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zelensky - Page 7

  • UE et EU : deux « niet » à Zelensky

    Publié par Guy Jovelin le 31 mai 2022

    Missiles et sanctions, l’UE et les USA disent non au président ukrainien.

    Deux petites mais très lourdes portes claquèrent au nez de Zelensky. Il n’y a pas que la situation sur le terrain dans le Donbass qui inquiète le président ukrainien (« difficile de regagner du terrain », dit-il). Mais les relations avec l’UE et les États-Unis, principaux sponsors de la résistance ukrainienne face à l’envahisseur russe, entretiennent également les tensions à Kiev. D’une part, Joe Biden a nié les armes à moyenne portée demandées par l’Ukraine. Et d’autre part, l’Union européenne semble loin du feu vert à un sixième paquet de sanctions aussi incisif qu’espéré.

    Il est clair que la guerre se déroule désormais sur plusieurs fronts. Il y a d’abord les bombes, qui continuent d’exploser inexorablement dans l’est du pays et de tuer : aujourd’hui un journaliste français est également tombé. Ensuite, il y a les négociations, à la fois sur le cessez-le-feu et sur l’exportation de céréales. Ces derniers jours, Draghi, Macron et Sholz ont téléphoné à Poutine pour autoriser un couloir depuis le port d’Odessa. Aujourd’hui, c’était au tour de Recep Tayyip Erdogan. Les deux hommes ont discuté de la manière de sécuriser la navigation dans les mers Noire et Azov, désormais entièrement entre les mains de la Russie. Mais aussi de la possibilité d’accueillir une rencontre Russie-Moscou-ONU à Istanbul. Pour l’instant, Poutine a décliné l’offre d’un entretien téléphonique à trois.

    Sur le front des sanctions, cependant, les décisions de l’Union Européenne ne sont pas douces aux oreilles de Zelensky. Certes, Josep Borrel insiste sur le fait que l’UE continuera à soutenir Kiev « militairement et avec des sanctions contre la Russie ». Mais en fait les 27 sont divisés sur le sixième paquet de mesures économiques. Aujourd’hui et demain, les dirigeants se réunissent au Conseil européen avec un projet dont tout le monde n’est pas sûr qu’il puisse vraiment être adopté. Il y a un optimisme prudent au sein de la Commission européenne : la Pologne et l’Allemagne ont donné leur feu vert à l’interdiction du pétrole, mais pas la Hongrie d’Orban. L’embargo ne devrait concerner que l’or noir qui arrive par bateau, en protégeant ce qui transite par les oléoducs. Il peut y avoir des clauses d’exclusion pour Budapest. Mais le fait est que, même si l’embargo pourrait éventuellement affecter les 2/3 des exportations russes, pour l’Ukraine le fait que les 27 prennent autant de temps est mauvais signe.

    Mais ce qui frappe l’Ukraine, c’est peut-être le choix rendu public aujourd’hui par Joe Biden. Le président américain a décidé de ne pas envoyer de systèmes de missiles capables de toucher le territoire russe. Poutine l’avait indiqué comme une « ligne rouge » que l’Occident ne devrait pas franchir. Et apparemment Washington n’a pas l’intention de se risquer à devoir comprendre si ce que dit le tsar sur la bombe atomique est un bluff ou une véritable intention. Ces derniers jours, CNN avait évoqué l’hypothèse de la Maison Blanche d’envoyer des missiles à moyenne/longue portée comme le Multiple Launch Rocket System (MLRS) et le High Mobility Artillery Rocket System. Mais ce ne sera probablement pas le cas.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Ukraine : Emmanuel Macron promet à Volodymyr Zelensky d’intensifier les livraisons d’armes

    Publié par Guy Jovelin le 18 mai 2022

     

    Elles «se poursuivront et gagneront en intensité dans les jours et semaines qui viennent, de même que l’acheminement d’équipement humanitaire», a promis le président français qui, ce faisant, honore des engagements pris en avril dernier.

    A l’époque, Volodymyr Zelensky avait remercié la France pour ses «envois de matériel militaire d’envergure qui contribuent à la résistance ukrainienne», et Emmanuel Macron avait assuré que cet appui continuerait. Depuis le début de l’offensive russe, le 24 février, la France a livré plus de 800 tonnes d’aide humanitaire à l’Ukraine, dont 13 véhicules de secours additionnels ce week-end.

    Les échanges entre les deux chefs d’Etat ne sont toutefois pas toujours sans reproche. Le 12 mai dernier, Volodymyr Zelensky a ainsi accusé son homologue français de vouloir ménager une «porte de sortie» à Vladimir Poutine dans le conflit. Le président ukrainien estimait alors qu’Emmanuel Macron n’avait «pas besoin de faire de concessions politiques» à la Russie.

    La présidence française avait répliqué que le locataire de l’Elysée «n’a jamais rien discuté avec Vladimir Poutine sans l’accord du président Zelensky» et, ce mardi, la relation entre les chefs d’Etat français et ukrainien semblait à nouveau au beau fixe.

     

    Source : lesmoutonsrebelles

  • A présent, Zelensky publie la liste des armes dont il a besoin et exige 7 milliards de dollars par mois de l’UE

    Publié par Guy Jovelin le 15 avril 2022

    lesobservateurs

    L'Ukraine a besoin de 7 milliards de dollars par mois, a dit Zelensky à von der Leyen

    Les comédiens ukrainiens ont eu une idée incroyable:
    une visite d'Ursula von der Leyen à Boutcha. 

    Zelensky a énuméré hier (13 avril) les armes dont son pays a besoin.

    L'Ukraine a besoin de 7 milliards de dollars par mois de financement immédiat pour couvrir les paiements sociaux et les salaires, a dit le président Volodymyr Zelensky à Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, lors de sa visite à Kiev la semaine dernière, selon des source proches du dossier, écrit Bloomberg.

    Zelensky a également parlé des défis auxquels l'Ukraine est confrontée dans ses exportations de céréales, et von der Leyen a répondu que l'UE l'aiderait à accélérer les procédures de passage des frontières, écrit le portail.

    Par ailleurs, la Banque mondiale prévoit qu'avec la fermeture des ports ukrainiens sur la mer Noire et les graves dommages causés à l'industrie de l'Ukraine orientale, le PIB de l'Ukraine pourrait chuter de 45 % en 2022.

    Les prévisions de la Banque mondiale du 10 avril notaient que la récession économique de l'Ukraine dépendrait de la durée de la guerre. Selon la Banque mondiale, la moitié des entreprises ukrainiennes ont fermé, et le volume d'affaires des entreprises restées ouvertes est très inférieur à la normale. La fermeture de la route de la mer Noire a fait tomber de 90 % les exportations de céréales et 50 % des exportations totales du pays, a écrit Vg.hu.

    source: https://www.vadhajtasok.hu/2022/04/14/ukrajnanak-havi-7-milliard-dollarra-van-szuksege-mondta-zelenszkij-von-der-leyennek

    traduction: Albert Coroz

     

  • Zelensky veut que « l’Ukraine soit un grand Israël ». C’est-à-dire un Etat totalitaire orwélien.

    Publié par Guy Jovelin le 12 avril 2022

    S’adressant aux journalistes la semaine dernière, le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a décrit l’avenir qu’il envisage pour son pays en des termes inhabituels : comme « un grand Israël ». Attention : quand le juif Zelensky veut que l’Ukraine soit le grand Israël, il le pense dans un sens militariste : l’Ukraine ne serait pas démilitarisée comme la Suisse ni comme le demande la Russie depuis longtemps.

    Les espoirs d’un État « absolument libéral » sont révolus, a ajouté Zelensky, remplacés par la réalité probable des forces armées de défense patrouillant dans les cinémas et les supermarchés.

    « Je suis convaincu que notre sécurité sera le problème numéro un au cours des dix prochaines années », a ajouté Zelensky. Les forces russes s’étant retirées des environs de Kiev, pour se concentrer sur une opération militaire au Dombass, il est temps pour Zelensky d’envisager comment se préparer à la prochaine, et potentiellement beaucoup plus longue, phase de ce conflit.

    « Je pense que tout notre peuple sera notre grande armée. Nous ne pouvons pas parler de la Suisse du futur, probablement, notre État pourra être comme ça longtemps après », a déclaré Zelensky.

    « Mais nous deviendrons définitivement un ‘grand Israël’ avec son propre visage. »

    « Nous ne serons pas surpris que nous ayons des représentants des Forces armées ou de la Garde nationale dans toutes les institutions, supermarchés, cinémas, il y aura des gens avec des armes. Je suis sûr que notre problème de sécurité sera numéro un dans les dix prochaines années » explique-t-il.

    Qu’entend le président Zelensky par « un grand Israël » ? Avec une population plus de quatre fois plus petite et un territoire beaucoup plus petit, l’État juif peut ne pas sembler être la comparaison la plus appropriée. Pourtant, considérez les menaces à la sécurité régionale auxquelles il est confronté, ainsi que sa population hautement mobilisée : les deux pays en difficulté partagent plus qu’on ne pourrait le penser.

    Donc, si Zelensky pense vraiment à Israël comme modèle pour l’Ukraine, voici quelques-unes, selon Daniel B. Shapiro, ancien ambassadeur américain en Israël, des principales caractéristiques totalitaires qu’il pourrait envisager d’adopter (dont certaines sont déjà applicables aujourd’hui). Toutes ces caractéristiques qui sont centrées sur une sécurité militaire, technologique et numérique :

    « Sur le front de la sécurité d’abord : chaque gouvernement israélien promet, avant tout, de garantir la sécurité (…) à la fois transfrontalières et internes, et une grande partie du public choisit qui élire en fonction de ce seul paramètre.

    « Toute la population joue un rôle : (…) La plupart des jeunes adultes israéliens servent dans l’armée, et beaucoup sont employés dans des professions liées à la sécurité après leur service. Les civils reconnaissent leur responsabilité de suivre les protocoles de sécurité et de contribuer à la cause. Certains s’arment même (quoique sous étroite surveillance) pour le faire. Dans ses commentaires, Zelensky a reflété cette réalité lorsqu’il a déclaré que la sécurité « viendra de la force de chaque maison, de chaque bâtiment, de chaque personne ».

    « L’autodéfense sera un moyen : ne pas dépendre officiellement des garanties des autres mais gardez les partenariats de défense actifs. L’autodéfense ne signifie pas un isolement total. Israël entretient des partenariats de défense actifs, principalement avec les États-Unis, qui fournissent une assistance militaire généreuse, mais aussi avec d’autres nations avec lesquelles il partage des renseignements, de la technologie et de la formation. Bien que l’Ukraine ne rejoigne probablement pas l’OTAN de sitôt, elle peut approfondir ses partenariats de sécurité avec les membres de l’Alliance et recevoir de l’aide, des armes, des renseignements et une formation pour renforcer son autodéfense.

    « Le domaine du renseignement est primordial : dès ses premiers jours, Israël a investi massivement dans ses capacités de renseignement pour s’assurer qu’il a les moyens de détecter et de dissuader ses ennemis et, si nécessaire, d’agir de manière proactive pour les cibler. L’Ukraine devra mettre à niveau ses services de renseignement pour concurrencer les capacités russes et s’assurer qu’elle est prête à prévenir et à repousser les attaques russes.

    « La technologie est la clé : bien qu’il compte sur l’aide des États-Unis, Israël choisit également des solutions technologiques maison pour bon nombre de ses plus grands défis. Les défenses anti-roquettes et anti-missiles multicouches, les systèmes anti-drones et la technologie de détection des tunnels ne sont que des exemples récents. L’Ukraine (…) [devra] investir dans ces solutions lui permettra d’être plus réactif et de s’adapter aux nouvelles menaces.

    Construire un écosystème d’innovation est important : la formation que de nombreux Israéliens reçoivent dans l’innovation militaire de haute technologie contribue à un écosystème d’innovation civile, qui à son tour favorise le développement de nouvelles technologies de sécurité. (…) Encourager la libre circulation des talents et des idées entre l’innovation civile et les espaces de sécurité rapportera des dividendes économiques et sécuritaires à long terme. (…)

    « En adaptant l’état d’esprit de leur pays pour refléter les aspects de l’approche d’Israël face aux défis de sécurité chroniques, les responsables ukrainiens peuvent faire face aux défis critiques de sécurité nationale avec confiance et construire un État tout aussi résilient. »

    Non seulement résilient mais aussi de type policier totalitaire en guerre permanente, avec des citoyens armés et irréguliers, manipulés comme des automates par une idéologie paranoïaque de peur et de haine envers le « danger extérieur et intérieur ».

    Dès l’affirmation de Zelensky, le Conseil Atlantique a applaudi. Or le but de cet ‘Atlantic Council’, groupe de réflexion américain basé à Washington DC, est « de promouvoir le leadership américain et de promouvoir des accords internationaux basés sur le rôle central de la communauté atlantique pour relever les défis du 21ème siècle ».

    Les Etats-Unis et l’OTAN sont toujours à la manœuvre derrière Zelensky.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info

  • Jusqu’au dernier Ukrainien ? La pression exercée par l’OTAN sur Zelensky

    Publié par Guy Jovelin le 08 avril 2022

    Le parti de la guerre continue de saper les efforts diplomatiques déployés. Les négociations se poursuivent malgré qu’une certaine puissance de l’Occident fasse pression pour que la guerre se poursuive indéfiniment afin d’effondrer la Russie.

    L’OTAN a mis sous tutelle Zelensky, qui ne pourra pas conclure d’accords avec Poutine pour mettre fin à la guerre. C’est, en résumé, le contenu d’un article du Washington Post qui ne tire évidemment pas cette bombe sans précaution, la diluant dans une note argumentative qui explique comment l’OTAN reconnaît la pleine indépendance de Zelensky, qui est donc libre de négocier avec à l’ennemi de mettre fin à la guerre, mais avertit qu’il ne pourra pas faire de concessions territoriales ou donner à Poutine quelque chose qui a « un semblant de victoire ».

    Bref, l’Ukraine est en fait forcée par l’OTAN de gagner cette guerre et de ne s’entendre avec l’ennemi que si cet accord sanctionne sa défaite. L’article le résume ainsi :

    « Les Ukrainiens sont par conséquent engagés dans une lutte plus large au nom de l’Europe, disent les dirigeants de l’Otan » …

    Telle est la folie, qui fait en fait de cette guerre une guerre par procuration de l’OTAN contre la Russie, dans laquelle l’Ukraine et ses citoyens ne sont considérés que comme un instrument dans ce différend, la boucherie de vies ukrainiennes qui seront sacrifiées sur l’autel de cette guerre sainte contre le prétendu boucher de Moscou n’ayant aucune importance…

    « De toute évidence, commente un article italien, Poutine ne pourra jamais accepter un accord qui ne compense pas d’une manière ou d’une autre les pertes subies à la suite de l’invasion de l’Ukraine, tant sur le plan économique que sur le plan de la vie des citoyens russes. La Russie en serait bouleversée et Poutine avec elle, puisqu’une OTAN victorieuse aurait pour mission supplémentaire d’éviter la répétition de cette criticité, ce qui signifie brutalement le démantèlement de la Russie sic et simpliciter.

    « Dans ces conditions, la paix ou tout accord mettant fin au conflit devient un mirage lointain, voire impossible, annihilé par ce qui est désormais devenu une lutte existentielle entre l’Est et l’Ouest, avec tout le corollaire que les conflits existentiels entraînent, avant tout la diabolisation de l’ennemi, non plus un adversaire géopolitique mais un symbole du Mal (il suffit pour cela d’amplifier ou de construire des récits utilisant les horreurs habituelles des guerres).

    « C’est aussi le but de la campagne qui a commencé avec le massacre réel ou présumé de Bucha, qui n’est que le début d’un récit qui va décliner de manière de plus en plus horrible, puisqu’il faut un crescendo pour frapper l’opinion publique, sinon il y a un risque qu’il s’y habitue et ne participe plus émotionnellement à la guerre et ne partage pas ses « raisons ». »

    Au-delà des vetos de l’OTAN à Zelensky et des incohérences, explicables ou non, de la documentation sur Bucha et sur d’autres choses, il est évident que cette polémique rend plus difficile la poursuite des négociations, même si Zelensky a réitéré qu’il entendait les poursuivre celles-ci étant la seule voie d’issue (BBC). Et les négociations, malgré tout, continuent, comme l’a affirmé le porte-parole du Kremlin (Associated Press).

    La question est de savoir si l’OTAN – et le parti guerrier si puissant en Amérique – laissera ou non l’Ukraine libre de négocier son propre destin. L’article de WP fait craindre que non. Une crainte que partage Marcos Carnelos, ex-ambassadeur italien en Irak dans une récente analyse parue sur Dagospia :

    « Qu’est-il arrivé à Zelensky qui avait été élu justement avec un programme électoral visant à trouver un accord avec la Russie ? Il est plausible que des cercles nationalistes ukrainiens radicaux (néo-nazis ?) l’aient retenu, il y a également eu des entretiens avec certains représentants nationalistes ukrainiens ouvertement menaçants dans le passé face à l’ouverture de Zelensky à une négociation qui réglerait l’affaire avec la Russie en évitant l’actuel carnage.

    « Les historiens s’en occuperont. Aujourd’hui, nous constatons que la position de Zelensky apparaît de plus en plus extrémiste sur la peau de ses citoyens. Si le point de chute de toute l’affaire sera la neutralité de l’Ukraine, reste à savoir si selon le modèle autrichien ou finlandais (les premiers sont différents le second est essentiellement désarmé) à quoi bon prolonger l’agonie quand tout le monde sait qu’il faudra accorder la neutralité vis-à-vis de l’OTAN et que la Crimée et le Donbass sont perdus et probablement aussi le sud du pays (Mariupol) ?

    « Est-ce Zelensky qui a subi une métamorphose ? Est-il conditionné (menacé ?) par des extrémistes internes ? Ou est-il téléguidé par Washington et Londres qui ont intérêt […] que Moscou saigne et s’embourbe le plus possible en Ukraine.

    « J’ai le sentiment que quelqu’un veut combattre la Russie jusqu’au dernier Ukrainien ou même jusqu’au dernier Européen. »

    Avec semble-t-il la bénédiction des technocrates européens, Ursula von der Leyen en tête, et des politiciens au pouvoir dans certains pays du Vieux continent tels Macron et Draghi, asservis aux intérêts mondialistes, et donc étatsuniens.

    Francesca de Villasmundo

     

    Source : medias-presse.info