Publié par Guy Jovelin le 08 août 2022
Source : ndf
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Publié par Guy Jovelin le 08 août 2022
Source : ndf
Publié par Guy Jovelin le 03 juillet 2022
BHL va, encore une fois, mettre dans l’embarras une grande partie de la communauté juive de France, qui va devoir se coltiner cette nouvelle citation qui ne manquera pas de faire le tour du web : « Pour moi, français et juif, Zelensky s’inscrit désormais dans la galerie des héros de ce que j’ai appelé le génie du judaïsme. Zelensky est un héros de l’histoire juive désormais, de l’histoire ukrainienne. »
Si pour être un héros comme BHL, il faut entrer en guerre contre la Libye et assassiner 200 000 êtres humains ou, comme Volodymyr Zelensky, en ne respectant pas les accords de Minsk, entraîner tout son peuple dans une guerre contre la grande Russie de Poutine et ainsi déstabiliser le monde entier… des propos de ce genre vont devenir extrêmement embarrassants pour les Juifs de France qui ne se reconnaissent pas dans cet esprit va-t-en-guerre.
Rappelons à nos lecteurs que si BHL soutient le héros Zelensky, ce dernier soutient le néonazi Stepan Bandera comme un « héros indéniable » ! Nous ne sommes pas certains que le judaïsme valide cette pente glissante.
Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022
Missiles et sanctions, l’UE et les USA disent non au président ukrainien.
Deux petites mais très lourdes portes claquèrent au nez de Zelensky. Il n’y a pas que la situation sur le terrain dans le Donbass qui inquiète le président ukrainien (« difficile de regagner du terrain », dit-il). Mais les relations avec l’UE et les États-Unis, principaux sponsors de la résistance ukrainienne face à l’envahisseur russe, entretiennent également les tensions à Kiev. D’une part, Joe Biden a nié les armes à moyenne portée demandées par l’Ukraine. Et d’autre part, l’Union européenne semble loin du feu vert à un sixième paquet de sanctions aussi incisif qu’espéré.
Il est clair que la guerre se déroule désormais sur plusieurs fronts. Il y a d’abord les bombes, qui continuent d’exploser inexorablement dans l’est du pays et de tuer : aujourd’hui un journaliste français est également tombé. Ensuite, il y a les négociations, à la fois sur le cessez-le-feu et sur l’exportation de céréales. Ces derniers jours, Draghi, Macron et Sholz ont téléphoné à Poutine pour autoriser un couloir depuis le port d’Odessa. Aujourd’hui, c’était au tour de Recep Tayyip Erdogan. Les deux hommes ont discuté de la manière de sécuriser la navigation dans les mers Noire et Azov, désormais entièrement entre les mains de la Russie. Mais aussi de la possibilité d’accueillir une rencontre Russie-Moscou-ONU à Istanbul. Pour l’instant, Poutine a décliné l’offre d’un entretien téléphonique à trois.
Sur le front des sanctions, cependant, les décisions de l’Union Européenne ne sont pas douces aux oreilles de Zelensky. Certes, Josep Borrel insiste sur le fait que l’UE continuera à soutenir Kiev « militairement et avec des sanctions contre la Russie ». Mais en fait les 27 sont divisés sur le sixième paquet de mesures économiques. Aujourd’hui et demain, les dirigeants se réunissent au Conseil européen avec un projet dont tout le monde n’est pas sûr qu’il puisse vraiment être adopté. Il y a un optimisme prudent au sein de la Commission européenne : la Pologne et l’Allemagne ont donné leur feu vert à l’interdiction du pétrole, mais pas la Hongrie d’Orban. L’embargo ne devrait concerner que l’or noir qui arrive par bateau, en protégeant ce qui transite par les oléoducs. Il peut y avoir des clauses d’exclusion pour Budapest. Mais le fait est que, même si l’embargo pourrait éventuellement affecter les 2/3 des exportations russes, pour l’Ukraine le fait que les 27 prennent autant de temps est mauvais signe.
Mais ce qui frappe l’Ukraine, c’est peut-être le choix rendu public aujourd’hui par Joe Biden. Le président américain a décidé de ne pas envoyer de systèmes de missiles capables de toucher le territoire russe. Poutine l’avait indiqué comme une « ligne rouge » que l’Occident ne devrait pas franchir. Et apparemment Washington n’a pas l’intention de se risquer à devoir comprendre si ce que dit le tsar sur la bombe atomique est un bluff ou une véritable intention. Ces derniers jours, CNN avait évoqué l’hypothèse de la Maison Blanche d’envoyer des missiles à moyenne/longue portée comme le Multiple Launch Rocket System (MLRS) et le High Mobility Artillery Rocket System. Mais ce ne sera probablement pas le cas.
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022
Elles «se poursuivront et gagneront en intensité dans les jours et semaines qui viennent, de même que l’acheminement d’équipement humanitaire», a promis le président français qui, ce faisant, honore des engagements pris en avril dernier.
A l’époque, Volodymyr Zelensky avait remercié la France pour ses «envois de matériel militaire d’envergure qui contribuent à la résistance ukrainienne», et Emmanuel Macron avait assuré que cet appui continuerait. Depuis le début de l’offensive russe, le 24 février, la France a livré plus de 800 tonnes d’aide humanitaire à l’Ukraine, dont 13 véhicules de secours additionnels ce week-end.
Les échanges entre les deux chefs d’Etat ne sont toutefois pas toujours sans reproche. Le 12 mai dernier, Volodymyr Zelensky a ainsi accusé son homologue français de vouloir ménager une «porte de sortie» à Vladimir Poutine dans le conflit. Le président ukrainien estimait alors qu’Emmanuel Macron n’avait «pas besoin de faire de concessions politiques» à la Russie.
La présidence française avait répliqué que le locataire de l’Elysée «n’a jamais rien discuté avec Vladimir Poutine sans l’accord du président Zelensky» et, ce mardi, la relation entre les chefs d’Etat français et ukrainien semblait à nouveau au beau fixe.
Source : lesmoutonsrebelles
Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022
Les comédiens ukrainiens ont eu une idée incroyable:
une visite d'Ursula von der Leyen à Boutcha.
Zelensky a énuméré hier (13 avril) les armes dont son pays a besoin.
L'Ukraine a besoin de 7 milliards de dollars par mois de financement immédiat pour couvrir les paiements sociaux et les salaires, a dit le président Volodymyr Zelensky à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, lors de sa visite à Kiev la semaine dernière, selon des source proches du dossier, écrit Bloomberg.
Zelensky a également parlé des défis auxquels l'Ukraine est confrontée dans ses exportations de céréales, et von der Leyen a répondu que l'UE l'aiderait à accélérer les procédures de passage des frontières, écrit le portail.
Par ailleurs, la Banque mondiale prévoit qu'avec la fermeture des ports ukrainiens sur la mer Noire et les graves dommages causés à l'industrie de l'Ukraine orientale, le PIB de l'Ukraine pourrait chuter de 45 % en 2022.
Les prévisions de la Banque mondiale du 10 avril notaient que la récession économique de l'Ukraine dépendrait de la durée de la guerre. Selon la Banque mondiale, la moitié des entreprises ukrainiennes ont fermé, et le volume d'affaires des entreprises restées ouvertes est très inférieur à la normale. La fermeture de la route de la mer Noire a fait tomber de 90 % les exportations de céréales et 50 % des exportations totales du pays, a écrit Vg.hu.
traduction: Albert Coroz