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Mme Monsef, à titre de ministre du gouvernement Trudeau, faisait le point sur la situation en Afghanistan et les efforts du Canada pour sortir le plus grand nombre possible de personnes du pays.
D’origine afghane, la ministre sortante a lancé un appel à ceux qu’elle a qualifié «nos frères, les talibans» dans une allocution lue pendant le point de presse.
Thomas Joly, Président du Parti de la France : « Pâmoison et extase de la bien-pensance devant le spectacle malsain et indécent des Jeux Paralympiques. Pendant ce temps-là, la plupart des handicapés français vivent dans la précarité avec moins de 1.000 €/mois, souvent moins bien lotis qu'un migrant fraîchement débarqué. »
À 41 ans, Delphine Maltaverne vit seule avec ses deux enfants dans une caravane. Elle recherche un logement d’urgence sur le bassin d’Arcachon pour sortir de cette situation
« Maman c’est quand qu’on a notre maison ? » Delphine Maltaverne, 41 ans, entend cette phrase de plus en plus souvent. Depuis le mois de juin, elle vit avec ses deux enfants, âgés de 7 et 11 ans, dans une caravane prêtée par une amie. À peine plus de 10 m², sans eau ni électricité.
Ce mardi soir, de premiers réfugiés afghans sont arrivés à l’hôtel val-de-marnais. Deux autres bus étaient attendus dans la soirée. Au total, près de 150 personnes devraient être accueillies sur place pour une quarantaine qui devrait durer dix jours.
Les premiers réfugiés en provenance d’Afghanistan ont été accueillis à l’hôtel Novotel de Charenton-le-Pont ce mardi soir. Peu avant 21 heures est arrivé un premier bus, avec à son bord une cinquantaine de personnes, des familles essentiellement, qui ont été prises en charge par le personnel de la Croix-Rouge avant de gagner leur chambre.
« On m’a prévenu de leur arrivée en début d’après-midi, explique Hervé Gicquel, le maire (LR) de la commune, présent à l’arrivée des premiers réfugiés. Une cinquantaine de chambres ont été réquisitionnées. Ils devraient rester dix jours le temps de la quarantaine. » Selon nos informations, ces familles afghanes sont arrivées de Kaboul en début d’après-midi à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle (Seine-Saint-Denis) et ont passé le reste de la journée à l’aéroport pour de nombreuses vérification.
Harskamp est un village situé dans la commune néerlandaise d'Ede, dans la province de Gueldre. Le 1er janvier 2006, le village comptait 3 450 habitants. (Wikipedia)
HARSKAMP – Une réunion de protestation dans le village de Veluwe de Harskamp contre l’arrivée de réfugiés d’Afghanistan a provoqué des scènes chaotiques dans le centre de Harskamp ce soir. Environ 250 personnes ont crié des slogans et tiré des feux d’artifice. Plus tard dans la soirée, une voiture a été incendiée et des pneus de voiture qui avaient été jetés le long de la route ont également pris feu.
Vers dix heures du soir, la manifestation a dégénéré. Des jeunes qui avaient mis le feu à des voitures empêchent les pompiers d’éteindre les incendies. La police intervient et effectue des charges pour faire reculer les jeunes. La police utilise également des chiens. Les jeunes refusent de céder la place.
Plus tôt dans la soirée, les jeunes ont défilé avec des banderoles jusqu’à la clôture du stand de tir de Harskamp, où sont hébergés jusqu’à 800 réfugiés afghans. Selon les jeunes, ils craignent pour leur sécurité et causent des nuisances. “Cela ne correspond pas à notre culture”, ont crié jeunes et vieux dans la rue. “Pourquoi cela ne peut-il pas se produire à Rotterdam ?“. Le groupe crie des slogans tels que “notre peuple d’abord“, et de temps en temps, des feux d’artifice sont allumés. Des banderoles ont été accrochées sur la clôture.
La police se contente de parler au groupe de temps en temps. Un garçon portant un drapeau avec le texte “Eigen volk eerst” (Notre peuple d’abord). Dans la rue, on entendait des messages tels que “pas de djihad“.
L’Agence centrale pour l’accueil des demandeurs d’asile (ACO) souhaite offrir un hébergement d’urgence à un maximum de 800 réfugiés dans la caserne au cours de la période à venir. Ils doivent quitter le pays immédiatement car ils ne sont pas à l’abri des talibans, qui ont pris le pouvoir.
Les premiers Afghans évacués du pays par les Pays-Bas sont maintenant arrivés à Harskamp. Trois lieux d’accueil ont été ouverts ces derniers jours ; aujourd’hui, il a été annoncé qu’un lieu d’accueil sera également ouvert à Nimègue.