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clandestins - Page 2

  • L’ancien préfet de police de Paris, Didier Lallement, à propos des clandestins : « La réalité est que, pour ne pas devenir délinquant après être arrivé en France dans des situations chaotiques, vous devez être un saint »

    Publié par Guy de Laferrière le 07 novembre 2022

    L’ancien préfet de police de Paris, Didier Lallement, revient longuement sur sa gestion controversée de la crise des gilets jaunes et dénonce “l’amertume et l’acrimonie” des manifestants. Il salue encore “le courage des fonctionnaires de police” qui ont “frôlé l’ouverture du feu“. A propos des clandestins, il estime que « pour ne pas devenir délinquant après être arrivé en France dans des situations chaotiques, vous devez être un saint »

    Droit dans ses bottes. L’ancien préfet de police de Paris, dont la gestion du maintien de l’ordre a été très contestée pendant les gilets jaunes, revient sur son expérience. Désormais Secrétaire général de la Mer, Didier Lallement assume sa doctrine qui a débouché sur des dizaines de blessés dans les rangs des manifestants.

    Il n’y a pas eu de morts à Paris pendant la crise. On a frôlé l’ouverture du feu mais, grâce au courage des fonctionnaires de police, cela ne s’est pas produit. Le jour où on devra ouvrir le feu, on entrera dans une autre dimension. Cela risque d’arriver un jour“, avance le sexagénaire dans un long entretien à L’Opinion.

    Le haut fonctionnaire avait été nommé par Emmanuel Macron en décembre 2018, après l’acte 3 des gilets jaunes qui avait mené à de graves dégradations sur les Champs-Élysées et sous l’Arc de Triomphe. Son mandat est alors clair: aller au contact des manifestants pour éviter les dégradations, quitte à assumer des affrontements violents.

    Votre main ne devra pas trembler“, lui avait demandé Christophe Castaner, alors ministre de l’Intérieur. Didier Lallement n’a jamais pas vacillé. Quitte à paraître provocant.

    La scène, en novembre 2019 Place d’Italie, au lendemain d’une manifestation mouvementée, où il croise une femme gilets jaunes, est symptomatique de cette posture. Il concèdera plus tard “une maladresse“. “Le mouvement des Gilets jaunes est l’illustration de l’absence de débouchés politiques aux luttes sociales (…). Ses participants, qui d’ailleurs éliminaient systématiquement leurs chefs, ont été renvoyés à leur amertume et leur acrimonie“, juge cependant auprès du quotidien l’ancien patron des policiers parisiens.

    Début septembre, un juge a commencé à enquêter sur l’épisode de gilets jaunes nassés à Paris en 2019, au moment où Didier Lallement était aux manettes de la préfecture de police. Une autre information judiciaire le vise également pour “détention arbitraire“. […]

    Enfin, Didier Lallement revient sur les propos de Gérald Darmanin, son ancien ministre de tutelle qui a dévoilé les contours de son futur projet de loi sur l’immigration. “Une partie des étrangers dans les grandes métropoles commettent l’essentiel des actes de délinquance“, a jugé au micro de BFMTV le locataire de Beauvau la semaine dernière.

    “La réalité est que, pour ne pas devenir délinquant après être arrivé en France dans des situations chaotiques, vous devez être un saint. Des personnes arrivent sur le territoire, ne sont pas reconduites à la frontière pour diverses raisons et n’ont pas le droit de travailler“, décrypte l’ancien préfet de police.

    Avant d’ajouter: “Qu’ont-elles comme choix ? Travailler au noir ? Subsister grâce à d’autres ressources illégales? L’homme n’est ni naturellement bon, ni naturellement méchant. On crée les conditions d’une réalité“.

    Au secrétariat général de la Mer, Didier Lallement exerce désormais “une mission de contrôle, d’évaluation et de prospective” en matière de politique maritime.

    bfmtv via fdesouche

  • L’ambassadeur du Maroc en France : “Le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper”

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

    C’est un bien curieux imbroglio qui vient d’être détecté par la police marocaine des frontières: sous le coup d’une expulsion du territoire français, un individu, détenteur d’un laissez-passer authentique, délivré par le consulat général du Royaume à Paris, se révèle, en fait, être tunisien. Les explications.

    Mercredi 19 octobre à l’aéroport de Casablanca. Un policier aux frontières examine le laissez-passer d’un citoyen marocain, expulsé depuis la France. Le nom, inscrit sur ce laissez-passer délivré par le consulat général du Maroc à Paris est bien enregistré dans sa base de données. Mais l’examen des traits de cet individu, dont les initiales sont S.M.A, et celui de ses empreintes digitales ne correspondent pas à l’identité du citoyen marocain, dont les données étaient accessibles sur son écran.

    Ces vérifications préliminaires ont permis au policier de parvenir à cette conclusion certaine: l’homme qui se tenait devant lui n’était pas celui dont le nom était mentionné sur le laissez-passer, délivré par le consulat du Maroc à Paris.

    La photographie et les empreintes ne concordaient pas avec l’identité de ce citoyen marocain, dont le nom avait été soumis par les autorités françaises à l’ambassade du Maroc, en France, en vue de délivrer un laissez-passer, document indispensable à son expulsion du territoire français.

    La supercherie est vite apparue au grand jour. L’homme, qui est présenté comme un Marocain, se nomme Ahmed Ben Ali, et il est, en fait, de nationalité tunisienne.

    Si son laissez-passer est authentique, la photographie d’identité qui l’accompagne n’est pas celle de ce citoyen marocain répondant aux initiales de S.M.A, pour lequel la demande de ce document avait été formulée par les autorités françaises.

    (…)

    L’abject assassinat de Lola, une collégienne de 12 ans, le 14 octobre dernier, par une femme de nationalité algérienne, a vivement ému l’opinion publique française.

    L’assassin présumé de l’enfant faisant justement l’objet d’une OQTF, le débat sur les expulsions d’immigrés clandestins a donc repris de plus belle.

    Le 360

    (…) D’après ce que m’a affirmé M. Chakib Benmoussa, alors ambassadeur du Maroc en France, « le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper ». M. Benmoussa est un homme de parole. Il ne dit pas n’importe quoi. Le malentendu est là. Peut-être que les autorités de Rabat auraient dû s’expliquer officiellement sur cette question.

    Le Point

  • La grande trahison des petits patrons.

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

    Bruno Hirout Secrétaire Général du Parti de la France

    La grande trahison des petits patrons.
    Tous ces boulangers, tous ces restaurateurs, tous ces petits boutiquiers radins qui imposent la présence de clandestins dans leurs cuisines, sur leurs terrasses et dans nos communes en vantant le fait que ces Africains sont de meilleurs travailleurs que les "Gaulois", sont du même acabit que les dégénérés qui faisaient travailler les enfants car corvéables et peu chers. Leur promotion du travailleur immigré, qui leur permet de se mettre dans le camp des moralisateurs, n'est que le répugnant cache-sexe de leur phénoménale radinerie. Je ne verserai jamais une larme sur la fermeture d'un commerce qui préfère employer (et donc fixer chez nous) des Soudanais et des Erythréens plutôt que des travailleurs français.
    Peut être une image de 3 personnes, personnes debout, aliment et cuisine
     
     
     
     
     
  • Occitanie : démantèlement d’une filière franco-tunisienne d’aide à des clandestins «désireux de se maintenir en France et d’obtenir des aides sociales indues»

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2021

    Une centaine de «clients» et des dizaines de milliers d’euros de gains : une filière franco-tunisienne constituée de cinq ressortissants tunisiens et d’une septuagénaire française, qui fournissait en masse de faux documents à des Tunisiens en situation irrégulière a été démantelée en Occitanie, a annoncé lundi 20 décembre le parquet de Toulouse.

    Les personnes interpellées sont soupçonnées d’avoir délivré de faux bulletins de salaire ou contrats de travail à des Tunisiens en situation irrégulière, «désireux de se maintenir en France et d’obtenir des aides sociales indues», selon la même source. Les faux documents étaient vendus entre 70 et 200 euros pièce et les perquisitions ont permis de saisir «44.000 euros en espèce, 75.000 euros sur différents comptes bancaires et quatre véhicules acquis frauduleusement», détaille le communiqué.

    Les six personnes interpellées ont été présentées au juge d’instruction et mises en examen pour «aide au séjour irrégulier en bande organisée, faux et usage de faux, blanchiment aggravé et escroquerie aux prestations sociales». Quatre d’entre elles ont été placées sous contrôle judiciaire et deux en détention provisoire, indique le parquet, précisant que «l’enquête se poursuit (…) en vue d’identifier les autres auteurs, co-auteurs ou complices du trafic, et l’ensemble des bénéficiaires».

    Le Figaro via fdesouche

  • « Une psychiatre rédigeait de faux certificats médicaux à des clandestins pour qu’ils obtiennent un titre de séjour. 80.000 consultations bidons à son actif. Elle a fait perdre 3 millions d’euros à la Sécu » (rediff 2018)

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2021

     

    Des médecins ont fourni à des sans-papiers de faux certificats médicaux pour leur permettre d’obtenir frauduleusement un titre de séjour. Un trafic qui a occasionné un important préjudice à l’Etat, se chiffrant en dizaines de millions d’euros. C’est ce que vient de révéler l’enquête très fouillée, menée depuis plusieurs semaines par notre équipe.

    Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 06/03/2018

    LCI via fdesouche