE), composée de parents d’élèves.

    David Vauthrin, président de l’association, indique que le groupe souhaite devenir propriétaire de ses propres locaux. Courant 2021, le groupe scolaire s’intéresse à la maison des fondateurs de l’école, sur le départ. La maison, mitoyenne aux locaux qu’ils louent pour l’école, est une trouvaille idéale. L’occasion de racheter les locaux dans lesquels ils sont depuis 2013 et d’acquérir la maison mitoyenne pour y héberger le collège. Le 30 décembre 2021, un compromis de vente est signé. Début 2022, il engage des procédures administratives en matière d’urbanisme.

    Le maire PCF Emmanuel Dassa se montre défavorable au projet en justifiant d’un nombre trop important d’élèves au vu de la petite taille de la station d’épuration de la ville. Un reproche d’autant plus étrange que la mairie avait auparavant donné son accord à l’installation de ce même nombre d’élèves, et que l’établissement bénéficie d’une autorisation ERP (établissement recevant du public), qui permet d’engager des travaux de rénovation.

    En parallèle, le maire du village se met à avoir d’autres ambitions pour ces deux biens. Il est notamment évoqué un projet de logements sociaux. Le dimensionnement de la station d’épuration ne semble ici poser aucun problème.

    Malgré le compromis de vente, le Maire décide de faire voter, le 28 mars, le droit de préemption des biens en conseil municipal. L’école, dont le bâtiment est compris dans le droit de préemption, devrait impérativement déménager, en l’espace de quelques semaines.

     

    Source : lesalonbeige