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police - Page 7

  • « Les gens comptent sur nous, pas sur la police » : en Afrique du Sud, 500 000 agents privés sont déployés sur le terrain

    Publié par Guy Jovelin le 09 juin 2021

    En Afrique du Sud, l’un des pays les plus violents au monde, 500 000 agents privés sont déployés sur le terrain, notamment dans les banlieues riches de la capitale économique.

    a nuit tombe sur un quartier cossu de Johannesburg et trois gardes armés jusqu’aux dents partent en patrouille. Un peu plus tôt, ils se retrouvaient pour revêtir l’uniforme, tester leurs fusils d’assaut… et prier. Après avoir détaillé les incidents des douze dernières heures, dans la salle de gym de la « caserne », le commandant interroge la relève, une dizaine de ninjas au garde-à-vous : « D’autres questions ? Alors on baisse la tête. » Casquettes retirées entre mains jointes. Amen.

    « Je prie aussi chaque matin », confie à l’AFP Forget Ndlovu. « Ce boulot est dangereux, tu ne sais jamais si tu vas rentrer à la maison. On aide les autres à avoir une meilleure vie », plaisante ce chef d’équipe de 46 ans, qui reconnaît être « nettement mieux payé » qu’un policier. D’ailleurs ici, dans les banlieues riches, « les gens comptent sur nous, pas sur la police », inefficace et gourmande en bakchichs, confie ce vétéran de Cortac, une entreprise de sécurité privée incontournable dans la mégalopole de 4,5 millions d’habitants. Les agents privés sont « bien plus nombreux à patrouiller la nuit que la police ».

    […]

     

    Le Monde via fdesouche

  • Lyon : un tag ciblant Eric Masson et la police du 8e arrondissement retrouvé ce lundi

    Publié par Guy Jovelin le 10 mai 2021

    Lyon : un tag ciblant Eric Masson et la police du 8e arrondissement retrouvé ce lundi

    Rue Professeur Ranvier dans le 8e arrondissement, on pouvait lire sur un mur : “Balle dans le front pour Eric Masson. Prochaine cible -> BST du 8eme”. L’auteur du message fait donc référence au policier tué à Avignon mercredi dernier lors d’une opération antistup, mais aussi à la brigade spécialisée de terrain du 8e arrondissement lyonnais, dépendante de la DDSP.

    www.lyonmag.com via fdesouche

  • Chronique du délitement

    Publié par Guy Jovelin le 03 mai 2021

    Chronique du délitement

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    Agressés par 200 personnes, les policiers ont réussi à s’enfuir :

    Tout a commencé lorsque deux équipages des brigades spécialisées de terrain (BST) de la police nationale contrôlent un individu vers 21h ce samedi 1er mai au niveau 29 avenue Léon-Blum, quartier des Tarterêts, à Corbeil-Essonnes. Les 2 équipages des BST étaient ensuite la cible d’un caillassage de la part d’un individu qui se trouvait au 27. Après avoir jeté plusieurs projectiles, l’individu était mis en fuite par les policiers.

    Mais la scène n’était pas passée inaperçue. Environ 200 personnes se trouvaient sur le stade de foot à côté où un match se déroulait. La foule s’est alors retournée contre les policiers qui venaient d’intervenir. Les 200 personnes hostiles caillassaient alors à leur tour les deux équipages. Les médiateurs présents sur place n’ont pas réussi à les raisonner.

    Au cours de cet affrontement, les policiers ont été la cible de tirs de mortiers, de jets de pierres et également d’un cocktail molotov. Les deux équipages se sont retrouvés encerclés par les mis en cause. Grâce à l’usage de leurs moyens de défense et en se repliant vers le parc Aimé-Césaire, ils ont réussi à quitter les lieux indemnes.

     

    Source : lesalonbeige

  • Aulnay-sous-Bois (93) : un accident provoqué par un chauffard tentant d’échapper à la police fait 2 morts et 2 blessés graves, tous de la même famille

    Publié par Guy Jovelin le 25 avril 2021

    L’impact a été si violent que la voiture des victimes a été sectionnée en deux. Un accident provoqué par un chauffard tentant d’échapper à la police a fait deux morts et deux blessés graves, tous de la même famille, dans la nuit de samedi à dimanche à Aulnay-sous-Bois. La conductrice, âgée de 36 ans, et son fils de trois ans sont décédés sur le coup. Le père de 39 ans et leur petite fille de 7 ans ont été transportés respectivement à l’hôpital de Beaujon (Clichy) et à l’hôpital Necker (Paris XVe), entre la vie et la mort. On ignorait ce dimanche après-midi l’évolution de leur état de santé.

    […]

    Le chauffard n’a pas été blessé et a tenté de prendre la fuite à pied après l’accident, avant d’être rattrapé par les policiers municipaux. Il a été placé en garde à vue. L’homme âgé d’une trentaine d’années et originaire de Paris avait consommé de l’alcool et du cannabis.

    Lors de la garde à vue, une analyse a permis d’établir que le chauffard, apparemment inconnu des services de police, roulait avec un taux d’alcool dans le sang de 0,86 mg/l. Selon nos informations, il faisait l’objet d’une fiche lui interdisant de quitter le territoire français. On n’en savait pas plus ce dimanche sur les raisons de cette obligation.

    Le Parisien / Le Dauphiné

     

  • En Estonie, la police humilie les opposants à la dictature sanitaire, allant jusqu’à faire déshabiller un homme âgé en pleine rue

    Publié par Guy Jovelin le 24 avril 2021

    Estonie – Une manifestation pacifique contre les verrouillages liés au COVID dans la capitale de l’Estonie en Europe de l’Est a été brisée par l’intimidation, l’humiliation et le mépris de la droit. Entre autres actions, la police estonienne a déshabillé un homme âgé jusqu’à ses sous-vêtements et l’a menacé de fouille anale pour avoir utilisé un seau comme un tambour pendant la manifestation. Les faits datent du dimanche 11 avril et n’ont pas été relayés par les médias du système.

    La police a interdit l’utilisation de panneaux et d’instruments. Les policiers ont été très agressifs et ont fait appliquer très strictement la règle de distance 2 + 2.

    La règle 2 + 2 est la formule locale de la distance sociale sous prétexte sanitaire. Les groupes ne peuvent être que de deux, et les deux du groupe de deux doivent être distants de 2 m. Non seulement l’État a déclaré que les protestations ne peuvent être faites qu’en nombre de dix personnes au maximum, mais celles qui y participent doivent également suivre la règle 2 + 2.

    Un autre homme – avec sa femme et sa fille dans un café en bas de la rue – a regardé la police armée entrer dans l’établissement. Ce témoin a raconté comment un policier a même tenté de tirer son enfant loin de sa femme par la force.

    Sur la place de la Liberté, Varro Vooglaid a vu les forces spéciales commencer à harceler et à humilier la population. «Ils harcelaient constamment les gens pour qu’ils s’écartent de 2 mètres, les bousculant avec violence et arrêtant toute personne exprimant son désaccord.» Vooglaid, avocat, est le fondateur de la Fondation estonienne de défense de la famille et de la tradition, une organisation engagée à préserver les valeurs chrétiennes, la famille et la liberté en Estonie.

    L’un des plus gros problèmes, a déclaré Vooglaid, est que la police ignore la loi. Ils disaient à tort aux gens qu’il était illégal de brandir des pancartes ou de jouer de la guitare dans la rue. Désormais, un nouveau projet de loi propose d’accorder à la police estonienne plus de pouvoir pour faire appliquer les restrictions relatives aux coronavirus. Répondant aux questions de médias polonais, Voolgaid a déclaré : « Les nouveaux pouvoirs concerneraient, par exemple, la possibilité d’engager des poursuites judiciaires contre des citoyens, pour ne pas avoir de masque sur le visage. De plus, les agents seraient en mesure de punir plus facilement et plus rapidement ceux qui enfreignent les restrictions relatives aux coronavirus. »

    En raison du recours excessif à la force par la police dimanche, la direction de la police a fait retirer les noms des policiers de leurs uniformes.

    L’ancienne ministre des Affaires intérieures, Marte Helme, a déclaré publiquement: « L’État policier est ici .»

    Non seulement les policiers agissent en dehors de la loi, mais le nouveau projet de loi leur permettrait de le faire dans un anonymat presque complet.

    Le Premier ministre Kaja Kallas nie qu’un usage excessif du pouvoir ait eu lieu. «Lorsque des règles ont été imposées à une société, il est dans l’intérêt de ceux qui les respectent que ceux qui ne les respectent pas soient tenus responsables», a-t-elle soutenu.

    Les signes d’une société en voie de devenir un État policier peuvent être vus partout dans le monde, car les gens sont obligés de subir des privations de libertés qui durent maintenant depuis plus d’un an. Dans le même temps, les manifestations se multiplient.

    Grâce à son compte Facebook, Vooglaid a encouragé tous les citoyens à poursuivre les manifestations pacifiques. Maintenant, cependant, «l’acuité des manifestations doit être dirigée vers le gouvernement et la police et exiger une réelle responsabilité pour leurs actions».

     

    Source : medias-presse.info