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clandestins - Page 2

  • Mutinerie au centre de rétention administrative de Sète (34) : des clandestins tentent de « tendre un piège » aux policiers

    Publié par Guy de Laferrière le 05 janvier 2023

    Les policiers du centre de rétention administrative de Sète ont dû faire face à une mutinerie, rapidement maîtrisée, dans la nuit du 4 au 5 janvier. Après plusieurs épisodes de violence au sein du CRA, le syndicat Unité SGP Police 34 tire la sonnette d’alarme.

    Forte tension au sein du centre de rétention administrative de Sète, dans la nuit du mercredi 4 au jeudi 5 janvier. Les policiers ont dû faire face à un début de mutinerie après l’interception d’un colis. Aucun blessé n’est a déplorer mais du matériel a été dégradé au sein du bâtiment du quai François Maillol.

    […]

     

    Le syndicat demande que les personnes en situation irrégulière qui ont purgé une peine de prison soient directement reconduites à la frontière. “On se retrouve aujourd’hui avec des délinquants chevronnés qui viennent passer jusqu’à 90 jours en centre de rétention administrative. Nous ne sommes pas une prison. Ce n’était pas le rôle de départ des CRA.”

    […]

     

    Midi-Libre via fdesouche

  • L’ambassadeur du Maroc en France : “Le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper”

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

    C’est un bien curieux imbroglio qui vient d’être détecté par la police marocaine des frontières: sous le coup d’une expulsion du territoire français, un individu, détenteur d’un laissez-passer authentique, délivré par le consulat général du Royaume à Paris, se révèle, en fait, être tunisien. Les explications.

    Mercredi 19 octobre à l’aéroport de Casablanca. Un policier aux frontières examine le laissez-passer d’un citoyen marocain, expulsé depuis la France. Le nom, inscrit sur ce laissez-passer délivré par le consulat général du Maroc à Paris est bien enregistré dans sa base de données. Mais l’examen des traits de cet individu, dont les initiales sont S.M.A, et celui de ses empreintes digitales ne correspondent pas à l’identité du citoyen marocain, dont les données étaient accessibles sur son écran.

    Ces vérifications préliminaires ont permis au policier de parvenir à cette conclusion certaine: l’homme qui se tenait devant lui n’était pas celui dont le nom était mentionné sur le laissez-passer, délivré par le consulat du Maroc à Paris.

    La photographie et les empreintes ne concordaient pas avec l’identité de ce citoyen marocain, dont le nom avait été soumis par les autorités françaises à l’ambassade du Maroc, en France, en vue de délivrer un laissez-passer, document indispensable à son expulsion du territoire français.

    La supercherie est vite apparue au grand jour. L’homme, qui est présenté comme un Marocain, se nomme Ahmed Ben Ali, et il est, en fait, de nationalité tunisienne.

    Si son laissez-passer est authentique, la photographie d’identité qui l’accompagne n’est pas celle de ce citoyen marocain répondant aux initiales de S.M.A, pour lequel la demande de ce document avait été formulée par les autorités françaises.

    (…)

    L’abject assassinat de Lola, une collégienne de 12 ans, le 14 octobre dernier, par une femme de nationalité algérienne, a vivement ému l’opinion publique française.

    L’assassin présumé de l’enfant faisant justement l’objet d’une OQTF, le débat sur les expulsions d’immigrés clandestins a donc repris de plus belle.

    Le 360

    (…) D’après ce que m’a affirmé M. Chakib Benmoussa, alors ambassadeur du Maroc en France, « le Maroc n’a jamais refusé de rapatrier ses clandestins, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s’occuper ». M. Benmoussa est un homme de parole. Il ne dit pas n’importe quoi. Le malentendu est là. Peut-être que les autorités de Rabat auraient dû s’expliquer officiellement sur cette question.

    Le Point

  • La grande trahison des petits patrons.

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

    Bruno Hirout Secrétaire Général du Parti de la France

    La grande trahison des petits patrons.
    Tous ces boulangers, tous ces restaurateurs, tous ces petits boutiquiers radins qui imposent la présence de clandestins dans leurs cuisines, sur leurs terrasses et dans nos communes en vantant le fait que ces Africains sont de meilleurs travailleurs que les "Gaulois", sont du même acabit que les dégénérés qui faisaient travailler les enfants car corvéables et peu chers. Leur promotion du travailleur immigré, qui leur permet de se mettre dans le camp des moralisateurs, n'est que le répugnant cache-sexe de leur phénoménale radinerie. Je ne verserai jamais une larme sur la fermeture d'un commerce qui préfère employer (et donc fixer chez nous) des Soudanais et des Erythréens plutôt que des travailleurs français.
    Peut être une image de 3 personnes, personnes debout, aliment et cuisine
     
     
     
     
     
  • Occitanie : démantèlement d’une filière franco-tunisienne d’aide à des clandestins «désireux de se maintenir en France et d’obtenir des aides sociales indues»

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2021

    Une centaine de «clients» et des dizaines de milliers d’euros de gains : une filière franco-tunisienne constituée de cinq ressortissants tunisiens et d’une septuagénaire française, qui fournissait en masse de faux documents à des Tunisiens en situation irrégulière a été démantelée en Occitanie, a annoncé lundi 20 décembre le parquet de Toulouse.

    Les personnes interpellées sont soupçonnées d’avoir délivré de faux bulletins de salaire ou contrats de travail à des Tunisiens en situation irrégulière, «désireux de se maintenir en France et d’obtenir des aides sociales indues», selon la même source. Les faux documents étaient vendus entre 70 et 200 euros pièce et les perquisitions ont permis de saisir «44.000 euros en espèce, 75.000 euros sur différents comptes bancaires et quatre véhicules acquis frauduleusement», détaille le communiqué.

    Les six personnes interpellées ont été présentées au juge d’instruction et mises en examen pour «aide au séjour irrégulier en bande organisée, faux et usage de faux, blanchiment aggravé et escroquerie aux prestations sociales». Quatre d’entre elles ont été placées sous contrôle judiciaire et deux en détention provisoire, indique le parquet, précisant que «l’enquête se poursuit (…) en vue d’identifier les autres auteurs, co-auteurs ou complices du trafic, et l’ensemble des bénéficiaires».

    Le Figaro via fdesouche

  • « Une psychiatre rédigeait de faux certificats médicaux à des clandestins pour qu’ils obtiennent un titre de séjour. 80.000 consultations bidons à son actif. Elle a fait perdre 3 millions d’euros à la Sécu » (rediff 2018)

    Publié par Guy Jovelin le 20 décembre 2021

     

    Des médecins ont fourni à des sans-papiers de faux certificats médicaux pour leur permettre d’obtenir frauduleusement un titre de séjour. Un trafic qui a occasionné un important préjudice à l’Etat, se chiffrant en dizaines de millions d’euros. C’est ce que vient de révéler l’enquête très fouillée, menée depuis plusieurs semaines par notre équipe.

    Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 20H du 06/03/2018

    LCI via fdesouche