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poutine - Page 6

  • Poutine n’a pas souhaité une bonne année à Ignazio Cassis!

    Publié par Guy de Laferrière le 31 décembre 2022

    Viktor Orbán est le seul dirigeant européen à qui Poutine a souhaité une bonne année - 30 décembre 2022

    Cette fois, le président russe Vladimir Poutine n'envoie pas ses vœux du Nouvel An aux présidents des États-Unis et de la France, ainsi qu'au chancelier allemand. Dmitri Peskov a justifié la décision pas du tout surprenante en disant que ces pays ont frappé la Russie avec des sanctions sans précédent après qu'elle a attaqué l'Ukraine le 24 février.

    Selon le porte-parole du Kremlin, la Russie n'a aucune relation avec ces pays, et leurs dirigeants ne doivent pas s'attendre à de bons vœux de Moscou.

    Il y a un dirigeant dans le monde occidental pour lequel Poutine a fait une exception, son nom est Viktor Orbán. De l'UE, la Hongrie est le seul pays qui figure sur la liste du Kremlin, et de l'OTAN, à côté de nous, il y a aussi la Turquie.

    Les dirigeants de deux "territoires non reconnus par le monde", l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud, ont également reçu de bons vœux. Sur les 22 pays/territoires, 10 appartenaient à l'ex-Union soviétique et cinq autres faisaient partie du système mondial socialiste.

    Liste des pays récompensés :

    Abkhazie,

    Azerbaïdjan,

    Biélorussie,

    Bolivie,

    Brésil,

    Ossétie du Sud,

    Inde,

    Kazakhstan,

    Chine,

    Kirghizistan,

    Cuba,

    Hongrie,

    Nicaragua,

    Arménie,

    Serbie,

    Syrie,

    Tadjikistan,

    Turquie,

    Turkménistan,

    Venezuela,

    Viêt Nam,

    Ouzbékistan.

    source: https://www.vadhajtasok.hu/2022/12/30/orban-viktor-az-egyetlen-eu-s-vezeto-akinek-putyin-boldog-uj-evet-kivant

  • Vladimir Poutine offre huit anneaux à des dirigeants de l’ex-URSS…comme dans « Le Seigneur des anneaux » de Tolkien…

    Publié par Guy de Laferrière le 29 décembre 2022

    medias-presse.info

    Auteur : 

    Plusieurs commentateurs ont souligné le parallèle avec l’œuvre de Tolkien. De là à voir Poutine en Gollum et Zelensky en Frodon, certains ont allègrement franchi le pas alors que le Kremlin réfute toute ressemblance, évoquant un «simple souvenir».

    Voici comment Le Figaro rapporte ce que l’on peut considérer comme une anecdote et non un fait politique :

    Après un sommet à Saint-Pétersbourg de la Communauté des États Indépendants (CEI), une alliance de plusieurs ex-Républiques soviétiques, le Kremlin a remis mardi neuf anneaux d’or portant l’inscription «Bonne année 2023» et l’emblème de la CEI.

    Un anneau a été remis aux huit chefs d’État étrangers présents (Bélarus, Arménie, Azerbaïdjan, Tadjikistan, Kirghizstan, Turkménistan, Ouzbékistan, Kazakhstan), ainsi qu’un neuvième à Vladimir Poutine (Voir image ci-dessus). Des commentateurs ont immédiatement fait un parallèle avec le livre Le Seigneur des anneaux de J.R.R. Tolkien, dans lequel le maître du mal, Sauron, offre neuf anneaux à des dirigeants humains qui deviennent ensuite ses serviteurs, les «Nazgûls».

    Seule différence : dans le roman, Sauron crée en secret un anneau supplémentaire, l’anneau unique, qui permet de contrôler tous les autres.

    Le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, voulant couper court aux interprétations visiblement malveillantes, a déclaré de son côté . «C’est simplement un souvenir pour Nouvel An, il n’y a rien de particulier là-dedans», tout en précisant que Vladimir Poutine ne portera pas son anneau d’or.

    D’ailleurs, la polémique a rapidement fait long feu puisque selon les observateurs, seul Alexandre Loukachenko, le dirigeant de la CEI le plus proche de Poutine, l’a porté. Il est à noter que la plupart des autres dirigeants sont musulmans, et leur religion interdit le port de bijoux en or aux hommes.

    Sources : AFP / Europe 1 / Le Point

  • Poutine : Le risque d’une guerre nucléaire augmente

    Publié par Guy de Laferrière le 08 décembre 2022

     
    Poutine nucléaire

    Mercredi, le président russe Vladimir Poutine a fait le point sur la guerre en public lors d’une séance télévisée du Conseil des droits de l’homme. Selon au moins un média régional indépendant, les questions posées par les responsables du Kremlin étaient étroitement contrôlées.

    Parmi les sujets les plus importants qu’il a abordés en rapport avec l' »opération militaire spéciale » menée en Ukraine depuis maintenant dix mois, citons les plans futurs de mobilisation plus large et la perspective de déploiement de moyens nucléaires. Sur ce dernier point, M. Poutine s’en est pris aux États-Unis et à l’OTAN, déclarant que « la Russie n’a pas d’armes nucléaires tactiques dans d’autres pays, contrairement aux États-Unis ».

    Il faisait ainsi référence au fait que certains membres de l’OTAN en Europe, y compris jusqu’en Turquie, accueillent de nombreuses armes nucléaires tactiques américaines dans le cadre du parapluie de défense de l’OTAN. « Nos forces nucléaires sont dans un état plus avancé que n’importe quel autre pays du monde », s’est-il vanté à un moment donné.

    Poutine : « Nous avons les armes les plus avancées, mais nous ne voulons pas les brandir ».

    Il est important de noter que, compte tenu de l’augmentation de la quantité d’armes fournies par les États-Unis et l’OTAN aux forces ukrainiennes, qui ont récemment transféré des missiles de plus en plus sophistiqués et de plus longue portée, M. Poutine a averti que « le risque de guerre nucléaire dans le monde augmente ».

    Il a également profité de l’occasion pour réaffirmer la doctrine nucléaire « défensive » de la Russie, en soulignant que les armes nucléaires seraient envisagées comme une réponse à une attaque contre le territoire russe, tout en déclarant qu’il est prêt à défendre le territoire russe « en utilisant tous les moyens disponibles ».

    Selon une traduction des propos de Poutine dans Sky News :

    « Nous n’avons pas parlé de l’utilisation d’armes nucléaires ». Puis, il a déclaré : « La Russie n’est pas devenue folle. »

    « Nous avons les armes les plus avancées, mais nous ne voulons pas les brandir ».

    Mais en s’en prenant aux déploiements nucléaires de Washington en Europe, il a semblé suggérer que c’est précisément la partie américaine qui fait le coup de sabre nucléaire.

    « Oui, nous le ferons de différentes manières et par différents moyens. Tout d’abord, bien sûr, nous nous concentrerons sur les moyens pacifiques, mais si rien d’autre ne subsiste, nous nous défendrons avec tous les moyens à notre disposition », a déclaré M. Poutine.

    Les grands médias occidentaux vont plus que probablement interpréter ces commentaires comme une nouvelle « menace » selon laquelle la Russie est prête à mener une attaque nucléaire si elle est acculée en Ukraine. Pourtant, comme la fois précédente où il a fait des déclarations similaires, le dirigeant russe a en fait expliqué la nature défensive de la politique nucléaire officielle du pays contre les menaces « existentielles » pour le territoire russe.

     

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • [VIDÉO] Poutine a roulé sur le pont de Crimée, partiellement détruit en octobre par une énorme explosion

    Publié par Guy de Laferrière le 06 décembre 2022

     
    Le prédident russe a ce lundi effectué sa première visite dans la péninsule annexée depuis le début de l’offensive contre l’Ukraine.

    Le président Vladimir Poutine s’est rendu sur le pont de Crimée qui avait été partiellement détruit en octobre, sa première visite dans la péninsule annexée depuis le début de l’offensive contre l’Ukraine, ont rapporté lundi les médias russes dont Ria Novosti.

     

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • Le début de la fin pour Zelensky ? Les États-Unis poussent Kiev à envisager des négociations avec Poutine

    Publié par Guy de Laferrière le 07 novembre 2022

    Auteur : 

    La solidarité de façade commence à se craqueler de partout. 

    Le froid et la faim rappellent les va-t-en-guerre à la réalité.

    D’après le Washington Post, l’administration Biden pousse l’Ukraine à abandonner sa posture actuelle, qui consiste à refuser les pourparlers tant que Vladimir Poutine n’est pas démis de ses fonctions.

    La position américaine vis-à-vis de la guerre en Ukraine s’infléchirait-elle ? À l’approche des Midterms, et alors que de plus en plus de voix remettent en cause l’aide à Kiev, l’administration Biden insisterait auprès de Kiev pour qu’elle ne renonce pas aux pourparlers, selon le Washington Post.

    Washington souhaiterait que Volodymyr Zelensky assouplisse sa position, qui consiste depuis l’annexion de quatre territoires ukrainiens à refuser toute discussion tant que Vladimir Poutine n’est pas démis de ses fonctions.

    La volonté du président ukrainien de ne pas négocier tant que son homologue russe est aux commandes inquiète en effet de nombreux pays d’Afrique, d’Amérique latine, mais aussi d’Europe, selon des responsables américains. Les effets sur la disponibilité et le coût de la nourriture ou du carburant se font, de fait, de plus en plus sentir.

    «La fatigue de l’Ukraine est une réalité pour certains de nos partenaires», confie au Washington Post un responsable américain, sous couvert d’anonymat.

    Les Gamelin professionnels de BFM et de LCI vont commencer à manger leur chapeau et Macron va bientôt déclarer qu’il ne sait pas qui est ce Zelensky dont on lui rebat les oreilles…

     

    Source : medias-presse.info