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poutine - Page 9

  • « Nous sommes prêts à prendre facilement Kiev et les pays de l’OTAN », la Tchétchénie n’attend que les ordres de Poutine

    Publié par Guy Jovelin le 22 juillet 2022

    Alors que la Russie poursuit son opération militaire en Ukraine avec le soutien de ses alliés de l’est, la Biélorussie et surtout la Tchétchénie, le président de ce dernier pays, Ramzan Kadyrov a formellement menacé les pays occidentaux et dit attendre juste les instructions de Vladimir Poutine pour les réduire en « miettes ».

    Selon Kadyrov dont les forces sont aux côtés des éléments pro-russes du Donbass, il est  reconnaissant que Poutine « ait pris une décision aussi juste et nous ait donné l’opportunité de prendre part à cette lutte sacrée » contre le « satanisme ». « Nous sommes prêts à aller plus loin sur les ordres, à prendre facilement Kiev et les pays de l’OTAN », a indiqué le président de la Tchétchénie.

    « Nos unités, endurcies dans de vraies batailles, ne pourront fléchir devant aucune armée dans le monde. Nous avons l’expérience, l’arsenal, la foi, le patriotisme, l’idée et la VÉRITÉ ! L’Occident ne comprend pas encore à quel point NOUS sommes forts ! », a souligné Kadyrov. « Nous sommes prêts à écraser la campagne fausse-démocratique, pseudo-libérale et militaro-barbare des États occidentaux, qui corrompent la communauté mondiale dans le but de soumettre le monde entier à eux », a-t-il ajouté.

    source : Actu Cameroun via lesmoutonsrebelles

  • Poutine: la Russie n’a « pas encore commencé les choses sérieuses »

    Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2022

    « Qu’ils essaient ! » Le président russe Vladimir Poutine a mis au défi les Occidentaux de défaire la Russie « sur le champ de bataille » en Ukraine, où Moscou n’a « pas encore commencé les choses sérieuses », jeudi 7 juillet, lors d’une réunion avec les chefs des groupes de la chambre basse du Parlement, retransmise à la télévision. « En même temps, nous ne refusons pas les négociations de paix », a-t-il également déclaré. « Mais ceux qui les refusent doivent savoir que plus longtemps [ils refuseront], plus il leur sera difficile de négocier avec nous », a-t-il ajouté.

    Lors de ce discours, le chef de l’Etat a poursuivi : « Nous avons plusieurs fois entendu que l’Occident voulait nous combattre jusqu’au dernier Ukrainien. C’est une tragédie pour le peuple ukrainien. Mais il semble que tout se dirige dans cette direction. »

    Reprenant une rhétorique rappelant celle des dirigeants soviétiques pendant la guerre froide, Vladimir Poutine a aussi dénoncé le « libéralisme totalitaire » occidental et estimé que l’offensive en Ukraine marquait le début d’une transition d’un monde marqué par l' »égocentrisme mondialisé américain vers un monde vraiment multipolaire ».

     

    Source 

  • Poutine : « Ils veulent nous vaincre sur le champ de bataille, qu’ils essayent »

    Publié par Guy Jovelin le 09 juillet 2022

     

    Pour ceux qui n’auraient pas saisi le message, Poutine a haussé d’un cran la menace verbale :

     

    Poutine évoque-t-il un conflit nucléaire ?

     

    Le camp occidental, dont la France fait partie, n’est pas fracturé, mais le doute commence à gagner les esprits. Pujadas, sur LCI, un des journalistes les moins soumis aux injonctions du mondialisme, que ce soit sur le covid ou sur la Russie, résume cet état d’esprit en trois points :

     

    Pas besoin d’être un grand géostratège pour comprendre que l’Europe est en train de s’enfoncer dans une crise à la fois économique, sociale (nous le verrons avec la révolte des agriculteurs néerlandais) et peut-être militaire. Les relais de l’oligarchie commencent à parler de réquisitions, comme ici, sur France 5 :

     

    Inflation, réquisitions, rationnements, tout est en place pour une explosion de colère qu’on dirait voulue par les dirigeants européistes. Qui n’offrent aucune possibilité au compromis, à la négociation, ce qui est le plus sûr moyen d’aller à terme vers la guerre, et peut-être même vers le chaos intérieur, c’est-à-dire la guerre civile. Tout ça pour sauver la hiérarchie européiste inféodée aux puissances mondialistes ?

    Rappelons ici l’ancien nom de la fondation du couple Gates :

     

    Source

     
  • Ukraine : « Je voulais aller jouer au hockey », l’échange surréaliste entre Poutine et Macron quatre jours avant la guerre

    Publié par Guy Jovelin le 02 juillet 2022

    « Je ne sais pas où ton juriste a appris le droit. Moi, je regarde les textes et j’essaie de les appliquer (…). Je ne sais quel juriste pourra te dire que, dans un pays souverain, les textes de loi sont proposés par des séparatistes et pas par les autorités démocratiquement élues » lance alors Emmanuel Macron à son homologue.

    Vladimir Poutine rétorque alors qu’il ne s’agit pas « d’un gouvernement démocratiquement élu » mais qu’ils « ont accédé au pouvoir par un coup d’Etat sanguinaire. Il y a eu des gens brûlés vifs. C’était un bain de sang ».

    Poutine finit, par donner un accord de principe pour un échange avec Joe Biden (qui n’aura finalement jamais lieu).

    « Pour ne rien te cacher je voulais aller jouer au hockey sur glace, parce que là je te parle depuis la salle de sport » lui lance-t-il avant de raccrocher.

     

    Vidéo : https://twitter.com/i/status/1542777538887442432

  • Vers un rationnement énergétique ?

    Publié par Guy Jovelin le 01 juillet 2022

    Après avoir joué aux matamores face à Vladimir Poutine, les dirigeants européens doivent bien constater que les conséquences énergétiques risquent d’être très sérieuses. Ça tombe bien pour les amis du Forum économique de Davos car cela permet d’entretenir la stratégie de la peur. Les médias ne manquent donc pas une occasion de consacrer des articles et reportages aux craintes de black-out énergétique.

    Dans le quotidien belge La Dernière Heure, Damien Ernst, professeur à l’Université de Liège et expert en énergie, déclare : « Pour comprendre ce qui se passe, il faut reprendre le contexte global. On sait que la guerre en Ukraine n’a fait que renforcer une crise énergétique qui couvait déjà depuis quelques mois. Depuis une quinzaine de jours, la Russie a pris la décision de diminuer fortement ses exportations de gaz vers l’Allemagne via le gazoduc Nord Stream 1. On parle de 500 térawatt-heure en moins, et l’Allemagne se rend compte qu’elle n’aura plus accès à ce gaz russe bon marché sur lequel repose une partie de son économie. Pour rappel, c’est cette bonne relation et cet accord qui les avaient poussés à sortir du nucléaire. »

    « La Russie a décidé de diminuer ses exportations directement, et c’est tout le stock que l’Europe voulait constituer durant l’été qui est mis à mal. Cela aggrave énormément le conflit, qui est en fait une guerre énergétique, entre la Russie et l’Europe. », ajoute-t-il.

    En conséquence, les gouvernements de l’Allemagne et de la France ont décidé de faire fonctionner des usines à charbon pour produire de l’énergie et ce en contradiction avec leur discours climato-mondialiste. « Déjà, on ne pense plus du tout à la question climatique en faisant cela. Et puis, le prix du charbon sur les marchés explose vu l’augmentation de la demande. On a battu des records sur le marché asiatique. »

    La situation en Belgique est assez similaire et « l’expert » Damien Ernst n’hésite pas à prôner le rationnement énergétique. « La ministre de l’Énergie se battait il y a quelques mois encore pour remplacer le nucléaire par des centrales au gaz, comme cela a été le cas en Allemagne. Ces politiques fragilisent encore plus la situation. Il va falloir mettre clairement le doigt sur ce problème et prendre certaines décisions radicales. Il faut avoir le courage de dire à la population qu’on a un gros souci et que cette crise va encore durer des années, c’est une certitude désormais. Il faut penser à mettre en place une stratégie de rationnement. Car chaque kilowatt économisé durant l’été ira vers des réserves stratégiques. Il faut sensibiliser les gens pour que chacun participe à l’effort. Le seul conseil que je peux donner aujourd’hui ? Consommer le moins possible… » Un discours qui rejoint celui des promoteurs du passe énergétique, sujet lui-aussi de plus en plus en vogue dans la presse écrite aux ordres.

    Une fois de plus, il s’agit de faire peser le poids des efforts sur le citoyen moyen. Lui, il est invité – avant d’y être sommé – à réduire sa consommation d’électricité. Mais personne ne vient souligner qu’illuminer tous les bâtiments publics d’Europe aux couleurs de l’Ukraine ou de l’arc-en-ciel LGBT est bien plus énergivore que d’allumer sa lampe de chevet.

    De même, n’est-il pas totalement incohérent dans ce cas de continuer à prôner le tout à la voiture électrique ?

    Décidément, on nous prend vraiment pour des idiots…

     

    Source : medias-presse.info