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violence - Page 2

  • Montargis (45) : elle est victime de violences et de menaces après avoir refusé de participer à un mariage blanc avec un ressortissant magrébin

    Publié par Guy Jovelin le 24 juillet 2021

    Plusieurs milliers d’euros contre l’obtention de la nationalité française. Dans le Montargois, cinq personnes ont été mises en examen entre mars et juin dernier pour avoir mis sur pied plusieurs “mariages blancs”. Des informations confirmées par le procureur de la République de Montargis, Loïc Abrial.

    […]

     

    La victime renseigne aux enquêteurs avoir refusé de participer, après avoir accepté dans un premier temps, à l’organisation “d’un mariage blanc”. Elle devait épouser un ressortissant maghrébin en échange de plusieurs milliers d’euros.

    L’enquête avance et permet d’interpeller trois montargois en mars dernier : deux hommes (57 et 27 ans) et une femme de 29 ans. Ils sont mis en examen pour l’organisation de fausses noces, violences et tentative de séquestration sur la victime de 21 ans.

    Mais l’enquête ne s’arrête pas là et révèle d’autres protagonistes membres de cette organisation, spécialisée dans les fausses noces avec des ressortissants venus du Maghreb.

    […]

     

    La République du Centre via fdesouche

  • Nevers (58) : La violence du mari migrant clandestin éclate dès le lendemain du mariage

    Publié par Guy Jovelin le 28 février 2021

    Pas de lune de miel. Pas de période d’heureuse insouciance. Mariée sur le tard, une Nivernaise a subi, au moment de ranger la salle du banquet, le premier accès de colère de son époux. Elle l’aimait. Alors elle est restée avec lui. Malgré ses écarts, qui ont été jugés, mercredi 24 février, par tribunal correctionnel de Nevers.

    (…)

    La quarantaine passée, elle ne l’a jamais envisagé. Toujours est-il qu’elle est profondément éprise. Alors, pourquoi pas ? L’union est célébrée durant l’été 2018. Le jour suivant la fête, il faut faire le ménage dans la salle qu’ils ont louée.

    Elle raconte qu’il refuse d’y participer. Il casse une bouteille de bière et lui pose le tesson sur la gorge en criant : « Ah, tu vas pas me gâcher la vie, maintenant… »

    (…) Il sort de la maison, revient avec un pot de confiture qu’il a rempli d’essence. Il l’asperge avec le carburant et allume un briquet. Elle se voit mourir. Mais il s’arrête dans son geste… qu’il nie, celui-là aussi.

    (…) Tout comme la dernière scène, celle qui conduit au dépôt de plainte, en janvier 2020 : des coups de poing au visage parce qu’elle refuse de lui donner son téléphone mobile. À chaque fois que le ton montait, il lui prenait cet appareil et les clefs de sa voiture. Pour la couper de toute aide ?

    Le JDC via fdesouche

  • Fusillades et règlements de comptes : Nîmes dans la spirale des violences

    Publié par Guy Jovelin le 16 septembre 2020

    16/09/2020 à 8h05
     

    La capitale gardoise voit se développer des règlements de comptes qui rappellent ceux de la grande voisine marseillaise.

    Depuis début 2020, les armes ont parlé à douze reprises à Nîmes (Gard), dont sept fois avec des fusils d’assaut. Des rafales tirées le plus souvent dans les quartiers sensibles de la ville, la ZUP, à l’ouest, et les quartiers sensibles du Chemin bas et du Mas de Mingue, au sud. Le motif? Des conflits entre équipes rivales sur fond de trafic de stupéfiants…

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Parisien via fdesouche

  • Toulouse : 4 morts et 27 blessés par balles ou à l’arme blanche depuis le début de l’été

    Publié par Guy Jovelin le 14 août 2020

    Par  le 14/08/2020

    […]

    Les chiffres sont têtus : 4 morts et 27 blessés par arme à feu, arme blanche ou objet contondant sont à déplorer depuis le 21 juin 2020, selon notre propre comptage. Des statistiques supérieure à l’année dernière, pour la même période de l’année.

    Jusqu’à sept agressions graves en un week-end

    L’été avait, du reste, fort mal débuté. Une série de sept agressions au couteau était recensée entre le vendredi 19 et le lundi 22 juin 2020, laissant plusieurs victimes entre la vie et la mort.

    […]

    Couteau à foison et armes lourdes en circulation

    Cette dernière fusillade a été commise à l’arme lourde, de guerre, avec un fusil de type AK-47 autrement appelé « Kalachnikov », ce qui est loin d’être une première mais dont l’utilisation de plus en plus fréquente inquiète au plus au point les forces de l’ordre.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Metropolitain via actu.fr

  • Harcèlement de rue : « La nuit à Montpellier, la violence est décomplexée (…) On ne rentre jamais seules le soir »

    Publié par Guy Jovelin le 13 juillet 2020

    Sifflements, insultes, menaces…. Nous sommes allées à la rencontre des passantes et des passants de Montpellier pour découvrir, à travers leur témoignage, la réalité du harcèlement de rue.

    « Je ne sors le soir qu’en compagnie de mon gros chien. Et il peut m’arriver de faire des détours pour passer par les rues éclairées ». Mathilde, 28 ans, installée en terrasse rue de Verdun avec des amis, évoque volontiers la problématique de la nuit montpelliéraine. « Je ne sors pas après trois heures du matin. En journée, je peux me défendre, demander de l’aide parce qu’il y a du monde ». Si elle ne s’empêche pas de s’habiller comme elle le souhaite, elle précise avoir besoin « d’une petite préparation mentale » pour certaines tenues plus osées.

    (…) “On ne rentre jamais seules le soir. Même si on n’a pas le budget, on préfère prendre un Uber“. Elles racontent des “mecs qui (les) insultent quand elles marchent en ville : “Ils nous disent « t’es bonne ». Cela arrive tout le temps, mais la nuit, il y a moins de magasins ouverts.

    (…) Attablé avec ses amis rue du Palais des Guilhem, l’homme de 70 ans est scandalisé par l’attitude de certains hommes dans la rue, et se montre radical : « Pour ce genre de personnes, il faudrait mettre en place la castration chimique »« Autrefois, la drague était moins vulgaire, moins agressive », complète son ami Gilles. (…) « Le soir, j’ai peur de me retrouver dans un parking seule. Avec Gilles, ça va encore. » Son mari, en chemise légère, lunettes sur le nez, acquiesce. (…) Leur fille unique, aujourd’hui maman, « ne s’est jamais sentie à l’aise en ville. Elle n’y vient pas ».

    (…) Midi Libre via fdesouche