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macron - Page 17

  • Jérémy Ferrari : « Macron et son gouvernement on en a marre ! »

    Publié par Guy Jovelin le 29 octobre 2022

    L’humoriste J. Ferrari n’a toujours pas sa langue dans sa poche quand il s’agit de parler de l’actualité.

    Macron et son gouvernement en prenne encore pour leur grade dans la mauvaise gestion de la crise du covid-19 et plus largement dans la gestion de la France !

     
  • Le discours inquiétant d’Emmanuel Macron au sommet interreligieux de Sant’Egidio

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2022

    Auteur : 

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    Présent en Italie la veille de son audience papale, Emmanuel Macron a assisté en compagnie d’autres chefs d’état à l’ouverture du sommet annuel pour la paix et le dialogue interreligieux organisé par l’ONG nommée la Communauté de Sant’Egidio. Lors de ce sommet dans la droite ligne de la rencontre interreligieuse d’Assise lancée par Jean-Paul II en 1986, et qui sera clôturé le mardi 25 Octobre le Pape François, se sont retrouvés des religieux catholiques, des protestants, des rabbins, des représentants musulmans ou encore des bouddhistes.

    Le fondateur de l’ONG, Andrea Riccardi, vient de publier un livre L’Église brûle (Éditions du Cerf, septembre 2022) où il encense le discours qu’Emmanuel Macron a tenu en 2018 au Collège des Bernardins, comprenant ses paroles comme un souffle spirituel, une « main tendue » par le président français vers les catholiques. Une chose est sûre, Monsieur Riccardi ne vit pas en France mais probablement… sur une autre planète.

    Discours du président français sur les origines de la guerre

    Lors de son discours d’ouverture du sommet interreligieux, le chef d’Etat français était invité par Andrea Riccardi à s’exprimer sur la paix. Qu’a-t-il dit ?

    D’abord, ayant Vladimir Poutine en ligne de mire, il a essentiellement parlé de la guerre en Ukraine évoquant au passage les conflits actuels en Arménie et en Afrique.

    Adulateur patenté du grand mélange mondial racial, religieux et culturel, il a estimé que la guerre russo-ukrainienne est « le fruit d’un nationalisme exacerbé, entretenu par le pouvoir russe qui s’est nourri des frustrations et de la dislocation de l’empire russe », portant un « un projet impérialiste ».

    Généralisant il a déploré que « les ferments de la guerre » sont « les nationalismes fermés, engendrant le rejet de l’autre, et les rêves de pureté, ethnique et religieuse, qui parcourent nos sociétés et conduisent à revenir à une vérité unique ».

    Ah voilà le grand ennemi du président révolutionnaire : le nationalisme, la bête noire, j’ai nommé : l’instinct de survie de tous les peuples de la terre ! S’il n’avance pas dans un char d’assaut, il fait la guerre aux peuple français et occidentaux (une pensée pour la Hongrie qui rejette l’impérialisme arc-en-ciel de l’UE), qui devraient s’excuser, s’effacer devant les cultures non européennes et non chrétiennes. Il est le défenseur du mondialisme, idéologie de destruction de la nature humaine même, spécialement des Européens, dans tout ce qui peut définir l’individu : sa terre, son identité, sa religion, sa culture, sa langue, son ethnie, jusqu’à son sexe biologique.

    Une politique macronienne de la religion sur le temps long

    « Si la parole politique peut beaucoup, elle est touchée par la défiance. Ni les lois, ni les décrets, ni les décisions politiques ne suffisent. Les âmes des peuples ne s’administrent pas. Les religions construisent la trame d’une société et se situent dans le temps long. »

    Qu’est-ce à dire ? Que les décisions politiques ne suffisent pas pour faire plier le peuple français ni les Européens dans le carcan mondialiste ! Un autre dissolvant des nations, un autre outil plus puissant est apparemment nécessaire : les religions. Pour lui elles sont « le don de sagesse, d’engagement et de liberté ; elles ont un rôle de résistance face à la folie des temps ». Comprenez : les religions dénaturées qui doivent abandonner tous leurs principes fondateurs pour embrasser le dogme mondialisme sans frontière, égalitariste, transsexualliste, et qui doivent par esprit de tolérance et d’amour, lutter contre toute opinion divergente, toute critique du brassage multidisciplinaire qui se veut syncrétisme, ou même tout souvenir d’un passé glorieux qui s’appelle la Tradition.

    Pour lui les religions signifient « l’enracinement et le salut », pour « défendre la dignité de chacun »…

    Hors de l’Eglise point de salut ! Le dogme conciliaire qui affirme qu’il y a des éléments de salut dans toutes les religions trouve auprès du président humaniste un gourou.

    Or il combat tout ce que la religion catholique suppose : enracinement et salut. Nous n’avons en effet aucun droit à l’enracinement dans notre propre pays quand toutes les lois sont faites pour favoriser l’enracinement des nouveaux venus (la fameuse discrimination positive) et nous enlever de bout en bout notre héritage par des droits de successions colossaux, des taxes et des impôts qui se multiplient, l’élimination programmée de nos traditions et de notre culture. Notre droit invincible au salut n’est pas non plus respecté car les lois légalisant le meurtre d’enfants à naître, la débauche publique, la corruption et le vice, bref l’immoralité généralisée, encouragée et bien représentée par les tenants du système, constituent des entraves omniprésentes au salut des âmes.

    Répulsion incoercible du chef de l’état pour la pureté

    Dans son discours il indique « Ce devoir de résistance des religions (…) est celui qui consiste à défendre la dignité de chacun, à ne jamais céder à la pulsion de pureté que d’aucuns voudraient convoquer »,

    Qu’est-ce donc qu’une « pulsion de pureté » ? Car ce sont là des termes parfaitement antinomiques ! La pureté est l’antithèse de la pulsion car elle est justement la vertu qui en préserve, procédant des autres vertus de pauvreté, de chasteté, de tempérance et de détachement.

    C’est d’ailleurs tout ce que les gouvernements se sont employés à nous enlever afin de corrompre la société, y compris les enfants dont ils volent l’innocence par leurs décisions d’imposer l’éducation sexuelle dès la maternelle, les programmes télé indécents et les publicités obscènes ! Le but à atteindre paraît sinistre.

    La pureté, c’est exactement tout ce à quoi nous aspirons ! Pureté du Cœur Immaculé de Marie, pureté du regard, de l’intention, pureté de l’amitié, de l’amour, pureté d’un lac de montagne, pureté d’un parfum de rose ancienne, pureté d’un diamant, pureté de la langue française, pureté du chant du violon au sein d’un orchestre symphonique, pureté d’une bouffée d’air frais, pureté des mots d’enfants, pureté d’un art, d’un savoir-faire… C’est elle, la pureté qui garantit une transmission religieuse, culturelle et génétique intacte. Elle est une vertu magnifique, elle est le droit de chacun, elle est même pour les générations futures, notre devoir en tant qu’idéal à l’échelle individuelle et collective.

    S’il fallait le confirmer, Emmanuel Macron mise gros sur les représentants des cultes pour atteindre ses objectifs :

    « Il y a un projet humaniste possible. Et pour ce projet qui est à réinventer, les religions, les courants spirituels et philosophiques ont leur rôle à jouer. »

    Il est certain que dans ces conditions, le Pape François qui jouit d’un prestige universel et d’une influence internationale en tant que figure d’autorité, est l’allié souhaité numéro 1 des destructeurs des nations pour faire accepter aux populations leur projet sous couvert de validation spirituelle. Car si l’Eglise est une, sainte, catholique et apostolique, les hommes qui la servent peuvent être des loups déguisés en agneau.

     

    Source : medias-presse.info

  • Emmanuel Macron et le Pape François : alliance contre nature ? Pas sûr !

    Publié par Guy Jovelin le 27 octobre 2022

    Auteur : 

    VATICAN MEDIA

    Après deux précédents entretiens en juin 2018 et en novembre 2021, Emmanuel Macron a rencontré le Pape François pour la troisième fois lors d’une audience privée ce Lundi 24 octobre. Les thématiques abordées concernaient la guerre en Ukraine où le Pape comme le président souhaitent jouer un rôle-clé dans l’issue du conflit, ainsi que le réchauffement climatique, l’euthanasie et l’accueil des migrants.

    Œuvrer ensemble pour la paix

    Tel est l’objectif de cette rencontre, comme en témoigne le traditionnel échange de cadeaux pour le moins symboliques.

    Le Pape François a offert à Emmanuel Macron une médaille de bronze représentant la place Saint-Pierre et la colonnade de Bernin, en mémoire du Pape Alexandre VII qui posa la première pierre du bras gauche de la colonnade en 1657. En effet, depuis son élection il se veut être un « bâtisseur de ponts au nom de la fraternité » dixit Vatican News. Il lui a aussi remis son dernier Message pour la paix et le Document sur la Fraternité humaine de 2019.

    Le président a quant à lui remis au souverain pontife la première édition en français du « Traité pour la paix perpétuelle » du philosophe allemand Emmanuel Kant, publiée en 1795.


    Photo Vatican

    Un geste qui pourrait sembler compréhensible de prime abord : quoi de plus rassurant qu’une paix perpétuelle ? Or le philosophe ne traite évidemment pas de la Paix de Jésus-Christ, seule véritable paix de l’âme, mais il donne le plan de ce que doit être la future République Universelle voulue par la franc-maçonnerie. On apprend notamment que la deuxième partie de l’ouvrage fait état de trois principes nécessaires à une paix définitive entre Etats, que rien ne viendrait troubler pas mêmes les révoltes populaires légitimes : la constitution de chaque Etat doit être républicaine, le droit individuel doit être fondé sur le fédéralisme d’Etats libres et enfin, le droit cosmopolitique doit se restreindre aux conditions de l’hospitalité universelle, ce qui est inconcevable vu les millions d’immigrés qui envisagent d’arriver à nos portes. Bref, un projet de gouvernance mondiale républicaine où chaque Etat doit accueillir tous les citoyens du monde sans restriction.

    La question de l’euthanasie sur la table

    Ce que les journaux bienpensants appellent pudiquement « fin de vie » – reprenant les éléments de langage de l’Etat qui font de la mort d’une personne donnée par un tiers, une « aide active à mourir » – a été discutée par les deux chefs d’état, sans que soit communiqué le résultat final de cet échange.

    Ça urge ! Emmanuel Macron désire au plus vite rendre légale la mort programmée des citoyens français par l’inscription du « droit à l’euthanasie » dans la loi française. Une convention citoyenne est prévue en 2023, comme si le nombre pouvait déterminer ce qui est bien ou mal et donc ce qui peut être autorisé et ce qui doit être interdit.

    Le Pape François avait marqué son opposition à ce projet devant une délégation d’élus français le Vendredi 21 Octobre : « Si on tue avec des justifications, on finira par tuer de plus en plus ». « On ne peut demander aux soignants de tuer leurs patients ». Les soignants sont bien placés pour dire que ce sont les souffrances qui peuvent conduire les patients à vouloir en finir. Or dès lors que la douleur est soulagée, ils ne demandent qu’à vivre ! Le Vatican a rappelé que l’euthanasie est un « crime contre la vie humaine », que le suicide assisté est un « grave péché », et que ceux qui y recourent ne peuvent pas recevoir les sacrements. Une occasion manquée de parler de la question essentielle du salut de l’âme pour le patient comme pour les potentiels « soignants tueurs ».

    Quelques jours après l’entretien, Emmanuel Macron qui tutoie le chef du Saint-Siège et lui passe volontiers la main dans le dos tout sourire, a livré quelques détails : « J’en ai parlé d’initiative au pape, en lui disant que je n’aimais pas le mot d’euthanasie » car « la mort, c’est un moment de vie, pas un acte technique ». Un euphémisme de plus pour tenter de faire accepter l’inacceptable.

    Le président chanoine honoraire rencontre le chapitre de la basilique du Latran

    En fin de journée, il a rencontré le chapitre du Latran à Rome, dans le chœur de la basilique. Il a rappelé ce qu’il estime être « le lien historique et spirituel » qui unit les présidents français au Latran, démentant par la même les déclarations embarrassées de l’Elysée sur l’absence de dimension spirituelle du titre honorifique de chanoine honoraire de l’archibasilique du Latran donné aux présidents français.

    E. Macron a déclaré : « des fils invisibles nous lient ». « Je ne vous oublie pas, vous les chanoines, et je vous porte toujours dans mon cœur. Je vous renouvelle mes sentiments de loyauté et d’amitié. L’époque dans laquelle nous vivons n’est pas simple… Je vous demande de prier pour nous, dirigeants du monde, d’intercéder et de prier pour nous, car c’est quelque chose qui me tient à cœur ».

    La loyauté suppose qu’Emmanuel Macron a pris des engagements envers Rome, lesquels ne sont pas connus. Elle suppose également une réciprocité. C’est pourquoi il attend évidemment de l’Eglise bergoglienne qu’elle soit à ses côtés dans le combat idéologique « pour la paix », par la lutte active contre les obstacles au nouvel ordre mondial(iste) que sont les nationalismes, les barrières morales, la recherche de pureté et le traditionalisme, véritable épine dans le pied des deux colosses aux pieds d’argile…

    Attendons-nous donc à des mesures envers les récalcitrants latinistes et autres férus du catéchisme du Concile de Trente en provenance de la République comme de Rome : l’un accuse les Français attachés à leur identité d’être des séparatistes mettant en danger l’unité de l’Etat, l’autre réprouve les traditionnalistes attachés à la doctrine catholique et les accuse de « donner un coup de canif » dans l’unité de l’Eglise. La condition de leur paix est visiblement leur point commun : faire table rase du passé.

    « Quand les hommes diront : « Paix et sûreté ! » c’est alors qu’une ruine soudaine fondra sur eux comme la douleur sur la femme qui doit enfanter, et ils n’y échapperont point. »

    1 Thessaloniciens, 5, 3

     

    Source : medias-presse.info

     

  • Un pilier de LR anonyme explique le soutien de Sarkozy à Macron: «On a mis Guéant en prison. Ça lui fait peur. Il se dit que dans le doute, il vaut mieux être sympa avec le pouvoir»

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2022

    La dame doit avoir environ 70 ans. Ce 1er avril, elle tend à Aurélien Pradié un sac de courses qui pèse lourd. «Vous rendrez ça à l’autre !» lance-t-elle au secrétaire général du parti Les Républicains. «Ce sont les livres de Sarko que mes copines et moi on a achetés. Vous les lui rendrez !» Nous sommes en pleine campagne présidentielle et Pradié repart de Royan (Charente-Maritime), où il vient de tenir une réunion publique, avec le sac sous le bras et armé d’une solide conviction : en s’abstenant de tout soutien vis-à-vis de la candidate LR Valérie Pécresse, et en faisant discrètement connaître son appui à Emmanuel Macron, «l’autre» a pris l’initiative d’un douloureux divorce.

    […]

    Tous savent que la dame au sac de courses est loin d’être un cas isolé. Durant la campagne présidentielle, les standardistes du siège de LR, rue de Vaugirard à Paris, ont dû traiter des dizaines – au bas mot – d’appels courroucés. «Elles ont vraiment souffert», témoigne un pilier du QG, dont les murs ont été délestés de quelques photos de l’ancien chef d’Etat. […]

    En réalité, une explication à cette proximité recherchée par Nicolas Sarkozy circule si intensément au sein de la droite qu’il est impossible de ne pas l’exposer. Personne n’assume de la formuler à voix haute, car elle concerne la partie la plus gênante du sarkozysme : les ennuis judiciaires en série de l’ex-chef de l’Etat. En mars 2020, ce dernier a été condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis pour «corruption» et «trafic d’influences» dans le dossier dit «des écoutes». Le procès en appel doit se tenir du 28 novembre au 14 décembre. Et il y a tant d’autres affaires. «La Libye, Bismuth, Bygmalion, c’est gros, explique un pilier de LR. On ne sait pas ce qui peut se passer. On a tout de même mis l’ancien ministre de l’Intérieur [Claude Guéant, ndlr] en prison. Ça lui fait peur. Il se dit que dans le doute, il vaut mieux être sympa avec le pouvoir.»

    Un macroniste, observateur privilégié de ce manège : «C’est sûr que quand il voit son pote Patrick [Balkany] qu’il pensait intouchable, quasiment mourir en prison, il se dit que ça peut lui arriver. Sarkozy a une vision tellement “république bananière” de la justice qu’il pense que Macron va lui sauver la mise.» Celui qui parle ici est un interlocuteur très régulier de Nicolas Sarkozy, un connaisseur de son état d’esprit : «Oui, il a ses affaires judiciaires et il est emmerdé par toutes ses histoires. Donc il se dit que c’est toujours ça de pris d’avoir Macron de son côté. L’air de rien, même si les juges sont indépendants, le parquet ne l’est pas.» […]

    Libération via fdesouche

  • Macron l’électricien

    Publié par Guy Jovelin le 23 octobre 2022

    Emmanuel Macron, fidèle à la tradition de la démagogie politicienne, annonce volontiers des « cadeaux » avant de se rendre quelque part.

    Tout récemment, invité au Mondial de l’Automobile, il n’a pas dérogé à cette lubie.

    Il serait fastidieux d’énumérer tous les détails de ces « cadeaux » à la filière automobile – dont les médias de propagande se sont complaisamment fait l’écho.

    Mais, sans entrer dans le détail, on peut dire que le « quoi qu’il en coûte » prospère.

    M. Macron, en zélé serviteur de la commission européenne, s’est engagé à produire 100 % de voitures électriques d’ici 2035.

    Passons sur le fait que la voiture électrique n’est pas nécessairement beaucoup plus « propre » que la voiture thermique (si on ne se contente pas, comme le fait la caste jacassante, de comparer la circulation, mais que l’on intègre la fabrication, le transport et la destruction).

    Ce qui me surprend le plus, c’est cet acharnement à prétendre que nous roulerons tous à l’électrique en 2035, alors même que l’on nous annonce des coupures d’électricité en 2022, quand le parc électrique est largement inférieur à 10 %.

    On a l’impression que, pour M. Macron (et les Khmers verts), l’électricité pousse sur les arbres !

    C’était bien joli de démanteler notre filière nucléaire, mais maintenant, comment fait-on ? Puisqu’on ne peut plus demander à Vladimir Poutine de nous « sauver » au pied levé, il va falloir demander du gaz au FLN algérien. Pensez-vous vraiment que cela n’aura pas de conséquences politiques et géopolitiques ?

    Par ailleurs, notre génial chef d’État nous assure qu’outre son objectif de 100 % électrique, il voudrait ajouter un objectif de filière électrique 100 % française. Oui, oui, celui-là même qui a détruit ce qui restait de l’industrie française nous annonce que toutes les voitures électriques (c’est-à-dire, si vous avez bien suivi, toutes les voitures tout court !) seront produites en France.

    C’est vraiment se moquer du monde. Même en y investissant des dizaines de milliards que nous n’avons pas, ce serait à peu près impossible. Accessoirement, c’est interdit par les traités européens qu’il ne cesse de louer.

    Mais, comme chacun sait, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent.

    En bon technocrate, M. Macron doit croire que, puisqu’il l’a décidé, cela sera – il ne se prend plus pour Jupiter, mais carrément pour Dieu le Père !

    Quand donc aurons-nous enfin des hommes d’État sérieux à la tête de notre pauvre France ?