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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1390

  • Toulouse : Pistolets-mitrailleurs, fusil à pompe, fusil semi-automatique… les policiers découvrent un véritable arsenal dans un appartement du Mirail, 5 suspects en garde à vue

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

    Les policiers de la BST Mirail ont mis la main sur un véritable arsenal militaire ce samedi à la Reynerie. Des armes, des gilets pare-balles, de la drogue et de l’argent. Cinq personnes sont actuellement interrogées par les enquêteurs de la direction territoriale de la police judiciaire. 

    Que comptaient-ils faire avec ces armes de guerre ? Cette question brûle les lèvres des enquêteurs de la direction territoriale de la police judiciaire (DTPJ) de Toulouse depuis ce week-end.

    Samedi après-midi, suite à un renseignement anonyme, une patrouille de la brigade spécialisée de terrain (BST) du Mirail a monté une opération dans le secteur de la Reynerie à Toulouse.  Les policiers ont perquisitionné un appartement qui aurait servi de cache à des personnes connues pour leur implication dans le milieu des stupéfiants. 

    (…) Ils ont bien mis la main sur deux pistolets-mitrailleurs, un fusil semi-automatique et un fusil à pompe. En plus de ces armes, des gilets pare-balles, une petite quantité de drogue et environ 1000€ en liquide ont été récupérés par les policiers.

    (…) La Dépêche via fdesouche

  • Normalisation de la pédophilie : un jeu dangereux.

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

    Côté lutte progressiste contre le patriarcat, ça bouge, chez nos voisins belges. Tout récemment, les Journées du patrimoine à Bruxelles ont été rebaptisées Heritage Days : patrimoine, du latin patrimonium (« héritage du père »), étant devenu obsolète, pas assez inclusif.

    normalisation,pédophilieToujours chez nos amis belges, côté dédiabolisation de la , ça bouge aussi. Une poétesse belge progressiste, Delphine Lecompte, employée par le musée de Bruges, a signé une virulente tribune condamnant la diabolisation des pédophiles, en  d’un acteur flamand accusé d’avoir abusé sexuellement d’enfants. « Il semble plus sage d’accepter que la pédophilie réside en chacun de nous. » Avant de continuer, chers lecteurs, un sac à vomi à portée de main, au cas où, on ne ne sait jamais, pour les estomacs fragiles.

    « Soyons clairs : tout  a le droit de fantasmer sur des relations sexuelles violentes ou non avec des animaux, des enfants et des nains, des cueilleurs de truffes, des broyeurs d’orgues déments… », commence-t-elle sarcastiquement, « les scénarios horriblement sadiques auxquels nous nous livrons pendant les nuits blanches ne sont l’affaire de personne, et cela ne fera de mal à personne. » Lecompte dénonce « la diabolisation d’un groupe vulnérable marginalisé traité comme une racaille maladive durant des années par la communauté moraliste décente », arguant que « la plupart des pédophiles ne se livrent jamais à des actes pédophiles », et « que chaque être humain est parfois attiré par l’innocence ». La  est belle, dit-elle, « le regard sans méfiance, sans tache d’un enfant de chœur de 8 ans, d’un fils de sellier de 6 ans ou d’un marchand de fleurs roumain de 5 ans est ravissant, le summum de la beauté et de la splendeur céleste ». Certains de nos anciens ministres et éminents intellectuels gaucho-soixante-huitards n’en disconviendront pas, n’est-ce pas ?

    « Il me semble très dangereux de diaboliser et de faire taire les pédophiles. De cette façon, le pédophile est presque forcé dans le chemin de l’illégalité et du crime pervers », a-t-elle ajouté, invitant à « connaître et accepter les pédophiles […] qui passent leur vie à combattre leurs sentiments sexuels envers les enfants. L’enfer sur Terre, les enfants sont partout et le pédophile n’a pas le droit de les toucher. » Après #Charlie et , vivement le hashtag #JeSuisPédophile au pays de Marc Dutroux. De nombreuses personnalités ont évidemment dénoncé ces propos tout en en soulignant l’importance de la liberté d’expression.

    Le  a toujours œuvré pour l’acceptation sociale de la pédophilie et la défense des pédophiles (rappelez-vous la fameuse tribune de Libé), mais jusque-là sans réel succès. S’il n’y arrive pas de manière directe, celui-ci peut avancer dans son funeste projet de manière indirecte. Ce processus pourrait être déjà en cours par la promotion de la théorie du  et l’hypersexualisation dès le plus jeune âge, le but machiavélique, et encore inavoué, étant celui d’initier le « souhait pédophile » par le bas plutôt que de défendre celui découlant de plus haut, défendre le désir émanant chez l’enfant, donc. De nos jours, un enfant de 8 ans peut s’identifier fille ou garçon et pourrait bénéficier éventuellement d’une assistance médicale pour « changer son  sexuelle » ; le désir de transition sera donc assouvi, et plus tard le législateur progressiste légiférera « pour encadrer le processus » ; une grande étape est déjà accomplie. Si ce désir de changer de  est comblé, avec en conséquence un changement fondamental dans la nature profonde de l’enfant, pourra-t-on ultérieurement lui refuser l’assouvissement consenti d’une « attirance sexuelle volontaire » émanant de sa part à l’égard d’un adulte ? Les  sont ouverts que ce sera non, par « respect pour l’émancipation de l’enfant ».

    C’est une théorie, « capillotractée » peut-être, et seul l’avenir nous dira si celle s’avère prémonitoire.

     

    Pierre Mylestin

    Médecin

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • Après « Vite ma dose », la nouvelle campagne du ministère de la Santé : « Ça va ? Ça vax ! ».

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

    Je suis là tous les jours à râler, grogner, rouspéter… J’ai tort. On vit une époque formidable, riche en initiatives. On pense à nous, on nous bichonne, on nous panse, on nous dorlote comme on ne l’a jamais fait jusqu’ici. Surtout, personne n’est oublié.

    ça va ça vax,nouvelle campagne du ministère de la santéPour notre bien, donc, nous allons tous passer à la piqûre : 1 dose, 2 doses, 3 doses… ad libitum. Une tous les six mois, puis une par trimestre peut-être, on nous veut tellement de bien. Pas question d’y échapper, il y en a pour tous les âges et toutes les corpulences. Après les cheveux blancs qui, bon gré mal gré, sont presque tous piqués (on va se charger d’aller chercher les derniers au fond de leur cuisine et de leur campagne), on cible maintenant les  générations.

    À quinze jours de la rentrée scolaire, les ados sont dans le viseur. Problème : ceux-là ne décident pas seuls. Il y a encore papa-maman pour le faire à leur place, alors il faut user des vieilles méthodes du marketing : faire de l’enfant un prescripteur de tendances. Le convaincre, lui, comme on le convainc d’enfiler des Nike™ ou des Adidas™ et de s’empiffrer de Nutella™ et de McDo™. Après tout, on est toujours dans la pub, non ?

    J’imagine? d’ailleurs? que ne nous aura pas échappé ce clip gouvernemental interminable, entre deux pubs de voiture, qui met en scène une famille autour du barbecue : il y a les vaccinés et puis les indécis, les moi j’hésite encore entre la brochette de porc et la dinde marinée. « Les chiffres ne mentent pas », assène enfin la vaccinée pour clouer le bec aux réticents. La bonne blague.

    Notez bien que ça ne réussit pas à tout le monde. Ainsi, depuis qu’il a imposé le passe sanitaire, Emmanuel Macron dévisse dans les sondages auprès des jeunes : 61 % de mécontents (+10 points par rapport à juillet) chez les 18-24 ans. Mcfly et Carlito ont fait ricaner la twittosphère et la prestation du Président en T-shirt noir sur Instagram et TikTok n’a pas non plus fait remonter sa cote de popularité.

    Alors, après le slogan « Vite, ma dose », le ministère des Solidarités et de la  a une nouvelle idée qu’elle est bonne, comme disait feu Coluche. Je cite le communiqué de presse : « Afin d’aller vers la nouvelle génération à partir de 12 ans, éligible à la vaccination depuis le 15 juin, le ministère et Skyrock lancent l’opération Vaxibus. Avec le Vaxibus, Skyrock et le ministère des Solidarités et de la  proposent une expérience inédite : se faire vacciner puis enregistrer une dédicace diffusable sur Skyrock. Un semi-remorque, équipé d’une plate-forme de vaccination et d’un studio radio, ira de ville en ville, ouvrant à chacun, et notamment à la nouvelle génération, une vaccination immédiate opérée par une équipe médicale dédiée. »

    La grande opération de racolage vaccinal va commencer le 13 septembre et le Vaxibus sillonner la France de clochers en minarets jusqu’au 9 octobre. Le titre de la campagne : « Ça va ? Ça vax ! »

    Franchement, je suis admirative devant tant de génie créateur. Quelle audace, quelle inventivité ! Il faut multiplier les initiatives, on est en guerre, les p’tits gars ! S’il faut récupérer les seniors récalcitrants (il y en a encore, paraît-il), on peut cibler leur émission favorite : « Plus belle la vie avec ma seringue ». Et pour les moins de 12 ans que convoitent les maniaques de la banderille, « Pique et pique et colegram » en partenariat avec Instagram et Gulli, par exemple.

    Je vous le dis, on vit vraiment une époque formidable !

     

    Marie Delarue

    Ecrivain, musicienne, plasticienne

    Source : https://www.bvoltaire.fr/

  • L’Amérique trompe-l’œil.

    Publié par Guy Jovelin le 31 août 2021

    L’Amérique est-elle une grande puissance ? L’a-t-elle, d’ailleurs, jamais été ? Sans doute non.

    Depuis la guerre de Corée (1950-1953), les États-Unis ont provoqué, dans diverses régions du monde, nombre de conflits, dont ils n’ont gagné aucun. C’est, sans doute, le grand et presque ridicule paradoxe des sept dernières décennies.

    grande puissance,l'amérique trompe-l'oeilCar, à mesure que ces revers politiques et militaires s’accumulaient, grandissait le mythe de la puissance américaine, de son infaillibilité.

    Enhardis par la victoire de 1945 – qui fut, tout de même, une victoire alliée et non uniquement américaine –, les États-Unis se sont installés dans le rôle de protecteurs, de sauveurs du monde. Il leur fallait, dans un élan missionnaire et faisant fi des réalités et des observances locales, imposer partout le modèle occidental, mettre à leurs pieds un monde-miroir. Cependant, les grands projets historiques de Washington – défaire le communisme, d’abord, puis le radicalisme islamique – n’ont été, l’un après l’autre, que de lamentables échecs.

    Pendant que les États-Unis combattaient les communistes en Corée et au Vietnam, leurs propres élites intellectuelles se laissaient convaincre par l’idéologie ennemie, et dans les universités américaines s’installait le gauchisme marxisant du politiquement correct, virulent et nuisible, répandu petit à petit, dans tout le monde occidental. Les décisions de la Maison Blanche, du Congrès, du gouvernement y sont désormais assujetties, la société subit, consentante, ses aberrations, et nul ne s’étonne de voir que le pays s’est mis sous la domination des idées contre lesquelles il s’est battu autrefois.

    Les aventures américaines au Moyen-Orient ont eu, elles, des résultats bien plus malheureux. L’inattention active à la faveur de laquelle le shah d’Iran a dû se retirer au profit de Khomeini est, sans conteste, l’origine d’une vaste déstabilisation dont nous subissons, aujourd’hui encore, les effets néfastes. L’invention des talibans, peu après, voulus comme force de résistance anti-soviétique, a été une parfaite absurdité prouvant à quel point Washington était incapable de comprendre la réalité. Par une inspiration semblable a été créé ben Laden, grand ami, lui aussi, de l’Amérique. La guerre du Golfe, l’invasion de l’Irak et de l’Afghanistan, la Syrie, le « printemps arabe » – autant de débâcles des États-Unis et de son bras armé, l’OTAN, et surtout autant de foyers d’intégrisme musulman créés pour rien. Avec les conséquences que nous n’arrêtons pas de connaître.

    L’illusion de puissance

    La prétention, maintenue depuis trois décennies avec une obstination devenue dogme, que l’Union soviétique s’est désagrégée par peur de la puissance militaire américaine est proprement risible. Tout comme est risible la conviction que les États-Unis seraient en mesure, au besoin, de mater la Russie et la Chine, de sortir victorieux d’un conflit avec l’une ou l’autre – si ce n’est avec les deux à la fois. Pendant la campagne électorale de 2016, le camp démocrate, Hillary Clinton en tête, ne s’était-il mis à rêver d’une Amérique qui se déchaînerait contre la Russie et la mettrait à genoux.

    On se demande aujourd’hui quelle initiative politique américaine pourrait ne pas se terminer par une grave déconfiture. Qui les États-Unis, dans leur incessant élan guerrier, pourraient-ils vaincre ?

    Après tant d’expériences ratées, la défaite américaine en Afghanistan – et sa stupéfiante rapidité, après vingt ans de présence inutile – est-elle véritablement une malencontreuse surprise ? Non. Va-t-elle réconforter la Russie et la Chine ? Sans doute. Comment, dorénavant, prendre au sérieux les gesticulations de Washington, ses menaces de faiseur d’ordre à travers le monde ? L’Europe occidentale vit depuis soixante-dix ans dans l’illusion de la protection américaine ; l’autre Europe, celle qui a échappé au communisme, se croit en sécurité face à l’énorme voisin de l’Est grâce à une certaine présence américaine. Ces certitudes sont-elles encore d’actualité ? Répondre par la négative serait, certes, signe de prudence.

    Une dernière question demeure. L’Amérique – cette Amérique victime de son optimisme qui lance de guerres sans jamais arriver à les gagner – est-elle une grande puissance ? L’a-t-elle, d’ailleurs, jamais été ? Sans doute, la réponse est, une fois de plus, non. Il serait peut-être sage de redessiner nos chimères.

    grande puissance,l'amérique trompe-l'oeil

    Source: https://www.politiquemagazine.fr/

  • Nouvelle-Zélande : le surnom de l’équipe nationale de football, les “all whites”, devra bientôt changer pour être plus inclusif

    Publié par Guy Jovelin le 30 août 2021

    ’All Whites’ (tout blancs), le surnom de la sélection nationale de football, fait débat en Nouvelle-Zélande, où la Fédération songerait à le remplacer par un surnom plus inclusif à l’image de plusieurs équipes américaines, selon Radio New Zealand (RNZ).

    […] Utilisé depuis les qualifications pour la Coupe du monde 1982, ’All Whites’ fait référence à la couleur blanche du maillot et est un clin d’œil au surnom de l’équipe nationale de rugby à XV, les célèbres All Blacks (tout noirs). […]

    Mais selon RNZ, la Fédération de football s’inquiéterait des éventuels sous-entendus raciaux associés à ’All Whites’.

    Ancien défenseur de la sélection, Ryan Nelsen s’est prononcé pour un changement de nom. Même si ça déplaît à une petite minorité, pour moi, c’est suffisant pour le changer​, a-t-il affirmé à RNZ. […]

    Une belle continuité dans l’intégration pour la sélection néo-zélandaise, qui avait déjà instauré la parité salariale entre les sélections féminines et masculines en 2018.

    Ouest-France via fdesouche