GJN1

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

insee

  • Recensement des logements « sous-occupés »

    Publié par Guy Jovelin le 10 juillet 2025

    518124513_1383988656217826_6466755768990310728_n.jpg

     

    L'INSEE vient de publier une étude recensant les logements « sous-occupés » en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.
    C'est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique : fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l'ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons « trop confortablement ».
    On nous dit que c’est pour « optimiser l’usage du parc immobilier ». En novlangue, cela signifie : rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la « sous-occupation » pour mieux financer leur grande lubie : l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs : derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le grand remplacement foncier.
    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami ? Quelle indécence ! Une pièce vide ? Une trahison républicaine !
    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure : leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.
     
    Thomas Joly - Président du Parti de la France
  • Le grand remplacement n’existe pas… mais selon l’INSEE l’immigration représente plus de 19 millions de personnes

    Publié par Guy de Laferrière le 31 mars 2023

    Le grand remplacement n’existe pas… mais selon l’INSEE l’immigration représente plus de 19 millions de personnes

    Selon les derniers chiffres de l’Insee, la population française compte désormais 10,3 % d’immigrés. Sur trois générations, l’immigration représente plus de 19 millions de personnes.

    En 2021, 7,0 millions d’ vivent en France, soit 10,3 % de la population totale. 2,5 millions d’immigrés, soit 36 % d’entre eux, ont acquis la nationalité française. La population  vivant en France s’élève à 5,2 millions de personnes, soit 7,7 % de la population totale. Elle se compose de 4,5 millions d’immigrés n’ayant pas acquis la nationalité française et de près de 0,8 million de personnes nées en France de nationalité étrangère. Par ailleurs, 1,7 million de personnes sont nées de nationalité française à l’étranger. Au total, 8,7 millions de personnes vivant en France sont nées à l’étranger, soit 12,8 % de la population.

     

     

    Source : lesalonbeige

  • Nucléaire : Les arrêts de réacteurs auraient coûté 0,4 point de PIB à la France selon l’INSEE, soit 10 milliards d’euros environ

    Publié par Guy de Laferrière le 16 décembre 2022

  • Croissance : selon l’INSEE, l’économie française devrait stagner cet automne, de « lourdes menaces » pèsent sur l’Europe en cas de difficultés d’approvisionnement en énergie et d’arrêts de production

    Publié par Guy Jovelin le 06 octobre 2022

    Dans sa note de conjoncture, l’Institut national de la statistique a maintenu sa prévision de croissance de 2,6 % en 2022 pour la France, mais n’exclut pas un repli de l’activité au quatrième trimestre en cas de difficultés d’approvisionnement en énergie et d’arrêts de production. Le produit intérieur brut (PIB) français devrait stagner cet automne, mais les craintes sur l’approvisionnement en énergie et l’inflation élevée font peser de « lourdes menaces » sur la croissance en Europe, a indiqué jeudi l’Insee.

    L’Insee base sa prévision sur une croissance modeste au troisième trimestre (+0,2 %, comme annoncé dans le point de conjoncture de septembre) après un second trimestre dynamique (+0,5 %). L’incertitude plane sur les trois derniers mois de l’année en raison d’un « scenario international qui s’assombrit », a déclaré jeudi Julien Pouget, chef du département de la conjoncture de l’Insee.

     « Ralentissement du commerce international d’ici la fin de l’année, l’inflation qui reste élevée, des inquiétudes spécifiques à l’Europe sur les approvisionnements énergétiques, un resserrement des politiques monétaires en toile de fond avec une volatilité accrue sur les marchés… »

    L’inflation, contenue en septembre (5,6 % sur un an) notamment grâce à la remise à la pompe, devrait diminuer légèrement en octobre puis « repartirait à la hausse » en novembre avec la baisse de la ristourne sur les carburants, pour atteindre 6,4 % sur un an en décembre (contre 6,6 % prévu précédemment). […]

    Le Télégramme via fdesouche

  • En 2019-2020, en France, 29,6% des 0-4 ans sont d’origine extra-européenne sur trois générations contre 7,6% des 60-64 ans et 3,1% des personnes âgées de +80 ans (Étude INSEE)

    Publié par Guy Jovelin le 16 août 2022

    Jeanne 16/08/2022 à 10h34

    Cliquez pour agrandir

    En 2019-2020, parmi les personnes vivant en logement ordinaire en France métropolitaine, 9 % sont immigrées, 12 % sont descendantes d’immigrés de 2e génération et, parmi celles de moins de 60 ans, 10 % sont descendantes d’immigrés de 3e génération. Le profil migratoire de la population reflète avec décalage les flux d’immigration successifs. Parmi les descendants d’immigrés de 2e génération, les plus jeunes sont majoritairement originaires d’Afrique, alors que les plus âgés sont originaires d’Europe.

    INSEE / Donnés (xlsx)