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police - Page 3

  • Des robots armés pour la police ? On en discute jusqu’à Davos…

    Publié par Guy de Laferrière le 23 janvier 2023

    Auteur : 

    L’édition 2023 du Forum économique mondial de Davos s’achève ce vendredi. Parmi les nombreux thèmes abordés, il a beaucoup été question de l’intelligence artificielle et de la place des nouvelles technologies connectées dans le monde de demain. Le Forum économique mondial, qui compte en ses rangs de nombreux patrons de sociétés de ce secteur, se montre naturellement très favorable à l’essor de l’intelligence artificielle, du tout connecté et du transhumanisme qui en est un aboutissement. Pour faire bonne figure, les débats et discours du Forum économique mondial sur le sujet s’accompagnent de quelques mots sur les aspects éthiques liés au développement de l’intelligence artificielle. Ainsi, il a rapidement été rappelé qu’en novembre 2022 la police de San Francisco se préparait à incorporer des robots maniant des armes potentiellement mortelles. Devant le tollé suscité parmi la population, la ville de San Francisco a renoncé à ses robots policiers armés s’est-on contenté de noter à Davos.

    Le projet de la ville de San Francisco et le débat qu’il a suscité sont très révélateurs et méritent qu’on s’y attarde. La question posée est la suivante : peut-on laisser à des robots travaillant aux côtés des forces de l’ordre le soin de décider sur base d’algorithmes d’une intelligence artificielle l’utilisation d’une arme à feu ?

    L’idée que les robots soient légalement autorisés à tuer a entraîné une importante controverse il y a quelques semaines qu’il faut résumer aux lecteurs de Médias Presse Info.

    C’est en 2016 qu’un robot a été utilisé pour la première fois par les forces de l’ordre en tant que force meurtrière aux États-Unis. Le département de police de Dallas a utilisé un robot de déminage armé d’un engin explosif pour tuer un suspect qui avait tué cinq policiers.

    Paul Scharre, auteur du livre Army Of None: Autonomous Weapons And The Future Of War, a souligné la différence entre l’utilisation de robots armés par les forces militaires ou par les forces de police.  « Pour les militaires, ils sont utilisés au combat contre un ennemi et le but est de tuer l’ennemi. Ce n’est pas et ne devrait pas être le but des forces de police. Ils sont là pour protéger les citoyens, et il peut y avoir des situations où ils doivent utiliser une force mortelle, mais cela devrait être absolument un dernier recours. »

    « Une fois que vous avez autorisé ce type d’utilisation, il sera très difficile de revenir en arrière. »,  dit-il.

    Ryan Calo, spécialiste de la robotique, considère que l’idée de « robots tueurs » est une rampe de lancement pour une discussion plus large sur notre relation à la technologie et à l’Intelligence Artificielle. Et il se demande ce qui se passera si la technologie commet un « bug » et qu’un robot tue ou blesse accidentellement une personne. « Il deviendra très difficile de démêler qui est responsable. Est-ce que ce sont les personnes qui utilisent la technologie ? Est-ce que ce sont les personnes qui conçoivent la technologie ?« 

    Ryan Calo soulève une question supplémentaire : « Nous devons nous demander si nous voulons une société où la police tue des gens avec des robots ? C’est profondément déshumanisant. »

     

    Source : medias-presse.info

  • Paris 18ème : des enfants escortés par la police pour se rendre à l’école à cause de la présence de dealers et de consommateurs de crack

    Publié par Guy de Laferrière le 07 décembre 2022

    Dans le nord de la capitale, la police municipale est contrainte d’escorter des enfants et leurs familles pour se rendre à l’école à cause de la présence de dealeurs et de consommateurs de crack sur leur chemin. Une situation « indigne » selon la mairie d’arrondissement.

    C’est un petit chemin situé le long du périphérique parisien, d’où surgissent deux familles avec cinq enfants en bas âge, bien emmitouflés pour résister aux premiers flocons de neige fondue. Il est 8h20, ce lundi matin, et dans leur sillage, trois policiers municipaux de la Ville de Paris les escortent sur le chemin de l’école maternelle Charles-Hermite, située dans le nord de la capitale (XVIIIe).

    Les familles accompagnées matin et soir

    Si cette mère de famille a besoin d’être rassurée, c’est que la situation s’est considérablement dégradée dans le quartier de la porte d’Aubervilliers, avec l’arrivée de nombreux consommateurs de crack« En général, ils sont entre 30 et 40 à se réunir sur l’allée Valentin-Abeille. Dès qu’ils nous voient arriver avec les familles, ils se dispersent, raconte ce policier municipal. Nous sommes là matin et soir pour accompagner les parents qui sont en retard et n’ont pas pu prendre les petits bus mis à leur disposition par la Ville. » Ce matin-là, en effet, une vingtaine de consommateurs se sont égayés dans le quartier quelques minutes avant le passage des policiers et des enfants… pour mieux revenir sur le site quelques minutes plus tard.

    « Depuis le démantèlement du camp de Forceval à la porte de la Villette (XIXe) , le 5 octobre, nous rencontrons un problème lié à la présence de dealers de crack, les fameux modous, qui attirent de nombreux consommateurs sur l’allée Valentin-Abeille. Ce petit chemin est un lieu à couvert et difficile d’accès pour les forces de l’ordre, c’est pourquoi malgré la présence importante de policiers et de CRS sur le secteur, il reste un noyau dur de consommateurs de drogue, décrypte Kevin Havet, adjoint à la sécurité de l’arrondissement. Nous avons donc décidé de mettre une escorte matin et soir à la disposition des familles et cela durera aussi longtemps que ce sera nécessaire. »

    (…) Le Parisien via fdesouche

  • Thaïlande : La police recherche et expulse les étrangers dont le visa est largement dépassé

    Publié par Guy de Laferrière le 27 novembre 2022

    (…)

    Un Chinois arrêté à Bangkok la semaine dernière a réussi à dépasser la durée de son visa en Thaïlande pendant une période impressionnante de sept ans (2662 jours).

    Hier (24 novembre), la police de l’immigration de la province de Surat Thani et la police provinciale de Koh Phangan ont fait le tour de l’île pour traquer les personnes qui dépassent la durée de validité de leur visa dans le royaume.

    Trois étrangers ont été arrêtés et placés en détention au poste de police de Koh Phangan.

    La police a arrêté Alexander M., de nationalité russe, pour avoir dépassé son visa de 29 jours, en le soupçonnant « d’être un étranger dont l’entrée autorisée dans le royaume a expiré ».

    La police a arrêté Ophélie J., de nationalité française, pour avoir dépassé la durée de validité de son visa de 93 jours, soupçonnée d’être « une étrangère dont l’autorisation d’entrée dans le royaume est épuisée ».

    (…)

    Thaiger via Toute la Thaïlande

  • Assa Traoré est intervenue à l’ONU pour dénigrer la France et la police française

    Publié par Guy de Laferrière le 18 novembre 2022

     
     
     
     
    Source : fdesouche

  • Suite à des menaces de mort sur sa famille, Olivier Marchal ne veut plus soutenir publiquement la police

    Publié par Guy de Laferrière le 03 novembre 2022

    Pour Olivier Marchal, la ligne blanche a été franchie… Le réalisateur du polar 36 quai des Orfèvres (2004) se refuse désormais à descendre dans l’arène pour défendre les policiers. Ses prises de position lui ont valu de lourds problèmes personnels, comme il le confie cette semaine dans les colonnes du magazine Voici. « J’ai toujours pris parti, mais, maintenant, je ne le fais plus parce que ce sont mes enfants qui sont menacés de mort », explique-t-il.

    « Quand j’ai pris parti pour les policiers, c’est allé très loin », poursuit-il, sans entrer dans les détails – Olivier Marchal est père de quatre enfants âgés de 13 à 28 ans. « Moi, j’ai fait ma vie, je suis allé au bout de mes rêves. C’est juste que j’ai des enfants et j’ai les jetons pour eux. »

    Il y a deux ans, le cinéaste publiait une tribune, « Larmes de flic », dans laquelle il dénonçait les attaques continuelles envers les policiers, « des types ordinaires, avec des salaires de merde, au service des citoyens, qui continuent de faire leur job dans des conditions lamentables ». Il critiquait notamment les artistes qui « vomissaient » ceux qu’ils « acclamaient » il y a peu encore « parce qu’ils avaient risqué ou donné leur vie pour protéger leur « vie de citoyen privilégié du terrorisme ».

    (…)

    Le Point via fdesouche