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insécurité - Page 4

  • Marseille (13e) : « Les gens ont peur », des Roms s’installent sur un terrain de pétanque, les habitants se plaignent de l’insécurité et de l’insalubrité

    Publié par Guy Jovelin le 02 octobre 2022

    Les tentes de fortune ont peu à peu pris place autour d’un terrain de pétanque du quartier La Rose, dans le 13e arrondissement de Marseille. En avril dernier, une communauté de Roms s’est installée ici, à deux pas des écoles et des habitations. Les habitants de ce quartier du 13e arrondissement de Marseille se plaignent de l’insécurité et de l’insalubrité d’un terrain de pétanque où des Roms se sont installés. Une réunion sur le sujet est prévue dans les prochains jours à la mairie du 13e arrondissement..

    Depuis, les habitants découvrent chaque jour des détritus devant leur porte, voire des excréments, comme Marianne. C’est juste lamentable“, commente-t-elle au micro de BFM Marseille Provence avant d’expliquer qu’elle est “obligée de vendre une propriété qui appartient à la famille depuis sept générations à cause de ce qui se passe tout autour“.

    Exaspérés par l’insécurité et l’insalubrité sur le terrain, les habitants ont envoyé plusieurs courriers à la mairie centrale, sans obtenir de véritable retour.

    Danielle, la présidente du Comité d’intérêts des habitants de la Rose, regrette que certains retraités du centre culturel n’osent plus venir. “Les gens ont peur” témoigne-t-elle. “C’est vraiment dommage, parce que pour les personnes âgées, c’est parfois leur seule activité de loisirs“.

    A la demande des riverains, la maire des 13 et 14e arrondissements envisage la mise en place d’un dispositif de sécurité autour du terrain de pétanque. “La solution on l’a“, assure Marion Bareille, “c’est de pouvoir installer un portique, on le demande depuis deux ans, il faut vraiment pouvoir agir parce que c’est pas acceptable, à la fois pour les Roms qui s’installent dans ces conditions, et pour les riverains qui assistent à ce spectacle“.

    De leur côté, les Roms souhaitent une solution de logement plus pérenne. “Regardez, toute ma famille vit et dort ici“, déplore l’un d’entre eux en montrant sa voiture, remplie de couvertures.

    msn via fdesouche

  • Insécurité à Lyon : « Ils m’ont roué de coups. Je ne pensais pas que la vie était aussi dangereuse en France », témoigne Juan, un touriste espagnol agressé par une bande de jeunes

    Publié par Guy Jovelin le 15 septembre 2022

     


    Un touriste espagnol a récemment été agressé à Lyon par une bande de jeunes, alors qu’il visitait la ville. Il a livré son témoignage sur CNEWS.

    Lyon à nouveau pointé du doigt pour son insécurité. Juan, un touriste espagnol en déplacement récemment dans la ville rhodanienne, a été violemment pris à partie. Une agression qui s’est déroulée à la sortie d’un restaurant. «Un groupe est arrivé et a essayé de voler deux de mes amis. Nous sommes allés les aider pour éviter cela», confie le touriste. 

    Un des agresseurs présumés a ensuite cassé une bouteille de verre, un signal envoyé à d’autres complices, estime Juan. 

    «Plein de gens ont alors commencé à sortir de chez eux et nous ont poursuivis. Il m’ont alors jeté au sol et m’ont roué de coups», poursuit le touriste qui se souvient avoir pris «plusieurs coups de pieds». 

    «Ils m’ont dit qu’ils voulaient de l’argent, mais j’ai refusé et je me suis enfui», conclut Juan, qui «ne pensait pas que la vie était aussi dangereuse» en France. 

    CNews via fdesouche

  • L’insécurité, notre pain quotidien

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2022

    synthesenationale

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    Voici déjà plus d’une bonne décennie que le problème de l’insécurité domine le quotidien des français et met gendarmes et policiers en position de porte-à-faux. D’autant que les policiers ont tout lieu de se plaindre d’une justice beaucoup trop laxiste. De sorte qu’aujourd’hui nous sommes dans une situation plus qu’inquiétante dans la mesure où les fonctions régaliennes sont de moins en moins assumées par un président et un gouvernement sans aucune boussole, qui naviguent à vue au gré des circonstances et qui permet à des responsables politiques à la mode Mélenchon fustiger les forces de l’ordre. L’avocat Thibault de Montbrial, spécialiste des questions de sécurité livre son analyse sur la situation actuelle.

    Lire la suite ICI

  • Insécurité à Lyon : découragé par l’inaction de la mairie écologiste, le collectif d’habitants “La Guillotière en colère” décide de cesser son activité

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Une association de Lyonnais a décidé de cesser son activité. Plusieurs fois, ses membres avaient dénoncé l’inaction de la municipalité concernant la sécurité et la propreté.

    N’ayant plus d’espoir d’être entendus par la municipalité, ils jettent l’éponge. À Lyon, les membres de l’association la « Guillotière en colère » ont décidé de cesser leur activité, relate Actu.fr, mercredi 13 juillet. Ce collectif d’habitants a dénoncé à plusieurs reprises l’inaction de la mairie écologiste en matière de sécurité et de propreté à la Guillotière, quartier du 7e arrondissement. Tous fustigeaient par ailleurs « l’inaction » de la mairie écologiste, avec laquelle les relations étaient inexistantes. 

    « Nous avons combattu sans relâche les mensonges et surtout le déni des autorités d’hier ou d’aujourd’hui, face à la situation gravissime d’un quartier qui ne faisait qu’empirer de semaine en semaine », a fait savoir l’association par le biais d’un communiqué diffusé le 12 juillet et consulté par nos confrères.

    (…) Dans le même communiqué évoqué par nos confrères, l’association a dit regretter un impossible dialogue avec la municipalité et la métropole, avant de fustiger des réponses inadaptées. « Ceux-ci ont préféré, par un vaste système d’enfumage d’ateliers participatifs, donner le semblant aux citoyens que la mairie s’occupe d’eux, qu’elle écoute les problématiques et apporte des solutions, ont longuement détaillé les membres. Après deux ans aux manettes, chacun ici peut se rendre compte qu’il n’en est absolument rien ! » Et de conclure, pour étayer leur point de vue sur la question : « Là où les millions et les projets sont révélés chaque semaine concernant la Presqu’île et la Part-Dieu, pour la Guillotière il n’y a absolument rien. »

    Valeurs via fdesouche

  • Angers : « On ne règlera pas le problème de l’insécurité tant qu’on ne traitera pas celui de l’immigration »

    Publié par Guy Jovelin le 19 juin 2022

    FIGAROVOX/TRIBUNE – À Angers, trois jeunes ont été tués au couteau dans la nuit du 15 au 16 juillet. Pour le délégué de l’Institut pour la Justice Pierre-Marie Sève, cette nouvelle attaque illustre le lien entre immigration illégale et délinquance.

    Pierre-Marie Sève est délégué général de l’Institut pour la Justice (IPJ), une association de citoyens mobilisés au côté des victimes.

    À Angers, dans la nuit du 15 au 16 juillet, trois jeunes ont été tués au couteau. Après être intervenus pour défendre une jeune fille victime d’agression sexuelle, ces trois jeunes, dont un était mineur, ont été tués par un réfugié soudanais armé d’un couteau de boucher. La veille, un sans-abri était tué au couteau à Amiens, par deux Tunisiens en situation irrégulière. Encore quelques jours plus tôt, une Montpelliéraine de 46 ans était attaquée et blessée au couteau par un Érythréen, lui aussi en situation irrégulière. Il est difficile de ne pas voir un lien entre l’extranéité des auteurs de ces attaques et ce mode opératoire particulier de l’attaque au couteau. En effet, si ce lien n’est pas systématique, les étrangers, qui représentent moins de 10% de la population, sont clairement surreprésentés parmi les auteurs.

    L’attaque au couteau est, par ailleurs, très fortement liée au terrorisme islamique. L’État islamique en avait ainsi fait une de ses spécialités. À Noël dernier encore, un projet d’attentat au couteau avait par exemple été déjoué par les services de renseignement français. Autre exemple: en 2019, dans une tristement célèbre vidéo de propagande de l’État islamique vue des centaines de milliers de fois, un terroriste appelait à tuer les Français sur leur sol en ces mots : «Nul besoin d’un fusil d’assaut ou d’une arme de poing, une simple arme blanche suffit». Enfin, cette violence exacerbée avait atteint un sommet lors de l’assassinat de Samuel Paty, décapité au couteau. Alors que le gouvernement vient d’annoncer sa volonté d’expulser les délinquants étrangers, cette vague d’agressions au couteau est le symbole d’une dimension centrale de l’insécurité: son lien avec l’immigration. Il ne s’agit pas, bien sûr, d’essentialiser à mauvais escient: une large part de la violence en France n’a pas de lien avec l’immigration et se déroule en France, entre Français.

    Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal , la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée.

    Pierre-Marie Sève

    Mais beaucoup d’éléments tendent à rappeler que le problème de l’insécurité ne sera jamais réglé tant que son lien avec l’immigration ne sera pas traité. Comme le rappelle un rapport de l’Institut pour la Justice, ce sont d’abord les statistiques officielles du ministère de l’intérieur lui-même qui notent une surreprésentation des étrangers dans la délinquance et la criminalité. Ainsi, en 2019, il y avait 7,4% d’étrangers parmi la population française. Pourtant, dans chaque catégorie de crimes et délits du Code pénal, la proportion de mis en cause étrangers est plus élevée. Les étrangers sont donc surreprésentés dans toutes les catégories de crimes et délits du Code pénal: des homicides aux crimes sexuels en passant par les vols de voitures ou les escroqueries. Cette surreprésentation, qui ne prend même pas en compte les personnes issues de l’immigration devenues françaises, se retrouve logiquement dans la proportion d’étrangers en prison. En octobre 2021, le ministère de la Justice dénombrait 24,5% d’étrangers dans les prisons françaises. Une autre surreprésentation. En allant plus loin, on peut penser que l’immigration, même devenue française, peut être génératrice de violence. La fameuse étude «Le déni des cultures» du sociologue Hugues Lagrange constatait, en 2013, que les adolescents éduqués dans les familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués dans des délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones.

    Le constat d’une surreprésentation de la violence parmi les immigrés est sans appel et pose bien des questions. Ajoutons enfin que ce phénomène de surreprésentation des étrangers parmi les délinquants n’est pas non plus une exception française. Par exemple, le Conseil national suédois pour la prévention de la délinquance a déjà rendu plusieurs rapports mettant en évidence un taux de criminalité plus fort parmi les étrangers que parmi les Suédois. Ou encore, toujours en Suède, l’université de Lund a récemment établi que 47% des personnes condamnées pour viol étaient nées à l’étranger. Au vu de tous ces éléments écrasants, le lien entre immigration et délinquance, s’il a longtemps été nié, ne fait aujourd’hui plus aucun doute. Ce constat est d’autant plus fâcheux qu’il existera également une différence fondamentale entre la criminalité d’origine autochtone et celle d’origine étrangère.

    Pour ce vaste sujet de l’immigration illégale, il faudra notamment commencer par rétablir le délit de séjour irrégulier sur le territoire.

    Pierre-Marie Sève

    (…) Le Figaro via fdesouche