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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1468

  • Orban contre la déferlante progressiste.

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    © DR

    Hier les militants LGBT protestaient dans toute l'Allemagne contre le Premier ministre hongrois Viktor Orban, et l'un deux s'introduisait dans le stade munichois au début du match Allemagne-Hongrie. Face à la déferlante progressiste, Orban ne semble pas faiblir.

    Un militant LGBT s’est introduit sur la pelouse du stade de Munich au début du match entre la Hongrie et l’Allemagne, pour brandir le drapeau arc-en-ciel face à l’équipe hongroise. La ville de Munich avait prévu de colorer son stade aux couleurs du même drapeau en signe de protestation contre la politique conservatrice et prétendument homophobe de Viktor Orban. Il avait en conséquence refusé de se déplacer pour l’occasion malgré sa passion pour le football. L’UEFA, organisateur du tournoi, a finalement décidé d’annuler l’initiative, invoquant la neutralité politique et religieuse de la compétition. Décision qui a suscité une vague de critiques, et qui a entraîné cet acte militant. Aussi, le drapeau arc-en-ciel décorait hier l’Allemagne en plusieurs endroits – le musée juif de Munich, les stades de plusieurs villes, le compte Twitter de la police de la ville, des locomotives de la société de chemins de fer locale, et certaines entreprises comme Volkswagen et BMW, qui ont sauté sur l’occasion pour faire du pinkwashing.

    En France, Clément Beaune, secrétaire d’État aux affaires européennes, a qualifié ce refus de « décision politique ». Mieux encore, la jadis conservatrice Valérie Pécresse, invitée sur France Info ce matin, a déclaré : « Aujourd’hui, ce que fait monsieur Orban vis-à-vis des Hongrois homosexuels est inacceptable ». De son côté, le ministre des Affaires étrangères hongrois s’est dit rassuré : « Dieu merci, les dirigeants du football européen ont fait preuve de bon sens ».

    Mais quelle est la politique du Premier ministre qui est à ce point décriée ? La Hongrie a adopté le 15 juin dernier, à 157 voix contre une, un texte de loi qui « interdit la promotion de l’homosexualité auprès des mineurs »« La pornographie et les contenus qui représentent la sexualité ou promeuvent la déviation de l’identité de genre, le changement de sexe et l’homosexualité ne doivent pas être accessibles aux moins de 18 ans ». L’objectif est de « protéger les droits des enfants ». Si l’on n’est pas encore certain du périmètre d’application du texte, sont dans le viseur les programmes télévisés, publicités et livres pour enfants remaniés pour « dédramatiser l’homosexualité ». Question d’éducation donc, et de perpétuation d’une norme sociale.

    Face aux nombreuses contestations, en particulier de ses homologues européens dont Emmanuel Macron, Orban a rappelé que cette loi ne concernait pas les homosexuels mais « la façon dont les parents veulent faire l’éducation sexuelle de leurs enfants », et qu’il « défend les droits des homosexuels ». Le texte en lui-même est relativement ambigu, certainement pour essayer de passer à travers le filet de la Commission européenne. Cette dernière a tout de même engagé la procédure prévue par l’article 7 du traité de l’UE pour violation présumée de l’État de droit. Sa présidente, Ursula Von Der Leyen, avait réagi : « Ce projet de loi hongrois est une honte. Il discrimine sur la base de l’orientation sexuelle et s’oppose aux valeurs fondamentales de l’UE. On ne fera pas de compromis ».

    En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple

    Des milliers de manifestants étaient descendus dans les rues pour dénoncer la « cruelle campagne politique » du pouvoir. Le texte s’inscrivait dans une série de lois visant à lutter contre la pédophilie, un « amalgame » dénoncé par les militants. En décembre, le gouvernement avait interdit l’adoption par des couples homosexuels et inscrit la notion traditionnelle de la famille et du « genre » dans la Constitution. Le texte ajoutait : « L’éducation est assurée conformément aux valeurs fondées sur l’identité constitutionnelle et la culture chrétienne de la Hongrie »« C’est un jour sombre pour les LGBT et un jour sombre pour les droits humains » larmoyait Amnesty International.

    Orban a retiré dans la foulée les accréditations des études de genre. Une ambition conservatrice, ou « illibérale », que le Premier ministre hongrois affiche depuis le début de son mandat – en 2018, il entamait une politique familiale ambitieuse, subventionnant les familles d’au moins trois enfants, lui-même montrant l’exemple avec ses cinq enfants. Des choix qui provoquent un bras de fer avec Bruxelles depuis longtemps, sa Charte des droits fondamentaux interdisant « toute discrimination fondée sur l’orientation sexuelle ». En 2020, la Cour de justice européenne avait déjà condamné la Hongrie à trois reprises pour sa politique migratoire restrictive. Il ne fait pas bon défendre son peuple quand on est dans l’UE. Le Premier ministre néerlandais Mark Rutte a déclaré jeudi « La Hongrie n’a plus rien à faire dans l’UE ». Nous n’aurions pas dit mieux.

    Source : https://lincorrect.org/

  • Ignace – Le vaccin pour marcher dans les clous

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    Auteur : 
    Ignace - Le vaccin pour marcher dans les clous
    Ignace – Le vaccin pour marcher dans les clous

    Source : medias-presse.info
  • APRES LE MARIAGE POUR TOUS, LE VACCIN POUR TOUS ?

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    apartheid,le vaccin pour tous

    Pieter Kerstens

    Comme un virus peut en cacher un autre, par exemple le virus du contrôle généralisé, on s’aperçoit que l’épidémie du Covid-19 a aussi contaminé les esprits et supprimé toute forme de jugement sain.

    La plupart des gouvernements européens, sous la contrainte des eurocrates de Bruxelles, nous ont imposé des couvre-feux, des astreintes à domicile et des interdictions diverses depuis 18 mois, sans consultation des assemblées élues ni des citoyens. Par contre, jour après jour, nous avons été matraqués par des informations plus pessimistes les unes que les autres, installant de cette manière un climat d’anxiété et de peur parmi la population.

    Protéger les vieux, les obèses, les diabétiques ou les cardiaques ?

    Incapables de stopper cette épidémie, d’abord par manque de masques et de tests de dépistages, puis par l’encombrement des services de réanimation et enfin par une gestion calamiteuse de la campagne de vaccination, les princes qui nous gouvernent nous avaient répété plusieurs fois que les vaccins ne seraient pas obligatoires.

    En occident, et en Europe en particulier, très peu de virologues ou d’épidémiologistes ont eu la possibilité de nous démontrer que ce SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), en provenance de Chine, suivait une longue liste d’épidémies respiratoires et n’était pas plus mortel que les précédents si l’on suivait 3 règles de bon sens, appliquées ailleurs dans le monde :

    • Port d’un masque en milieu fermé et non aéré.
    • Dépistage des individus contaminés
    • Isolement en quarantaine des malades.

    C’est pourtant ce qui avait été appliqué par la France lors du rapatriement de 225 citoyens résidants à Huhan en janvier 2020 qui avaient été mis en quarantaine dans un village de vacances dans le sud du pays et isolés du reste de la population. Résultat = pas de propagation ni d’hospitalisation ! Alors pourquoi cette mesure contraignante n’a-t-elle pas été imposée aux centaines de milliers d’autres malades depuis ? Par manque de volonté et de courage politique !

    C’est aussi ce qui est imposé pour toutes les maladies contagieuses (tuberculose, hépatites, choléra, ou autres) partout dans le monde. D’autant plus que les hôtels étant fermés par arrêtés ministériels successifs, il était donc possible de les réquisitionner pour recevoir les dizaines de milliers de malades durant 10 jours en isolement total dans leurs chambres. 

    Apartheid, discrimination et séparation.

    On en arrive après de longs mois de tergiversation à brûler un cierge et à invoquer la Pachamama pour que le Covid cesse de nous emmerder et de mettre notre économie à genoux.

    De nombreux secteurs de l’activité économique en Europe sont proches de l’asphyxie et des dizaines de milliers d’entreprises vont devoir mettre la clef sous la porte à cause des décisions imbéciles de ministres incompétents et arrogants.

    Et le pire est en train de se mettre en place : le passeport sanitaire.

    En plus du carnet de vaccination, du passeport de voyages et du carnet jaune international, ce « passeport sanitaire » imaginé par les bureaucrates de Bruxelles identifiera les individus vaccinés et leur permettra certains privilèges. N’oublions pas que « la vaccination n’est pas obligatoire », selon les déclarations gouvernementales.

    C’est la énième mesure de séparation entre les citoyens, qui empêcherait la propagation et l’extinction de l’épidémie. Ainsi, les avions, les night clubs, les stades, les musées, les salles de concerts, les cinémas, les casinos, les restaurants et autres lieux de rassemblements ne seront plus accessibles à ceux qui ne seraient pas vaccinés ! Plus de rav’parties ou de fêtes sauvages pour les récalcitrants…

    Cette discrimination pourrait également être étendue aux métros, trams, bus, agences bancaires, bureaux de la Poste, les agences pour l’emploi, les gares, les salles de shoot, les homes ou les restos du cœur, si l’on veut rester dans la logique et l’esprit de ce nouvel apartheid qui interdirait la mixité entre vaccinés et pestiférés !

     

    Source : synthesenationale

  • Bourses : le conte de fée post-covid pourrait bien virer au drame.

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2021

    Wall Street finit ce vendredi à des niveaux records, portée par les 850.000 postes créés en juin. La Bourse de Paris affiche un repli de 1,06 % sur la semaine, mais une hausse de 17,25 % depuis le début de l’année (14,59 % pour le Dow Jones et 14,01 % pour le Dax). Pourtant, avant même la crise du Covid, début 2020, certains économistes criaient déjà au loup et au krach à venir… Alors où est l’os ? Que se passe-t-il ?

    bourses,conte de fée post-covid,drameSuite à la crise du Covid, le CAC 40 a progressé de +75 % depuis son point le plus bas du 18 mars 2020. Le CAC 40 a même dépassé le sommet de 6.168 d’avant la crise des « subprimes » en 2008, et il tangente à 6.552 le sommet historique de 6.922 du 4 septembre 2020 d’avant l’éclatement de la bulle internet !

    Si l’on écoute Bruno Le Maire, tout va très bien ! Même pas besoin d’un second plan de relance à la . La  sera de 5 % en 2021, 6 % même selon l’INSEE. Le rebond de l’économie en septembre dépendra seulement de la vaccination et d’un plan d’investissements publics dans les secteurs innovants en jouant la carte de la coopération en . La seule mesure qui s’impose, c’est la retraite à 64 ans, après le retour à l’équilibre de l’assurance , et 321.000 emplois seront de nouveau créés en 2021. Quant à la BCE, elle s’engage à maintenir une aide de création monétaire jusqu’en mars 2022, soit 80 milliards d’euros mensuels du plan PEPP et 20 milliards d’euros mensuels du programme traditionnel d’achats (APP). L’inflation, elle, culminerait à 2 % pendant l’été, mais régresserait ensuite pour atteindre environ 1,5 %.

    Aux Etats-Unis, même conte de fées pour le « progrès historique » selon Joe Biden, avec un taux de croissance de 7 % en 2021, le plus élevé depuis 1984, et un taux de chômage de 5,9 % ! La Fed doit continuer son programme d’achat de 120 milliards de dollars mensuels, dont 80 milliards d’obligations d’Etat et 40 milliards d’actifs adossés à des prêts hypothécaires (MBS). Tout va donc très bien aux Etats-Unis, nonobstant les 6,8 millions d’emplois qu’il manque encore par rapport à février 2020.

    Alors vive le Covid qui ne serait pas un virus, mais bel et bien un don du ciel pour faire monter les bourses ! La deuxième jambe de descente des cours aux enfers lors de la crise de 1929, non seulement n’a pas eu lieu en 2020, mais a été remplacée bien au contraire par une montée lente et continue jusqu’à fin 2020 et premier semestre 2021. Mais si les Bourses ont monté, c’est uniquement parce les Etats ont distribué à gogo de l’argent emprunté qu’ils n’avaient pas et parce que les  centrales ont pratiqué une politique monétaire non conventionnelle en actionnant la planche à billets du « QE » ! Il n’y a donc pas de miracle Covid !

    La dette de la France, suite à la facture astronomique de 424 milliards d’euros du « n’importe quoi, quoi qu’il en coûte » de la crise sanitaire entre 2020 et 2022, atteint aussi un record absolu effrayant ! La baisse de la dette prévue à 118 % du PIB pour 2027, c’est du pipeau ! Les étrangers n’achètent plus d’ores et déjà la dette de la France. Grosso modo, le stock actuel de la dette française, c’est 25 % pour les établissements français, 25 % pour la BCE et 50 % pour les étrangers. Même schéma, à quelques nuances près, aux Etats-Unis, avec un endettement démentiel et le risque croissant de la crise à venir du dollar. La France est en fait déjà en faillite avec des taux proches de 0 %, mais seule l’augmentation naturelle des taux d’intérêt provoquera la banqueroute.

    Il ne faut pas oublier non plus l’affrontement -USA, les risques sanitaires possibles du variant delta, le risque d’inflation qui pourrait ne pas être transitoire aux Etats-Unis (prix des maisons +14,88 % en un an) si la vitesse de la circulation de la monnaie augmente, les délocalisations qui continuent sournoisement et le chômage structurel qui risque de s’accélérer avec le télétravail des services dans les pays émergents…

    Toutes choses égales par ailleurs, nous venons d’éviter la crise de 1929 à deux reprises, en 2008 et en 2020, avec des moyens non conventionnels, mais la contrepartie, c’est que nous nous dirigeons vers le « Méga1929 » du siècle des siècles, avec l’effondrement du système, l’hyper-inflation, et l’écroulement des monnaies. Nous vivons présentement les « roaring twenties » des années 1920. Les Français ont en fait une dette de 7.000 milliards d’euros, soit plus de 100.000 euros par habitant impossible à rembourser, si l’on tient compte des dettes hors bilan ! Voilà la triste réalité. Les Bourses qui montent actuellement jusqu’au ciel, c’est tout simplement l’arbre qui cache momentanément la forêt de la décadence économique et civilisationnelle de l’Occident, et plus particulièrement de la France et de l’Italie.

     

    Marc Rousset

    Économiste
    Ancien haut dirigeant d'entreprise
  • L’immunité collective post-injection pseudo-vaccinale anti-Covid : mythe versus faits avérés (Dr Gérard Delépine)

    Publié par Guy Jovelin le 05 juillet 2021

    Auteur : 

    Actuellement tous les membres du gouvernement et les médias nous promettent qu’on sera débarrassé du Covid et qu’on retrouvera nos libertés dès que nous serons tous vaccinés grâce à l’immunité collective. Avant de les croire, vérifions les faits avérés dans le monde réel.

    Quatre grands pays (GB, Israël, Chili, Seychelles) et un mini état (Gibraltar), champions de la vaccination, constituent les modèles de « réussite vaccinale » avec plus de 60 % de leurs populations vaccinées et un recul moyen de six mois.

    L’examen de leur situation sanitaire Covid19 basé sur les données de l’OMS et OurWorldinData permet de mesurer objectivement l’effet d’une couverture vaccinale élevée.

    Explosion post-vaccinale des contaminations et de la mortalité à Gibraltar

    À Gibraltar, la vaccination a commencé en décembre 2020, et a inclus les visiteurs espagnols permettant d’atteindre un taux de couverture vaccinale de 115 %.

    Six mois après cette vaccination les chiffres officiels de l’OMS objectivent une explosion des contaminations (multiplié par 4) et des morts attribuées au Covid19 (multipliées par 19).

    Les autorités sanitaires qui ont organisé la campagne de vaccination prétendent qu’il n’y a aucune relation de cause à effet sans donner la moindre explication alternative.

    Situation très préoccupante aux Seychelles depuis la vaccination

    L’archipel de près de 100 000 habitants avait été presque entièrement épargné par l’épidémie avant la campagne de vaccination qui a commencé en janvier 2021. Champion africain de la vaccination, il compte actuellement près de 70 % de sa population entièrement vaccinée et doit faire face depuis à une situation sanitaire incontrôlée.

    Selon l’agence de presse des Seychelles, un tiers des cas actifs impliquait des personnes entièrement vaccinées. Les autres avaient reçu une seule dose ou alors n’étaient pas encore vaccinées.

    En réponse à cette flambée de l’épidémie, l’archipel a durci les mesures. Les écoles sont fermées, les réunions entre membres de foyers différents ne sont plus autorisées et le télétravail est fortement encouragé. De plus, les bars, restaurants et commerces doivent désormais fermer plus tôt le soir et les activités sportives sont annulées.

    Le couvre-feu à 23 heures reste quant à lui toujours d’actualité. La ministre de la Santé Peggy Vidot parle même d’une « situation critique ». La saison touristique 2021 est maintenant fortement compromise.

    La victoire à la Pyrrhus britannique

    Il est de bon ton dans les médias de prétendre que les résultats de la vaccination sont excellents en Grande-Bretagne champion européen de l’Astra Zeneca. Pourtant curieusement les données de l’OMS et de OurWorldinData montrent le contraire.

    En effet, les contaminations et la mortalité ont fortement augmenté pendant les trois mois post-vaccination cumulant autant de morts attribuées au Covid-19 que les dix mois précédents.

    De même, la vaccination a été suivie d’une forte hausse des contaminations journalières

    Avant la vaccination au 7/12/2020, après dix mois d’épidémie la Grande-Bretagne recensait 1 753 599 cas confirmés contre 4 828 467 aujourd’hui (+175 %)

    Et si une certaine diminution des contaminations, transitoire en mars et début avril a fait espérer que le vaccin protégerait l’avenir, l’apparition d’un variant a fait disparaître cet espoir avec reprise forte des contaminations depuis début juin.

    Le 2 juillet l’incidence des nouveaux cas confirmés dépassait les 20 000 cas

     représentant le chiffre le plus élevé depuis le 2 février 21.

    Cette évolution montre qu’après une forte poussée de mortalité et de contamination post vaccinale précoce, les vaccins ne protègent pas d’une récidive de l’épidémie.

    La catastrophe chilienne malgré une vaccination très large

    Le Chili est le champion sud-américain de la vaccination, avec près des deux tiers de la population vaccinée. La campagne de vaccination contre le coronavirus a commencé vendredi 24 décembre et au 25 juin 2021, un total de 21 966 892 doses a été administré.

    Mais cette vaccination a été suivie malgré des confinements récidivants par une forte hausse, tant des contaminations que de la mortalité.

    La mortalité hebdomadaire a été multipliée par 2,5 depuis la vaccination et ne paraît pas devoir diminuer malgré une reprise des confinements.

    Dans ce pays, on peut réellement parler de catastrophe vaccinale. Il faut espérer que les autorités sanitaires sauront sortir du dogme vaccinal et recommanderont enfin les traitements précoces qui ont été utilisés avec succès en Inde et au Mexique (entre autres).

    Le faux succès d’Israël

    Israël est le champion moyen-oriental du vaccin Pfizer. En termes de personnes vaccinées, le succès de la campagne de vaccination est indéniable avec 63 % de la population israélienne qui auraient reçu au moins une dose de vaccin.

    Mais du point de vue médical, c’est un échec.

    La vaccination commencée le 19 décembre 2020 a été suivie d’une augmentation considérable des contaminations journalières, dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

    En novembre 2020, 18 000 nouveaux cas confirmés avaient été enregistrés. Les mois de janvier (218 000 cas) et février (134 000 cas) ont établi les records mensuels de contaminations depuis le début de l’épidémie.

    Le 18 décembre 2020 (veille du début de la vaccination), après dix mois d’épidémie Israël comptait 366 000 cas confirmés. Les sept mois suivant la vaccination ont fait passer ce nombre à 842 218.

    Cette période post vaccinale a aussi été marquée par une mortalité sans précédent.

    Les avocats de la vaccination prétendent que cette augmentation ne serait pas due à la vaccination, mais seulement à la coïncidence malencontreuse de la survenue d’une flambée épidémique. Mais comment une poussée au hasard surviendrait avec le même délai dans tous les pays qui vaccinent beaucoup ?

    Et, comme en Grande-Bretagne, après une accalmie transitoire, on observe actuellement une reprise de l’épidémie depuis la mi-juin

    L’autre argument traditionnel des pro vaccins est que la vaccination n’aurait pas eu le temps d’agir, mais les exemples du Chili et des Émirats Arabes Unis montrent que même six mois après le début de la vaccination, le nombre de contaminations hebdomadaires reste plus élevé qu’avant vaccination.

    Conclusions

    Dans tous les pays champions de la vaccination, celles-ci ont été suivies d’une augmentation considérable des contaminations et de la mortalité pendant 8 à 24 semaines.

    Les accalmies de 2 à 3 mois qui ont parfois suivi ne témoignent pas d’une immunité vaccinale, puisqu’autant en Grande-Bretagne qu’en Israël, on assiste à des reprises de l’épidémie par les variants que la vaccination a favorisés.

    Espérons que la raison reviendra aux dirigeants pour qu’ils arrêtent cette course insensée à la vaccination pour une épidémie peu létale, sauf pour une petite minorité de la population, et pratiquement terminée en France. Les dramatiques effets secondaires de ces injections en essai thérapeutique jusqu’en 2023 sont un élément de plus qui devrait rendre les prescripteurs prudents sur ce gigantesque essai mondial.

     

    Source : medias-presse.info