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police - Page 2

  • Lyon : un octogénaire meurt renversé par une voiture qui fuyait la police

    Publié par Guy de Laferrière le 05 mars 2023

    On en sait davantage sur le tragique accident qui a coûté la vie à un piéton âgé de 86 ans vendredi 3 mars au soir dans le 8e  arrondissement de Lyon au niveau de l’hôpital Saint-Jean de Dieu. Ce jour-là, route de Vienne, un peu avant 21 heures, un véhicule de type SUV a fauché l’homme, qui est décédé sur place.

    Selon nos informations, la voiture, une Peugeot 2008, fuyait à vive allure un contrôle de police qui avait débuté sur le boulevard périphérique. Il s’agissait d’un véhicule loué en autopartage. Après avoir percuté le piéton, la voiture a rapidement été retrouvée, mais vide, sur le quartier Moulin à Vent, tout proche de la route de Vienne. Grâce à une surveillance policière très vite mise en place, trois individus ont été interpellés. Deux à proximité du véhicule, le troisième était revenu l’ouvrir. Ils ont été placés en garde à vue.

    Le Progrès via fdesouche

  • Cenon (33) : la police lance un avis de recherche pour retrouver un adolescent héroïque qui a empêché le viol d’une collégienne par un Algérien, déjà condamné onze fois, qui venait de purger une peine de réclusion criminelle (MàJ)

    Publié par Guy de Laferrière le 21 février 2023

    21/02/23

    6/02/23

    Déjà condamné onze fois, un individu a tenté de violer à Cenon (Gironde) une collégienne de 13 ans qui en a été empêché par un adolescent. à Cenon a été placé en détention provisoire dimanche. Il a blessé trois policiers durant sa garde à vue.

    Sans profession, au RSA et fumeur de cannabis, le suspect, né en Algérie, nie les faits et a prétendu durant ses auditions «ne se souvenir de rien». Les témoins également entendus confirment pourtant le déroulé de l’agression.

    Vendredi, une collégienne de 13 ans marchait tranquillement dans la rue à Cenon (Gironde) en téléphonant à sa mère quand un homme «est arrivé en courant vers elle, l’a attrapée, poussée et fait chuter avant de la tirer par les cheveux en lui passant la main dans le pantalon», décrit Frédérique Porterie, procureur de la République à Bordeaux. Criant et se débattant, la jeune fille a été prise en tenaille par cet individu de 49 ans, qui s’est assis à califourchon sur elle en ouvrant sa braguette et a tenté de la forcer à lui faire une fellation avant de l’étrangler.

    Elle a pu s’enfuir grâce à l’intervention d’un adolescent de son âge. Repoussant les assauts de l’agresseur à plusieurs reprises, il a permis à des témoins d’encercler l’individu jusqu’à l’arrivée des policiers prévenus à 17h50. Le jeune homme est ensuite resté auprès de la victime pour la protéger de cet homme qui revenait incessamment à la charge.

    Interpellé samedi et auditionné par la direction départementale de la sécurité publique (DDSP), qui a été saisie de l’enquête en flagrance, le repris de justice, déjà condamné onze fois, dont une en 2019 pour violences volontaires sur personne dépositaire de l’autorité publique, venait de purger une peine de réclusion criminelle prononcée en 2012 pour des faits de violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner.

    Le Figaro via fdesouche

  • Adolescents cambrioleurs : de plus en plus jeunes et nombreux, ils ne craignent ni la justice, ni la police

    Publié par Guy de Laferrière le 14 février 2023

     

    Source : fdesouche

  • Royaume-Uni : la police de Londres recrute même des candidats analphabètes en anglais pour accroître plus encore sa diversité ; objectif 40% de non-Blancs

    Publié par Guy de Laferrière le 27 janvier 2023

    Des candidats à la police qui savent à peine écrire en anglais sont acceptés par la Met dans le but d’améliorer la diversité, a averti un membre de l’Inspection de la police de Sa Majesté.

    Le HMI Matt Parr a déclaré que s’il est tout à fait “noble et juste” que Scotland Yard cherche à être plus représentatif de la communauté qu’il surveille, cela ne doit pas se faire au détriment des niveaux d’exigence.

    En 2021, Lady Cressida Dick, alors commissaire du Met, avait déclaré que la police aspirait à recruter 40 % de ses agents parmi les communautés noires et les minorités ethniques d’ici 2023.

    Mais malgré le programme du gouvernement visant à augmenter le nombre d’officiers dans tout le pays, qui a donné lieu à une importante campagne de recrutement dans les services de police, le nombre d’officiers issus de minorités ethniques à Londres reste inférieur à 17 %.

    […]

    Un examen du recrutement et de la vérification des antécédents par l’Inspection de Sa Majesté des services de police, d’incendie et de secours (HMICFRS) publié en novembre a averti que jusqu’à dix pour cent des officiers de police n’auraient jamais dû être admis dans la police.

    […] les jeunes hommes noirs avaient tendance à avoir plus de démêlés avec le système de justice pénale à Londres que tout autre groupe, mais que cela ne signifiait pas qu’ils devaient être exclus de la police.

     

    […]

    “Tout le monde essaie de faire le bien et tous agissent pour des motifs nobles, mais le résultat est qu’ils prennent trop de risques, là où ils prennent des risques – et je soutiens cette prise de risques – ils ne maîtrisent pas correctement les risques”.

    David Spencer, un ancien officier de la Met, qui est aujourd’hui responsable de la criminalité et de la justice au sein du groupe de réflexion Policy Exchange, a convenu que la pression exercée pour atteindre les objectifs d’amélioration et de diversité augmentait le risque d’abaissement des exigences.

    Il a déclaré : “Il y a une tension entre le volume, la qualité et la diversité et quelque chose doit céder. Quelqu’un doit se demander quelle est la plus importante de ces trois choses et il faut être très prudent car une fois que vous avez recruté quelqu’un, il est possible qu’il soit là pour les 30 prochaines années. […]

    The Daily Telegraph via fdesouche

  • Des robots armés pour la police ? On en discute jusqu’à Davos…

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    Auteur : 

    L’édition 2023 du Forum économique mondial de Davos s’achève ce vendredi. Parmi les nombreux thèmes abordés, il a beaucoup été question de l’intelligence artificielle et de la place des nouvelles technologies connectées dans le monde de demain. Le Forum économique mondial, qui compte en ses rangs de nombreux patrons de sociétés de ce secteur, se montre naturellement très favorable à l’essor de l’intelligence artificielle, du tout connecté et du transhumanisme qui en est un aboutissement. Pour faire bonne figure, les débats et discours du Forum économique mondial sur le sujet s’accompagnent de quelques mots sur les aspects éthiques liés au développement de l’intelligence artificielle. Ainsi, il a rapidement été rappelé qu’en novembre 2022 la police de San Francisco se préparait à incorporer des robots maniant des armes potentiellement mortelles. Devant le tollé suscité parmi la population, la ville de San Francisco a renoncé à ses robots policiers armés s’est-on contenté de noter à Davos.

    Le projet de la ville de San Francisco et le débat qu’il a suscité sont très révélateurs et méritent qu’on s’y attarde. La question posée est la suivante : peut-on laisser à des robots travaillant aux côtés des forces de l’ordre le soin de décider sur base d’algorithmes d’une intelligence artificielle l’utilisation d’une arme à feu ?

    L’idée que les robots soient légalement autorisés à tuer a entraîné une importante controverse il y a quelques semaines qu’il faut résumer aux lecteurs de Médias Presse Info.

    C’est en 2016 qu’un robot a été utilisé pour la première fois par les forces de l’ordre en tant que force meurtrière aux États-Unis. Le département de police de Dallas a utilisé un robot de déminage armé d’un engin explosif pour tuer un suspect qui avait tué cinq policiers.

    Paul Scharre, auteur du livre Army Of None: Autonomous Weapons And The Future Of War, a souligné la différence entre l’utilisation de robots armés par les forces militaires ou par les forces de police.  « Pour les militaires, ils sont utilisés au combat contre un ennemi et le but est de tuer l’ennemi. Ce n’est pas et ne devrait pas être le but des forces de police. Ils sont là pour protéger les citoyens, et il peut y avoir des situations où ils doivent utiliser une force mortelle, mais cela devrait être absolument un dernier recours. »

    « Une fois que vous avez autorisé ce type d’utilisation, il sera très difficile de revenir en arrière. »,  dit-il.

    Ryan Calo, spécialiste de la robotique, considère que l’idée de « robots tueurs » est une rampe de lancement pour une discussion plus large sur notre relation à la technologie et à l’Intelligence Artificielle. Et il se demande ce qui se passera si la technologie commet un « bug » et qu’un robot tue ou blesse accidentellement une personne. « Il deviendra très difficile de démêler qui est responsable. Est-ce que ce sont les personnes qui utilisent la technologie ? Est-ce que ce sont les personnes qui conçoivent la technologie ?« 

    Ryan Calo soulève une question supplémentaire : « Nous devons nous demander si nous voulons une société où la police tue des gens avec des robots ? C’est profondément déshumanisant. »

     

    Source : medias-presse.info