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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 1467

  • Portugal et Covid : la justice confirme que seuls 152 décès sont dus au Covid et non 17 000

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    Une récente décision de justice portugaise est passée inaperçue, si ce n’est occultée par les mass médias. Pourtant elle bouleverse la narration officielle sur la mortalité covidienne.

    Selon une décision du tribunal de Lisbonne, seulement 0,9% des « cas vérifiés » sont morts de covid, soit 152, et non 17 000 comme le prétend le gouvernement. « La décision a prouvé que le gouvernement a falsifié les statistiques sur les décès dus au covid-19 » écrit GreatGameIndia, le média qui révèle l’affaire et publie le jugement.

    « À la suite d’une pétition citoyenne, explique l’article, un tribunal de Lisbonne a été contraint de fournir des données vérifiées sur la mortalité covid-19.

    Selon la décision (lire l’intégralité du jugement ici), le nombre de décès vérifiés dus au covid-19 de janvier 2020 à avril 2021 n’est que de 152, et non d’environ 17 000 comme le prétendent les ministères. 

    Tous les « autres » sont décédés pour diverses raisons, bien que leur test PCR soit positif.

    Les données proviennent du Sistema de Informação dos Certificados de Óbito (Système d’information sur les certificats de décès – SICO ), le seul système de ce type au Portugal.

    La référence à 152 certificats de décès délivrés « sous la supervision du ministère de la Justice » est fallacieuse, car tous les certificats de décès sont délivrés sous les auspices du ministère de la Justice, étant la seule institution qui les délivre. »

    Ce n’est pas la première fois que la justice portugaise condamne la gestion et les mesures prises par le gouvernement du pays :

    « L’année dernière, rappelle GreatGameIndia, une cour d’appel portugaise a statué que les tests PCR ne sont pas fiables et qu’il est illégal de mettre en quarantaine des personnes uniquement sur la base d’un test PCR. Le tribunal a déclaré que la fiabilité du test dépend du nombre de cycles utilisés et de la charge virale présente. Citant Rita Jaafar et l’Oxford Academy, le tribunal concluait que ‘’si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est la règle dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que cette personne soit infectée est inférieure à 3%, et la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97%‘’ ».

    Francesca de Villasmundo   

     

    Source : medias-presse.info

  • Selon un rapport parlementaire : « En France, nous faisons face à des filières d’immigration irrégulière à des fins médicales »

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    L'aide médicale de l'État (AME) facilite l'accès aux soins des personnes en situation irrégulière. Elle ouvre droit à la prise en charge à 100 % des soins avec dispense d'avance de frais.
    Hospices Civils de Lyon
    Hôpitaux Universitaires de Marseille

    C’est un rapport parlementaire explosif. Près de 90 pages consacrées à la prise en charge médicale des personnes en situation irrégulière et des demandeurs d’asile en France. Les dépenses, en augmentation, se révèlent plus importantes qu’affichées et les données relatives aux bénéficiaires ou aux soins trop souvent inaccessibles. Avant la publication de ce document, d’autres avaient conclu que la France était l’un des pays les plus « généreux » d’Europe, à l’instar de Didier Leschi directeur de l’Office français de l’immigration et de l’intégration, dans son ouvrage Ce grand dérangement. L’immigration en face (Tracts Gallimard, 2020). Conséquence : des filières migratoires voient le jour. Entretien avec celle qui est à l’origine de ce rapport, la députée LR de l’Orne Véronique Louwagie.

    Marianne : Quels sont les grands enseignements de votre rapport ?

    Véronique Louwagie : Tout d’abord, le fait que nous ne connaissons pas précisément la dépense pour soins dont bénéficient les étrangers en situation irrégulière et les demandeurs d’asile dont la grande majorité sera déboutée. Le montant de la dépense dépasse la dépense affichée pour la seule aide médicale d’État (AME). J’ai tenté de déterminer le coût exact de cette prise en charge médicale. Je me suis rendu compte que pour en avoir une idée réelle, il serait nécessaire d’additionner la dépense des onze dispositifs existants prenant en charge les migrants. Je n’ai pu en chiffrer que six. J’arrive à 1,5 milliard d’euros en 2020, soit un montant supérieur de près de 60 % au coût de la seule AME. Il en reste donc cinq autres dont le montant n’est pas connu.

    « Peut-on considérer que le traitement de l’obésité appartient aux soins urgents ? Je ne le pense pas. »

    Fait-on face, selon vous, à des filières d’immigration irrégulière à des fins médicales ?

    En effet, le rapport des Inspections le dit. Aujourd’hui, les nombreuses personnes qui font une demande d’asile sont en situation régulière tant que leur demande n’a pas été traitée. Elles sont alors couvertes par le dispositif d’assurance maladie de droit commun, la protection universelle maladie (Puma). Or, nous savons qu’il y a un certain nombre de personnes qui font des demandes d’asile, émanant de pays d’origine dits « sûrs », uniquement pour avoir un accès aux soins. Puis une fois les personnes déboutées, beaucoup déposent une demande de titre de séjour pour soin. Et dans l’attente, elles seront prises en charge par l’AME.

    La couverture santé proposée aux étrangers en situation irrégulière et aux demandeurs d’asile serait la plus « généreuse » d’Europe. Tous les pays consultés ne contiennent pas de disposition équivalente à la France

    […]

     

    Marianne via fdesouche

  • Taux de réussite bananier au baccalauréat de 89%

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    Avec un taux de réussite bananier au baccalauréat de 89% avant les oraux de rattrapage (95% pour le bac général), cette année 2021 frôle le record établi en 2020 de 95,7% d'admissibles après les oraux de rattrapage (91% à l'issue des seuls écrits). Rappelons, sans remonter à l'avant guerre, que ce taux oscillait dans les années 60 entre 58% et 62%, alors que le bac était encore le diplôme prestigieux, envié, convoité et élitiste qui, tout en leur ouvrant les portes sélectives de l'enseignement supérieur, sanctionnait le parcours secondaire réussi de jeunes Français formés aux humanités, aux sciences, aux langues, aux arts, à l'effort physique et à la connaissance de leur Histoire, de leur géographie et de leur langue — avant que le vent mauvais de mai 68 ne vînt tout balayer.
    Ces chiffres, dans leur extravagance, suffisent à démontrer le ridicule d'un diplôme dévalué autant que dévoyé par de multiples attentats à la connaissance, à l'enseignement et à la culture générale perpétrés par les tenants idéologiques et militants de l'égalitarisme et de l'ouverture aux "minorités". De réformes en abandons de toute rigueur pédagogique, de surenchère dans l'abaissement des niveaux en consignes académiques visant à la "harmonisation" des notes dans le sens que l'on devine au nom du "principe de bienveillance", cet examen est devenu au fil des ans et des lubies de ministres démagogues ou chimériques, un chiffon de papier froissé.
    Il convient de mettre fin à cette mascarade. La suppression pure et simple du baccalauréat apparaît désormais comme une nécessité et une urgence.
    Les études secondaires de nos jeunes Français seraient alors couronnées par un diplome d'Etat, sans complaisance ni favoritisme, évalué par un contrôle continu strict engageant la responsabilité des enseignants et soumis à des normes précises, tandis que l'entrée à l'université comme aux classes préparatoires seraient soumise à un examen spécifique supervisé par l'Etat mais organisé par chaque établissement permettant ainsi une réelle sélection et évitant aux jeunes n'ayant pas le niveau requis de perdre leur temps alors que d'autres filières de formation technique et professionnelle leur ouvrent les bras.
    Il va de soi que seul un État national pourra mettre en œuvre cette réforme salvatrice.
    Jean-François Touzé.
    Aucune description de photo disponible.
     
     
     
     
     
     
     
  • Près d’un quart des Français a déjà subi un cambriolage de sa résidence principale, une surreprésentation des étrangers parmi les mis en cause

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    « Surreprésentation des étrangers parmi les mis en cause » parmi les cambrioleurs
    
    En 2017, « 11 % ont une nationalité africaine, alors que 3 % de la population qui réside en France est d'une nationalité d'Afrique ». Chiffre auquel s'​ajoutent 7 % qui ont une nationalité hors UE, et encore 11 % d'une nationalité européenne. Un total de 29% d'étrangers alors qu'ils ne représentent que 7,4 % de la population française.
    
    Source : Ministère de l'Intérieur / INSEE

    Près d’un quart des Français a déjà subi un cambriolage de sa résidence principale, et pour plus de la moitié (14%), ce n’est pas une lointaine expérience mais une effraction vécue ces 10 dernières années.

    Tandis que nombre de Français s’apprêtent à prendre la route des vacances pour profiter de la saison estivale, l’Institut français d’opinion publique (Ifop) publie ce mardi 6 juillet une enquête sur leur expérience des cambriolages et leur crainte d’en être victimes. L’étude porte sur toute l’année, tout en accordant une place centrale aux vacances d’été, période propice aux effractions.

    Réalisée pour Internorm auprès d’un échantillon national représentatif de 1000 Français, elle met en exergue quatre points distincts. D’abord, une peur croissante des Français à l’idée de laisser leur maison lorsqu’ils partent en vacances. Ainsi, plus des deux tiers (69%) se disent aujourd’hui inquiets pour leur logement quand ils partent en congé ou en week-end, soit un sentiment d’inquiétude plus répandu que celui que l’on pouvait mesurer il y a une quinzaine d’années (45% en 2006 selon l’Ifop).

    […]

     

    Faire l’objet d’un squat suscite aussi de fortes inquiétudes, que ce soit pour son logement principal (56%) ou pour sa résidence secondaire (72%). Et cette crainte de voir son logement principal squatté n’est pas l’apanage des riches. L’étude de l’Ifop révèle qu’elle affecte au contraire beaucoup plus les Français ayant un niveau de vie inférieur ou égal à 900 euros nets/mois (75%) que ceux ayant des revenus de plus de 2500 euros nets/mois (56%). «La médiatisation qui a été faite ces dernières années autour du squattage des résidences secondaires ou plutôt de la grande difficulté à déloger les squatteurs, a en grande partie créé l’angoisse», observe pour sa part Alain Bauer.

    Le climat d’insécurité qui est celui que nous connaissons ces derniers temps ne s’est pas construit sur rien. L’inquiétude est légitime et ne relève pas du phénomène de la rumeur

    Alain Bauer, professeur de criminologie au Centre national des arts et métiers (Cnam)
    […]

     

    Le Figaro via fdesouche

  • Plus de 50% des enseignants de moins de 30 ans sont pour le burkini, ainsi que des horaires réservés aux femmes dans les piscines municipales

    Publié par Guy Jovelin le 06 juillet 2021

    L’Observatoire de l’éducation de la Fondation Jean-Jaurès a réalisé avec l’Ifop une enquête permettant de mieux cerner la place que les enseignants accordent aujourd’hui aux religions à l’école, le sens qu’ils donnent à la laïcité, mais aussi leur point de vue sur le port des signes religieux par les différents acteurs (les élèves, les parents…) du système scolaire. Il s’agit du quatrième et dernier volet du Baromètre sur les enseignants publié par la Fondation depuis janvier dernier.

    Au regard de cette enquête menée auprès d’un échantillon représentatif d’enseignants des premier et second degrés, le corps enseignant apparaît imprégné d’une vision de la laïcité qui serait avant tout associée à la liberté de conscience et à une certaine tolérance à l’égard des manifestations de religiosité (par exemple, le voile des accompagnatrices) dans la société en général et à l’école en particulier.

    Méthodologie : Étude Ifop pour la Fondation Jean-Jaurès réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 10 au 17 décembre 2020 auprès d’un échantillon de 801 personnes, représentatif des enseignants des premier et second degrés en France métropolitaine.

     

    Ensemble des enseignants sondés :

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    Fondation Jean-Jaurès

     

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