Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

clandestins - Page 3

  • Plusieurs centaines de clandestins marchent vers la frontière du Bélarus avec l’UE, la Pologne se prépare pour la « plus grande tentative d’invasion illégale » de ces derniers mois

    Publié par Guy Jovelin le 08 novembre 2021

    FDqPWeaXoAIoooT.png

    Plusieurs centaines de migrants marchent marchent vers la frontière du Bélarus avec l’UE. Il semble que la situation pourrait dégénérer vite. Le ministère de l’intérieur polonais : « La police et l’armée déployées » à la frontière avec le Bélarus.

    Checkpoint Bruzgi (Biélorussie) – Kuznica (Pologne) : une foule énorme s’approche de la frontière, accompagnée par des gardes et forces spéciales armées du régime de Loukachenko.

    La forêt près de la frontière avec la Pologne à Bruzgi : des tentes et des centaines de gens désespérés, utilisés par Loukachenko et jetés ensuite à la frontière européenne.

    Près du checkpoint, plusieurs centaines de migrants restent toujours de côté du Bélarus. Opération complètement instrumentalisée et organisée par le régime, qui se dit « au courant » de la situation.

    Les gardes-frontière bélarusse armés repoussent les migrants vers la forêt. De l’autre côté, la Pologne se prépare pour la « plus grande tentative d’invasion illégale » depuis des mois.

    Source

  • Des clandestins devant être reconduits dans leur pays refusent d’être testés au Covid. Résultat, leur expulsion est bloquée. “Les cas commencent à se multiplier”

    Publié par Guy Jovelin le 22 mai 2021

    clandestins,testés au covid

    Les cas commencent à se multiplier. Des étrangers en situation irrégulière et devant être reconduits dans leur pays refusent d’être testés au Covid. Résultat, leur expulsion est bloquée.

    Le bon plan semble circuler allègrement au centre de rétention administrative (CRA) de Lesquin. Ces derniers jours, au moins trois étrangers sans papiers sur le point d’être reconduits dans leur pays ont réussi, pour l’instant, à échapper à l’expulsion. La recette ? Surfer sur le principe de précaution provoqué par la pandémie de Covid-19. Avant d’embarquer dans un avion, tout passager doit désormais produire un test PCR négatif récent.

    (…)

    La VDN via fdesouche

  • Partis du Maroc, une centaine de migrants clandestins atteignent l’enclave espagnole de Ceuta à la nage

    Publié par Guy Jovelin le 27 avril 2021

    Des groupes de 20 à 30 personnes sont partis toute la journée de dimanche pour rejoindre l’enclave espagnole. Trois personnes ont été hospitalisées pour hypothermie.

    Plus de sept kilomètres les séparaient de leur destination. Une centaine de migrants sont partis à la nage du nord du Maroc dimanche pour rejoindre l’enclave espagnole de Ceuta, sur la côte nord-africaine, a fait savoir la garde civile espagnole lundi 26 avril.

    Partis des plages marocaines proches de Fnideq (aussi appelée Castillejos), au sud de Ceuta, “certains sont arrivés jusqu’à la plage [de Ceuta] par leurs propres moyens”, a détaillé un porte-parole de la garde civile, tandis que la majorité a dû être secourue et monter “dans nos embarcations” pour rejoindre l’enclave espagnole. “Ce n’est pas habituel, il peut y avoir des groupes de trois, quatre ou cinq, mais autant, non.”

    Des mineurs parmi les migrants

    Aucun mort ni blessé n’a été recensé côté espagnol parmi cette “centaine” de migrants, dont des mineurs, qui sont partis à la nage “durant toute la journée” par “groupe de 20 ou 30”, longeant la côte au loin. Trois personnes ont en revanche été hospitalisées pour hypothermie. Cinq autres personnes sont arrivées à la nage à Ceuta lundi, a indiqué la garde civile.

    Franceinfo via fdesouche

  • Clandestins: un bilan chiffré montre l’efficacité du verrouillage des frontières avec l’Italie et l’Espagne

    Publié par Guy Jovelin le 19 avril 2021

    Clandestins: les frontières ont été verrouillées avec l’Italie et l’Espagne

    Un bilan chiffré montre l’efficacité des renforts déployés aux différents points de passage vers la France

    Alors que la sortie programmée de la crise sanitaire et l’arrivée des beaux jours laissent présager un retour de la pression migratoire, jamais la France n’a aussi bien verrouillé les portes du pays. C’est en tout cas ce que laisse apparaître un bilan chiffré de la Police aux frontières (PAF) porté à la connaissance du Figaro.

    Sur deux pages, le document révèle que 12.288 personnes en situation irrégulière contrôlées à la frontière espagnole entre novembre et mars dernier ont été refoulées avant d’entrer sur le territoire, soit une explosion de 203% par rapport à la même période de l’année précédente. Dans le même temps, 3469 clandestins ont été interceptés dans les départements limitrophes, en particulier dans les Pyrénées-Orientales. Là encore, le chiffre a bondi de 25% en un an.

     

    www.lefigaro.fr

    Dans les Alpes, le scénario est analogue avec 23.537 personnes venant d’Italie se sont vu refuser l’entrée en France dans les cinq derniers mois faute de papiers en règle. C’est-à-dire, là encore, plus du double

  • À Toulouse, 30 à 40 % des livreurs sont des clandestins : « Je sous-loue un compte pour vivre »

    Publié par Guy Jovelin le 10 avril 2021

    À Toulouse, 30 à 40 % des livreurs sont des clandestins. La livraison à domicile, un job vital pour ces dizaines de travailleurs en attente de régularisation ou en situation irrégulière. Certains y voient « une exploitation de la misère » par des plateformes dont l’une, Deliveroo, vient de faire son entrée en Bourse le 31 mars. À l’heure du couvre-feu, dans les rues quasi désertes de la Ville rose, on les voit pédaler toujours plus vite sur des vélos d’infortune. 

    Parmi eux, Younès, 25 ans, Soudanais, demandeur d’asile, travaille en toute clandestinité.

    […]

    Mais sur le terrain, la pratique s’étend par le bouche-à-oreille et la solidarité communautaire. « J’ai travaillé avec deux comptes », poursuit Younès. Le premier appartenait déjà à un demandeur d’asile qui louait lui-même un compte. Le second était celui d’un livreur français. En général, le partage des gains est de 60 % pour le titulaire du compte et 40 % pour celui qui le sous-loue. Il y a des gens qui proposent aux sans papiers ce type de partage, c’est moitié-moitié. Si en une semaine je gagne 100€, je verse 50€ au détenteur du compte. En général je travaille 60 heures par semaine pour 300€. Par mois, je peux gagner autour de 1 000€. Le prix des courses a baissé. Quand je prends une commande c’est 5€ mais la seconde est payée 1€ ou 95 centimes, à l’autre bout de la ville ». Younès n’a pas participé au rassemblement des livreurs en colère vendredi 26 mars à Toulouse. « J’ai besoin de ce job pour vivre même si ce n’est plus assez bien payé ». 

    […]

    Un peu partout en France, des enquêtes sont en cours, menées par les gendarmes de l’Office central de lutte contre le travail illégal. Les investigations ont déjà permis de repérer des structures criminelles élaborées se livrant à des formes graves d’exploitation par le travail : confiscation de documents administratifs et chantage pour travailler davantage au service de filières étrangères. Une pratique condamnée par Deliveroo qui envisage de développer, selon Damien Stéffan, représentant du groupe en France, « une technique de reconnaissance faciale pour déjouer les fraudes ».

     

    […]

     

    La Dépêche via fdesouche