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retraites - Page 3

  • RETRAITES : QUELQUES PRINCIPES DE BON SENS

    Publié par Guy Jovelin le 26 décembre 2019

    POSTÉ LE DÉCEMBRE 24, 2019, 12:48

    principes de bon sens,retraites,syndicats

    Alors que la France s’enfonce dans une grève absurde, dont les syndicats et le gouvernement sont conjointement responsables par leur incapacité à dialoguer et surtout à écouter ceux qu’ils prétendent représenter, je voudrais proposer quelques principes de bon sens pour une réforme des retraites qui soit autre chose qu’une énième réformette.
    Pour les « progressistes », rien n’existe entre l’individu et l’État. Mais il serait salutaire que les professions s’organisent et fixent leurs propres règles. L’État demeurerait, bien sûr, une instance d’équilibre et de cohésion nationale. Mais pourquoi devrait-il décider (toujours avec la pression de la démagogie électoraliste) que telle profession est pénible et que telle autre non ?
    S’il y avait une véritable démocratie sociale, nous en finirions avec ces syndicats irresponsables et si peu représentatifs.
    Au passage, rappelons que la plupart des grèves des dernières décennies étaient politiques, donc illégales – et qu’un gouvernement respectueux de la loi aurait dû faire condamner, voire dissoudre, les syndicats qui les ont organisées.
    Parlant de retraite, on parle beaucoup de solidarité intergénérationnelle. Celle-ci me semble la base de la cohésion nationale. Mais pourquoi cela ne fonctionne-t-il pas ? Tout simplement parce que les prétendues « élites » ont fomenté une espèce de lutte des générations qui pousse la génération 68 à dire : « Après moi le déluge » et les générations ultérieures à dire : « Nous irons cracher sur vos tombes. »
    Il suffit de regarder le marché de l’emploi pour constater que cette haine artificielle cause à la fois le malheur des plus jeunes et celui des plus âgés.
    Il ne serait pourtant pas bien difficile d’aider à la transmission d’une génération à l’autre. En particulier, on pourrait remettre à plat la fiscalité du patrimoine qui force chaque génération à rêver que le monde naît avec elle. Dans une société civilisée, les plus âgés transmettent leur patrimoine matériel et immatériel et les plus jeunes assurent la subsistance de ceux qui les ont éduqués.
    Prétendre bâtir un système de retraite sans s’appuyer sur cette succession naturelle des générations est insensé.
    Je ne serais pas choqué qu’une solidarité de base assure aux retraités un revenu minimal. Il me semble monstrueux qu’un paysan, après avoir trimé 70 heures par semaine, pratiquement sans prendre de vacances, touche une pension de 600 euros. Que mes impôts servent à assurer un revenu décent à ceux qui travaillent pour nous nourrir me semblerait plus utile que de payer des millions de parasites !
    Cette solidarité nationale devrait reposer sur l’impôt plutôt que sur la répartition qui fait croire faussement que nos cotisations ouvrent droit à une retraite.
    Cependant, la solidarité ne suffit pas. Encourager à la capitalisation par la défiscalisation me semble, non seulement légitime, mais nécessaire. Cela responsabiliserait les citoyens et cela permettrait de relancer le capitalisme français qui agonise faute de capitaux.
    S’agissant des régimes spéciaux, personnellement, je ne suis pas scandalisé par le principe lui-même : à profession différente, situation différente. Mais je le suis par le fait que nous, contribuables, soyons sollicités pour abonder les régimes spéciaux de personnes – qui, par surcroît, nous pourrissent la vie !
    Enfin, mais j’en ai déjà abondamment parlé dans les précédents numéros, une politique familiale sérieuse devrait être un préalable à toute réflexion sur une réforme des retraites.
    En tout cas, il est urgent d’abandonner les réformettes technocratiques, pour proposer aux Français une véritable réforme de principe.

     

    Source : les4verites

  • Retraites : en voulant rassurer les militaires, Emmanuel Macron fâche les policiers

    Publié par Guy Jovelin le 24 décembre 2019

    Par  le 23/12/2019

    Alors qu’Emmanuel Macron, en déplacement en Côte d’Ivoire, a tenté vendredi de rassurer les militaires en leur assurant qu’ils n’étaient pas concernés par la réforme des retraites, les syndicats policiers, rattachés au même ministère, dénoncent une inégalité de traitement et menacent de nouvelles actions.

    De son côté, la ministre des Armées Florence Parly avait prévenu jeudi les représentants des gendarmes qu' »aucun sous-officier ne basculerait dans le régime universel ». Des déclarations qui ont provoqué la colère de syndicats de policiers qui dénoncent une réforme à deux vitesses au sein d’un même ministère. « C’est presque une déclaration de guerre vis-à-vis des policiers« , réagit sur Europe 1 Stanislas Gaudon, porte-parole du syndicat Alliance Police Nationale.

    « C’est quand même incroyable cette histoire. Les policiers gèrent 80% de la délinquance dans ce pays, sont soumis aux mêmes risques que les militaires et les gendarmes« , rappelle-t-il, avant d’interroger : « Nous faisons partie du même ministère. Comment peut-on faire deux traitements différents au sein d’un même ministère sur les mêmes missions ? » […] Et de prévenir : « Si on n’a pas de réponse favorable et rapide à notre demande, nous allons reprendre les actions comme l’absence de PV, les fermetures symboliques de commissariats, les contrôles renforcés« .

    msn via fdesouche

  • C'est très bien de se mobiliser pour les retraites.

    Publié par Guy Jovelin le 22 décembre 2019

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    Mais, au rythme où vont les choses et l'apathie des Français devant la submersion migratoire étant ce qu'elle est, seules deux questions vont finir par devoir être posées: quel sera la valeur du point dans la future République islamique de France et que prévoit la charia comme âge pivot?
    JFT.

     
    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France
     
     
     
  • Retraites: les syndicats rouges bloquent. Le gouvernement papote.

    Publié par Guy Jovelin le 18 décembre 2019

    L’image contient peut-être : 3 personnes, personnes souriantes, personnes assises et intérieur

    Après dix huit mois de consultations, de négociations et de concertations aussi bavardes que stériles, aussi oiseuses que sans effets, le gouverneur ouvre ce mercredi une nouvelle séquence de discussions avec les partenaires sociaux pour tenter de sauver sa réforme bancale des retraites et de débloquer une situation qui, chaque jour, devient plus pénalisante pour les Français, plus contraire à la cohésion nationale et sociale, et plus nuisible à l'économie du Pays.

    Face aux grèves, le pouvoir macronien a, dans un premier temps, joué le pourrissement en espérant que l'approche de Noël et des vacances de fin d'année lui offrirait une possibilité de sortie de crise. Il compte aujourd'hui sur les syndicats réformistes pour l'aider à sortir de l'impasse dans lequel il s'est lui même enfermé, quitte à abandonner toute référence à son plan, hasardeux et flou, d'équilibre du système par répartition.

    Deux stratégies perdantes. Dans le premier cas, malgré l'exaspération des Français empêchés de se déplacer, l'opinion publique reste hostile à la méthode comme au fond de cette réforme. Dans le second, ni la CFDT, ni l'UNSA ne sont en mesure de faire fléchir les grévistes ni de lever les blocages.

    Il est de la nature des pouvoirs faibles comme l'est cette république progressiste en marche arrière, de s'engager dans des processus politiques ou sociaux aventureux dont ils n'ont ni la maîtrise ni les moyens de les mener à leurs termes.

    Seul un pouvoir fort — ce ne pourrait bien entendu être que celui d'un régime de droite nationale — saurait imposer ses décisions, mener à bien ses entreprises de relèvement politique, économique et social de la Nation, et mettre au pas ses oppositions.

    Pour l'heure, l'actuel gouvernement n'a pas d'autre choix que de retirer une réforme mal ficelée, illisible et injuste.

    Et de consulter par référendum les Français sur l'avenir de leurs retraites.


    Jean-François Touzé délégué général du Parti de la France

  • « C'est insupportable que des syndicats communistes prennent les Français en otages et instaurent la chienlit »

    Publié par Guy Jovelin le 05 décembre 2019

    otages,retraites,syndicatsPour rappel, le communiqué de Jean-François Touzé, Délégué général du PdF :

    Ambigüe, incomplète, inéquitable, bancale, la réforme du système de retraites concoctée par Jean-Paul Delevoye sous l'impulsion à la fois molasse et hasardeuse d'Emmanuel Macron doit être combattue.

    Elle doit être combattue parce que la mise en place d'un système par points dont personne ne peut aujourd'hui présumer de la valeur aura inévitablement pour effet d'entraîner une baisse du niveau de retraite de nombreux Français.

    Elle doit être combattue parce que le plan Delevoye ne donne aucune assurance quant au financement futur des pensions.

    Elle doit être combattue parce qu'elle relève d'une simple velléité comptable et non d'un projet socialement juste, économiquement pérenne et nationalement efficace

    L'universalité des retraites et la fin des régimes spéciaux (mais quid des régimes autonomes ?) vont certes dans la bonne direction, mais ces mesures de bon sens et de justice que la droite nationale n'a cessé depuis des décennies de réclamer ne sont mises en avant par le gouvernement que pour masquer le caractère punitif pour de très nombreux Français de la réforme.

    Pour autant, les nationaux ne peuvent en aucun cas soutenir le mouvement de grèves massives et attentatoires à nos libertés qui se prépare à partir du 5 décembre. Une fois de plus, Marine Le Pen en prenant le parti des syndicats politisés de gauche et d'extrême gauche se fourvoie, confondant l'accessoire et l'essentiel, et privilégie ce qu'elle croit être sur le court terme son intérêt partisan au détriment de celui, dans la longueur et la profondeur du temps, de la France et des Français.

    Les Syndicats rouges, par idéologie autant que par défense de leurs privilèges organisationnels et catégoriels, se préparent à bloquer le Pays et à prendre, une fois de plus, les Français en otages pour une période indéterminée à l'approche de Noël. Pour contrer cette manœuvre inacceptable, le Parti de la France demande que soient prises dès le 5 décembre des mesures de réquisition et appliqué un vrai service minimum dans les transports et les services publics.

    Nous demandons aussi que la question vitale de la réforme des retraites soit soumise à référendum (loi constitutionnelle de 1995 étendant le champ référendaire aux questions sociales et économiques) afin que, loin d'être tranché par une classe politicienne et syndicale clanique, le nœud gordien des retraites soit défait par le peuple tout entier.

    Si cette réforme devait être rejetée par les Français — et tout porte à croire qu'elle le serait — un plan nouveau, courageux et responsable, de sauvegarde de nos retraites tant sur le plan du niveau des pensions que sur celui du financement du système, excluant les régimes spéciaux, consolidant la répartition tout en permettant la complémentarité volontaire, pourrait, grâce à la légitimation populaire acquise, être adopté dans la concertation dans le cadre législatif.