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insécurité - Page 2

  • Les religieuses de la Fraternité apostolique bénédictine fuient le centre ville de Nantes en raison de l’insécurité

    Publié par Guy de Laferrière le 02 mars 2023

    Les religieuses de la Fraternité apostolique bénédictine fuient le centre ville de Nantes en raison de l’insécurité

    Elles ont annoncé leur départ de la paroisse Notre-Dame de Nantes, où elles étaient accueillis depuis plus de huit ans.

    Elles témoignent de l’impossibilité d’exercer leur mission dans des conditions sereines, exemple à l’appui :

    « Mardi dernier encore , lors de mon enseignement à l’église, nous avons dû solliciter l’auditoire pour faire sortir de la rue une personne qui était entrée en état d’ébriété. Et ça sentait le cannabis devant l’église. C’est une triste réalité de notre quotidien.”

    “Nous ne sommes pas des « franciscains du Bronx » et nous ne sommes pas censés être des agents de sécurité, bien que nous ayons pris quelques leçons d’« autodéfense. Nous avons non seulement cherché des solutions, mais aussi agi de multiples façons pour essayer de temporiser et de réguler ces problèmes quotidiens. »

    « On dit ce qu’on voit. L’insécurité croissante est un fait. »

     

    Source : lesalonbeige

  • Sondage : près d’un Français sur deux ne se sent pas en sécurité dans les transports en commun

    Publié par Guy de Laferrière le 15 janvier 2023

    Près d’un Français sur deux éprouve un sentiment d’insécurité en montant dans un train ou un métro, selon un sondage CSA pour CNEWS* publié le 13 janvier. Rames bondées, retards quotidiens, couloirs non surveillés, agressions verbales et physiques courantes… Les usagers sont exténués. Si à l’échelle nationale, 46% des citoyens ne se sentent pas en sécurité dans les transports, le chiffre monte à 50% à Paris, où la qualité du service n’a eu de cesse de baisser ces dernières années.

    Toujours selon le sondage CSA, les femmes sont les plus sensibles à ces situations : 49% d’entre elles ne se sentent pas en sécurité contre 42% des hommes. Les jeunes quant à eux s’en sortent encore moins bien, 54% sont stressés à l’idée de prendre un métro, RER ou TER.

    Un chiffre relativement constant. Déjà en 2018, selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, 45% des usagers des transports en commun ne se sentaient pas en sécurité. Les femmes étaient déjà les plus touchées avec 51% d’entre elles concernées contre seulement 38% pour les hommes.

    *Sondage réalisé par questionnaire auto-administré, du 12 au 13 janvier 2023, sur un panel de 1.007 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

    Le Figaro via fdesouche

  • Insécurité dans les bus à Givors (69) : la direction d’un collège recrute des parents pour “faire la police” et sécuriser les trajets des élèves

    Publié par Guy de Laferrière le 27 décembre 2022

    Juste avant le début des vacances de Noël, plusieurs incidents ont à nouveau été recensés dans les bus de la ligne 81 desservant le collège Paul-Vallon sur le quartier de Bans. La direction du groupe scolaire a demandé aux parents de venir renforcer la présence d’adultes dans les bus. « Ce n’est pas mon métier », rétorque un papa.

    (…)

    « Je paie un abonnement de bus pour que mon fils puisse se rendre au collège et en revenir sereinement », explique ce père de famille en colère qui préfère garder l’anonymat, de peur que son enfant soit victime de représailles. « Et à l’arrivée, chaque fois qu’on le peut avec ma femme, nous sommes amenés à le conduire, à aller le chercher au vu du climat tendu qui règne dans les transports en commun  ».

    Le Progrès via fdesouche

  • Insécurité à Roanne (42) : face à l’explosion de la délinquance, une brigade anti-criminalité va être mise en place en janvier 2023

    Publié par Guy de Laferrière le 20 décembre 2022

    Pour faire face à l’augmentation de la délinquance à Roanne, notamment depuis l’été 2022, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer, a annoncé le 18 novembre 2022 la reconstitution d’une Brigade anti-criminalité (BAC) à Roanne.  Elle avait été supprimée en 2019.

    La ville du nord de la Loire a notamment connu une augmentation des violences urbaines. En 2022 à Roanne, les atteintes volontaires à l’intégrité physique ont augmenté de 14,3 % et la délinquance sur la voie publique de 16 %, indique Catherine Seguin, préfète de la Loire.

    Cette nouvelle unité de la police nationale, spécialisée dans la recherche de la délinquance et les interventions à risque en zones urbaines, devrait être mise en place en janvier 2023.

    (…) Actu.fr

    Après plusieurs épisodes de violences dans l’agglomération de Roanne (Loire), le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé vendredi 18 novembre 2022 qu’une Brigade anticriminalité (BAC) allait être reconstituée dans cette ville dès le début de l’année prochaine. Des moyens supplémentaires avaient déjà été accordés aux forces de l’ordre après l’agression de pompiers cet été.

    La création de cette unité avait été demandée le lundi précédent par le député local Antoine Vermorel-Marques (LR), précise Le Pays .

    Cité par nos confrères, l’élu estimait que la ville était « désormais le terrain de jeu de nouveaux délinquants ». Ce à quoi le ministre de l’Intérieur a répondu qu’il avait effectivement constaté une « augmentation des faits de délinquance et plus récemment de violences urbaines » dans l’agglomération roannaise. Deux affirmations qui semblent faire référence à plusieurs faits divers survenus cet été.

    (…) Ouest-France

  • Insécurité à Pau (64) : dans le quartier Saragosse, les habitants sont à bout, certains témoignent anonymement par peur des représailles et disent ne plus sortir de chez eux le soir (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 01 novembre 2022

    Après une nuit de violences dimanche soir avenue du Loup, certains résidents ou habitués ont accepté de témoigner, anonymement par peur des représailles, de leur quotidien dans le quartier. Tapage, squat, trafic… certains ne sortent plus de chez eux le soir.

    C’est angoissant“, témoigne une habitante du quartier Saragosse, à Pau, encore traumatisée par l’agression de son mari il y a quatre ans. “On lui a tapé trois fois la tête par terre, brisé des côtes…” depuis, cette résidente ne sort “jamais le soir“. Pour elle, vivre dans le quartier est devenu compliqué. Mais elle y reste, parce qu’il est “trop compliqué de déménager et je ne suis pas en état de le faire“. Après les incendies de deux voitures, des poubelles, et la dégradation de vitrines du quartier dans la nuit de dimanche 30 à lundi 31 octobre, ils sont plusieurs à témoigner de leurs craintes, leur exaspération ou leur sentiment d’être abandonné

    C’est souvent en fin de journée que des jeunes se retrouvent en groupe, en bas des immeubles. On se sent menacés, ils peuvent être un peu agressifs parce que souvent lorsqu’on passe, on les dérange dans leur trafic, raconte un autre habitué du quartier. Des portes d’immeubles ont été vandalisées pour qu’on puisse rentrer facilement, ça a été des squats dans les cages d’escaliers ou les couloirs… et maintenant qu’on est passés à l’heure d’hiver, cela risque de commencer encore plus tôt“. 

    Quand la police arrive, tout le monde s’en va“, poursuit une autre. La police a en effet, depuis deux mois, multiplié les contrôles dans le quartier pour démanteler le trafic de drogue.

    (…) Selon une autre habitante de Saragosse, “c’est aux personnalités politiques d’agir. Ils connaissent tous le problème et c’est une question de politique de la ville. Nous ce qu’on veut c’est vivre bien, on est pour la plupart des smicards, on paye notre taxe foncière, le syndic, nos impôts. Il faudrait qu’on nous considère un peu, c’est une honte !“, s’emporte-t-elle. 

    (…) France Bleu via fdesouche