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poutine - Page 7

  • GOD BLESS RUSSIA !

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    Rédigé par Christian Rol

     
    GOD BLESS RUSSIA !
    Vlad a dit exactement ce qu’on attendait de lui… Que, désormais, il ne laisserait plus les cinglés criminels de Washington et de la Commission européenne faire la pluie et le beau temps. Que l’époque de l’hégémonie US était finie et que leur histoire, présentée comme un joli roman de Barbara Cartland, était en fait l’oeuvre de psychopathes passés directement de la barbarie à la décadence.
    Il n’a rien oublié… Ni la destruction de Dresde par les bombes anglaises, ni Hiroshima, le Viêt-Nam passé au napalm, ni les colonisations qui nous reviennent dans la tronche.
    En abordant la métaphysique de l’Occident décadent et criminel à laquelle il oppose la Sainte Russie immaculée, il entraîne dans sa réflexion et dans son sillage plus de la moitié de la planète qui n’entend pas saborder des millénaires de civilisation au profit des saloperies qui nous font office de « culture ». Sans parler des pillages en règle sous prétexte de droites de l’homme et de « démocratie ». Vlad a donc acté ce « choc des civilisations » théorisé par Samuel Huntington qui devient alors une réalité avec laquelle les apprentis-sorciers devront compter désormais.
    Et, puisqu’il était visiblement en forme, le Tsar a également tenu à rappeler que les dirigeants européens, simples marionnettes des USA, n’étaient rien moins que des laquais et des traîtres à leurs propres peuples ; et que, d’ailleurs, les peuples en questions commençaient à piger et à ruer dans les brancards…
    Pendant ce temps, Biden la Momie, disait clairement que les Etats, organisations ou « individus » ( !) qui collaboreraient avec les Russes, seraient impitoyablement châtiés. Je connais quelques individus de ce genre, et notamment, via le net, un certain Adrien Bocquet, victime il y a quelques jours d’une tentative d’assassinat à Istanbul tandis qu’il faisait route pour le Donbass. Pour une fois que les Américains tiennent leurs promesses…
    C. Rol
    Peut être une image de 4 personnes et personnes debout
     
     
     
     
     
     
     
     
  • 2014 : Vladimir Poutine avait déjà tout dit !

    Publié par Guy Jovelin le 01 octobre 2022

    À peine 24 heures de présence sur YouTube (avant une éventuelle censure) et cette vidéo est déjà en route pour le million de vues. C’est dire combien les internautes ont soif de s’informer ailleurs que dans une presse et des médias dont les mensonges deviennent de plus en plus gros – et de plus en plus inaudibles. Nous faire passer des cheminées pour des missiles ou nous faire croire que la Russie sabote ses propres gazoducs alors qu’il lui suffit de tourner l’interrupteur, cela devient chaque jour trop invraisemblable et grotesque. Comme l’on dit, on peut tromper une fois 1 000 hommes ou 1 000 fois un homme, mais pas 1 000 fois 1 000 hommes. CQFD.

     

  • L’annonce de la Russie : demain l’annexion des territoires ukrainiens

    Publié par Guy Jovelin le 30 septembre 2022

    Auteur : 

    Le président russe Vladimir Poutine a décidé : demain, à 14 heures, heure française, l’annexion à la Russie des territoires ukrainiens occupés sera officialisée, après les quatre référendums. Cela a été annoncé par le porte-parole du Kremlin lui-même, Dmitry Peskov. Comme l’a rapporté l’agence de presse russe Ria Novosti, Peskov a déclaré aux journalistes que la signature de l’annexion aura lieu lors d’une cérémonie au Kremlin, dans la salle Saint-Georges, avec un discours de Poutine lui-même. Un format que le porte-parole du président a lui-même défini comme « différent » de ce qui était attendu : c’est-à-dire le message du président à l’Assemblée fédérale.

    En marge de la cérémonie – du moins selon le programme qui commence à être connu des agences russes – Poutine rencontrera les chefs des républiques populaires autoproclamées de Donetsk et Louhansk, et les dirigeants des nouvelles réalités de Kherson et Zaporijzhia. Dans ce geste formel Vladimir Poutine concrétise sa gestion du conflit et la raison de ce conflit, la protection des russophones et des russophiles bombardés par Kiev.

    L’Union européenne a déjà été particulièrement claire sur ce point. « Nous n’acceptons pas les référendums farfelus et nous n’accepterons jamais l’annexion des territoires ukrainiens occupés. Nous avons déjà annoncé le nouveau paquet de sanctions en raison de ces référendums », a déclaré la porte-parole de la Commission européenne, Dana Spinant. Et sur cette ligne se trouvent tous les pays membres de l’UE mais aussi ceux de l’Alliance atlantique.

    Si le manque de reconnaissance de la communauté internationale est un élément tenu pour acquis, tant du point de vue politique que de celui du droit international, ce qui importe à l’heure actuelle, c’est l’importance substantielle (et stratégique) de cette annexion fortement souhaitée par Poutine.

    « Sur ce point, explique un analyste, il est important de souligner au moins deux aspects. Le premier est de nature militaire. Étant donné que ces territoires du côté russe ne seront plus officiellement considérés comme ukrainiens ou indépendants, cela signifie que toute attaque contre ces zones sera automatiquement considérée comme une attaque contre la Fédération de Russie. La conséquence la plus directe de ce point est le risque que Poutine puisse justifier une réaction à l’attaque simplement parce que la Russie elle-même serait touchée. La doctrine stratégique de Moscou, et en particulier la doctrine nucléaire, sur ce point sont assez claires et laissent une certaine marge sur la manière d’interpréter ce type d’éventualité. Et il est clair qu’une menace directe à la sécurité de la Fédération (hypothèse prévue par la doctrine) pourrait être une condition suffisante à une nouvelle escalade de nature militaire. Jusqu’à l’hypothèse lointaine, mais encore terriblement actuelle dans la communication, de l’utilisation d’une arme nucléaire.

    « Le deuxième élément à prendre en considération est l’interprétation différente que l’on peut donner à ce nouveau développement de l’invasion, qui est passé de la reconnaissance de l’autonomie des républiques populaires autoproclamées aux référendums d’annexion à la Russie. Le tournant politique, conjugué à la mobilisation partielle des troupes et à la fermeture des frontières pour empêcher la fuite des insoumis, est lu par de nombreux analystes occidentaux comme un signe de faiblesse de Poutine. Ce qui se passe au front ne serait pas du tout bon pour Moscou, et pour cette raison, disent les experts, le chef du Kremlin joue un jeu plus de propagande que de béton, ce qui révèle en fait une nature « conservatrice ». Le front ne peut pas avancer et leLa contre-offensive ukrainienne à Karkhiv aurait essentiellement éliminé les perspectives d’une nouvelle poussée des forces russes vers l’ouest. Même la mobilisation de centaines de milliers d’hommes (Sergei Shoigu, ministre de la Défense, a parlé de 300 000 conscrits mais l’impression est que c’est moins que le chiffre réel) apparaît comme une preuve supplémentaire des pertes subies par les forces russes depuis le début de l’invasion.

    « En revanche, le point de vue du Kremlin apparaît certainement différent : ce que Poutine continue de considérer comme une « opération militaire spéciale » avait et a pour objectif premier la libération du Donbass et d’autres zones qui tendent à se chevaucher avec la « Nouvelle Russie ». L’annexion serait donc le premier signe d’un objectif atteint : quelque chose qui compte tenu du déroulement de la guerre pourrait aussi être le résultat d’une accélération politique pour dire que nous sommes prêts (plus ou moins secrètement) à négocier. »

    « De plus, comme le souligne également le Corriere della Sera, en juin, le président russe lui-même avait réduit les perspectives de l’attaque en déclarant que « le but final était fixé dans la libération du Donbass, dans la défense de ces populations et dans la création des conditions qui garantissent la sécurité de la Russie elle-même ».

    Avec la signature de demain, le premier point de ce « programme » de guerre de Poutine serait atteint et peut-être le second aussi. Sur le troisième, cependant, tout dépendra des négociations avec l’Occident, mais ce conflit prend un nouveau tournant. 

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Poutine : L’Europe dévore la nourriture… et les expéditions de céréales n’atteignent pas les pays pauvres

    Publié par Guy Jovelin le 29 septembre 2022

    Le président russe Vladimir Poutine a affirmé ce mardi, que « le grain qui sort d’Ukraine n’est pas destiné aux pays les plus pauvres », rappelant que « la Russie a évoqué ce problème à plusieurs reprises, et depuis longtemps ».

    Poutine a déclaré, lors d’une réunion gouvernementale, que « dans le cadre du programme des Nations unies, depuis le 23 septembre, 203 navires chargés de céréales ont quitté les ports ukrainiens, dont seulement quatre sont allés vers des pays pauvres ».

    Il a ajouté : « Sur les 46 navires envoyés du lundi au vendredi, la semaine dernière, 14 ont montré que la Turquie était le pays de destination et le pays intermédiaire. Quant aux 32 navires restants, 25 d’entre eux ont été envoyés vers l’Union européenne ».

    Poutine a commenté : « Sont-ils [les pays de l’UE] les plus pauvres, ou quoi ? La situation ici ne change pas. C’est embarrassant de dire : c’est une pure tromperie, rien de plus ».

    Le président russe a qualifié la position des pays riches du monde, qui continuent d’acheter de la nourriture, de « prédateur ». Il a expliqué que « le coût des aliments sur le marché mondial est revenu à ses niveaux du début de l’année, mais en même temps il est 40% plus élevé qu’il ne l’était en 2020 », soulignant que « c’est une conséquence directe de la politique cupide menée par les pays les plus riches du monde, qui continuent d’acheter de manière hysterique de la nourriture ».

    Il a ajouté que « le volume des importations américaines, dans le même temps, dépasse les exportations de 22,3 milliards de dollars », expliquant que « les exportations ont dépassé les importations, les années précédentes ; c’est-à-dire que les États-Unis importent aujourd’hui plus de nourriture des marchés mondiaux qu’ils n’en vendent ».

    Plus tôt ce mois-ci, Poutine a déclaré que « l’Occident n’était pas assez honnête à propos de l’accord d’expédition de céréales depuis l’Ukraine, car la majorité des expéditions n’allaient pas vers les pays les plus pauvres comme annoncé ».

    Selon Poutine, il n’y a pas de sanctions directes sur les exportations de nourriture et d’engrais de Russie, mais il y a des restrictions qui affectent le marché mondial et contribuent à la hausse des prix, notant que 345 millions de personnes souffrent en fait d’insécurité alimentaire dans le monde, soit environ 2,5% supérieur au niveau qui était en 2019.

    Dans le même contexte, le ministre russe de l’Agriculture, Dmitry Patrouchev, a déclaré que « la Russie s’efforçait d’augmenter l’approvisionnement en céréales des pays du Moyen-Orient et d’Afrique ».

    Il y a deux jours, le ministre turc des Affaires étrangères, Mevlut Cavusoglu, a annoncé que « la Turquie et les Nations unies avaient trouvé des solutions pour permettre aux cultures agricoles russes d’atteindre les marchés mondiaux ».

    Le 22 juillet de cette année, un mémorandum d’accord russo-ukrainien a été signé à Istanbul, sous les auspices du secrétariat de l’ONU, pour faciliter la circulation des produits alimentaires et des engrais russes sur les marchés mondiaux.

    Le premier document stipulait l’engagement des Nations unies à supprimer diverses restrictions à l’exportation de produits agricoles et d’engrais russes vers les marchés mondiaux, tandis que le second document spécifiait l’algorithme d’exportation de produits agricoles ukrainiens depuis les ports de la mer Noire contrôlés par l’Ukraine. Moscou souligne que l’accord n’est toujours pas aussi efficace qu’il devrait l’être.

    source : Al Manar

  • 21 septembre 2022 : le discours historique de Vladimir Poutine

    Publié par Guy Jovelin le 23 septembre 2022

    Auteur : 

    Tandis qu’Emmanuel Macron, président d’une République française en déliquescence, gesticulait à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, mardi 20 septembre, devant un parterre vide, Vladimir Poutine fignolait ce qui restera un discours historique. Historique parce qu’il impose un tournant dans le conflit qui oppose la Fédération de Russie à l‘Ukraine en premier, à l’OTAN et à l’Occident en réalité.

    Ce matin mercredi 21 septembre, les paroles du Président russe ont retenti dans le monde, et auront certainement donné des sueurs froides à Volodymyr Zelensky, le président ukrainien, et à maintes chancelleries européennes, occupées jusqu’à maintenant à obéir sans discernement aux ordres de leur suzerain les Etats-Unis. Des ordres dont elles n’ont pas su percevoir la dangerosité menant à une escalade guerrière des deux côtés.

    Si Zelesnky a essayé de minimiser la portée des paroles poutiniennes en disant qu’il ne « ne croit pas » à l’utilisation d’armes nucléaires de la part des Russes en défense de leurs territoires, Washington les prend plus au sérieux. Les connaisseurs de Vladimir Poutine ne cessent pourtant de le dire tant depuis le début du conflit en février 2022 qu’auparavant : il faut le prendre au sérieux, il dit ce qu’il va faire et il le fait !

    Dans son discours de ce matin, Poutine a d’abord fait un point sur la situation dans le Dombass depuis 2014 et le déclenchement d’une opération militaire spéciale en février 2022 qu’il a corrélée avec l’implication occidentale contre les Russes de ces régions.

    Il a insisté sur le devoir russe « de protéger la souveraineté, la sécurité et l’intégrité territoriale de la Russie, de soutenir le désir et la volonté de nos compatriotes de déterminer leur propre avenir et de la politique agressive d’une partie des élites occidentales, qui luttent de toutes leurs forces pour maintenir leur domination ». Ainsi il a annoncé une mobilisation partielle dans la Fédération de Russie :

    « Je le répète, nous parlons spécifiquement de mobilisation partielle, c’est-à-dire que seuls les citoyens qui sont actuellement dans la réserve seront soumis à la conscription, et surtout ceux qui ont servi dans les forces armées, ont certaines spécialités militaires et une expérience pertinente ».

    Et la tenue de référendums :

    « Les parlements des républiques populaires du Donbass, ainsi que les administrations militaro-civiles des régions de Kherson et de Zaporozhye, ont décidé d’organiser des référendums sur l’avenir de ces territoires et se sont tournés vers nous, la Russie, pour nous demander de soutenir une telle démarche.

    « Permettez-moi de souligner que nous ferons tout pour assurer des conditions sûres pour la tenue de référendums, afin que les gens puissent exprimer leur volonté. Et nous soutiendrons la décision concernant leur avenir, qui sera prise par la majorité des habitants des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk, des régions de Zaporozhye et de Kherson. »

    « Le but de cet Occident est d’affaiblir, de diviser et finalement de détruire notre pays », a martelé Poutine dans ce discours à la nation. « Ils disent déjà directement qu’en 1991, ils ont pu diviser l’Union soviétique, et maintenant le moment est venu pour la Russie elle-même, qu’elle devrait se désintégrer en de nombreuses régions et zones mortellement hostiles. Et ils planifient de tels plans depuis longtemps » a-t-il souligné en faisant référence à des nombreux plans de partition de la Fédération de Russie dessinés dans des conciliabules pas si secrets que cela par des « élites » occidentales, européennes et américaines. Le dernier en date eut lieu à Prague cet été : le Forum des nations libres de Russie, un événement organisé pour donner la parole aux dirigeants des mouvements séparatistes dans diverses républiques russes, de la Baskirie au Tatarstan, sous l’œil des caméras de certains médias, et sponsorisé par les Etats-Unis où l’on avait déjà discuté en juin de la « décolonisation de la Russie » en tant qu’ « impératif stratégique ».

    Conscient de devoir apporter de nombreuses explications, Vladimir Poutine a explicité le refus de Kiev a une solution pacifique du problème du Dombass sur ordre de l’Occident :

    « Ce que je veux dire publiquement, aujourd’hui, pour la première fois. Déjà, après le début de l’opération militaire spéciale, y compris les pourparlers d’Istanbul, les représentants de Kiev ont réagi très positivement à nos propositions, et ces propositions concernaient principalement la garantie de la sécurité de la Russie et de nos intérêts. Mais il est évident que la solution pacifique ne convenait pas à l’Occident, c’est pourquoi, après la conclusion de certains compromis, Kiev a en fait reçu l’ordre direct de perturber tous les accords. »

    Et ajoute-t-il :

    « L’Ukraine a commencé à être encore plus gonflée d’armes. Le régime de Kiev a lancé de nouveaux gangs de mercenaires étrangers et de nationalistes, des unités militaires entraînées selon les normes de l’OTAN et sous le commandement de facto de conseillers occidentaux. »

    « Dans sa politique anti-russe agressive, l’Occident a franchi toutes les limites » estime-t-il en énumérant les menaces et l’aide occidentales à l’Ukraine : 

    « Nous entendons constamment des menaces contre notre pays, notre peuple. Certains politiciens irresponsables en Occident ne parlent pas seulement de plans visant à organiser la fourniture d’armes offensives à longue portée à l’Ukraine – des systèmes qui permettront des frappes contre la Crimée et d’autres régions de Russie. De telles frappes terroristes, y compris avec l’utilisation d’armes occidentales, sont déjà menées sur les colonies frontalières des régions de Belgorod et de Koursk. En temps réel, à l’aide de systèmes modernes, avions, navires, satellites, drones stratégiques, l’OTAN effectue des reconnaissances dans tout le sud de la Russie. »

    « A Washington, Londres, Bruxelles, continue-t-il, ils poussent directement Kiev à transférer les opérations militaires sur notre territoire. Ne se cachant plus, ils disent que la Russie doit être vaincue par tous les moyens sur le champ de bataille, suivie de la privation de toute souveraineté politique, économique, culturelle, en général, avec le pillage complet de notre pays. »

    Partie certainement la plus commentée ces dernières heures, – « bluffe-t-il ou non ? » se demandent les politiciens occidentaux -, Poutine n’hésite pas parler du chantage nucléaire des Occidentaux, leur renvoyant ainsi la responsabilité de l’irresponsabilité de l’usage de l’arme nucléaire :

    « Le chantage nucléaire a également été lancé. Nous parlons non seulement du bombardement de la centrale nucléaire de Zaporozhye, qui est encouragé par l’Occident, qui menace d’une catastrophe nucléaire, mais aussi des déclarations de certains représentants de haut rang des principaux Etats de l’OTAN sur la possibilité et l’admissibilité d’utiliser des armes de destruction massive contre la Russie – des armes nucléaires.

    « A ceux qui se permettent de faire de telles déclarations sur la Russie, je voudrais rappeler que notre pays dispose également de divers moyens de destruction, et pour certaines composantes plus modernes que ceux des pays de l’OTAN. Et si l’intégrité territoriale de notre pays est menacée, nous utiliserons certainement tous les moyens à notre disposition pour protéger la Russie et notre peuple. »

    « Ce n’est pas du bluff » conclut-il.

    Message sans nul doute à prendre au sérieux.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info