Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2019


Ça alors !
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Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2019


Ça alors !
Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2019

1. Les meurtres en France sont en pleine augmentation. Heureusement, des actions fermes de police et de justice sont en cours pour juguler le problème, n’est-ce pas.
2. Voici une liste, sur quelques semaines, de ce qui se passe dans le pays. Tout porte à croire qu’il y a 20 ou 30 ans, le tableau aurait été sinon différent, en tout cas plus difficile à dresser. On pourra raisonnablement douter que le nombre de fusillades qui y avait alors lieu était aussi élevé. Si mon lectorat a des statistiques fiables, je suis intéressé.
12.07.2019, à Royan : 1 blessé
16.07.2019 à Stains : 2 morts
19.07.2019 à Paris : 1 mort
28.07.2019 à Ollioules : 3 morts
02.08.2019 à Nantes : 2 blessés. On notera au passage qu’« Il s’agit de la dixième fusillade sur la place Mendès France ou à ses abords immédiats depuis deux ans »
03.08.2019 à Nantes encore : 1 mort
03.08.2019 à Simandres : 2 blessés
05.08.2019 à Marseille : 1 mort
13.08.2019 à Draguignan : 2 blessés
15.08.2019 à Kingersheim : 1 mort, 2 blessés
20.08.2019 à Aulnay sous bois : plusieurs blessés sur un tournage de clip.
24.08.2019 à Aubervilliers : 1 mort et 1 blessé
25.08.2019 à Montpellier, Perpignan et Nîmes pour un total de 1 mort et plusieurs blessés.
28.08.2019 à Brest : 2 blessés.
Et sinon, dans la catégorie « On ne plaisante pas avec la nourriture en France », signalons la reprise en main très ferme de la qualité culinaire de certains quartiers par des habitants qui n’hésitent pas à remettre les choses au clair.
Heureusement que l’usage d’armes à feu est très strictement contrôlé en France. Quant aux armes blanches, heureusement de ce côté là, tout va bien.
Oups.

Source : ndf
Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2019
Dans les Yvelines, à Vernouillet précisément, la mairie et la communauté musulmane viennent de signer un accord pour transformer une chapelle contemporaine qui n’était plus utilisée en mosquée. Le Grand Remplacement ethnique et religieux est en marche…
Le Parisien évoque l’affaire dans son édition du 28 août dernier :
“Un accord signé entre la mairie et la communauté musulmane locale fait des vagues à Vernouillet. Il stipule que l’ancienne chapelle du parc, située au cœur de la cité, pourrait être définitivement transformée en mosquée. Les opposants ne décolèrent pas : pour eux, l’affaire a été discutée « en catimini ».
L’association culturelle franco-maghrébine Espoir qui compte environ 300 membres réclame un lieu de culte depuis près de 30 ans. Faute de salle de prière, ils se rassemblent déjà dans la chapelle désaffectée. « La communauté musulmane bénéficie d’une mise à disposition de ce lieu depuis 1998 et ce bail a été signé pour officialiser l’utilisation de l’équipement, explique Pascal Collado, le maire (SE). Cette communauté doit pouvoir exercer son culte. »
Une satisfaction pour l’association qui peut même éventuellement acquérir le site. L’idée d’aménager un véritable lieu de prière est déjà envisagée. « Le bâtiment est trop petit, un chapiteau a été installé sur le côté, indique-t-on à l’association. L’objectif est d’aménager une salle de prière pour les hommes et une autre pour les femmes. Un permis de construire sera élaboré dans ce sens ».
Alors que l’édifice n’est plus aux normes, il pourrait être rasé pour laisser la place à une nouvelle construction. « Nous accompagnerons la communauté musulmane et la mosquée sera limitée à l’emprise actuelle, prévient le maire. La volonté de l’association et de la ville est de réaliser un bâtiment à dimension locale ».
Reste que le sujet fait débat. Aucune information n’a filtré alors que la transaction a été signée en mai dernier. « Le maire veut cacher aux habitants l’accord qui a été pris juste avant les élections municipales anticipées », dénonce Marie-Hélène Lopez-Jolivet (LREM), chef de file du groupe d’opposition Vernouillet Rassemblé au conseil municipal.
L’ancienne maire (PS) de la commune redoute des tensions autour du futur édifice. « Nous avons cherché à obtenir des informations dans le cahier des décisions du maire, mais il n’y a aucun document, critique Marie-Hélène Lopez-Jolivet. Nous ne connaissons pas le contenu du bail avec option d’achat, ni les éléments concernant le projet de mosquée ». « Avant de prendre ce genre de décision, le maire aurait dû mener une campagne de concertation », acquiesce un habitant, visiblement surpris.
L’édifice est un bâtiment contemporain. Il est implanté dans un îlot de verdure au milieu des immeubles de la cité du Parc, représentant un total d’environ 800 logements construits en 1956 pour les ouvriers des usines automobiles. Le bailleur social de l’époque, qui était propriétaire de ce petit bâtiment, l’a cédé à la mairie et sa désacralisation remonte déjà à une vingtaine d’années.
La désacralisation d’un édifice religieux est soumise à une procédure précise. Depuis la loi de séparation de l’Eglise et de l’Etat promulguée en 1905, toutes les églises construites après cette date sont à la charge des organisations religieuses et appartiennent aux diocèses.
« La décision de désacraliser un édifice religieux revient au préfet uniquement sur demande de l’évêque, explique Bruno Valentin, évêque auxiliaire de Versailles. En cas d’avis favorable, la mairie prend la main. » Une municipalité peut être en droit de demander une désaffectation d’un tel bâtiment lorsque le culte n’y est plus célébré ou encore en raison de son état, mais aussi pour un changement de destination. « Pour témoigner la désacralisation, tous les éléments religieux, comme les statues ou l’autel, sont retirés après une dernière célébration liturgique, poursuit le prélat. Ensuite le bâtiment perd sa fonction religieuse. »
La démarche reste rare. En France, une poignée d’églises seulement sont devenues des mosquées ces dernières années à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), Graulhet (Tarn), Lille (Nord) et Nantes (Loire-Atlantique).”
Francesca de Villasmundo
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2019

Le vivre ensemble, oui ! Mais pas trop près… Après les journalistes gauchistes qui placent leurs rejetons dans des lycées privés pour éviter à leur progéniture la joie de côtoyer quotidiennement « les chances pour la France », les instituteurs qui préfèrent quitter leur appartement de fonction pour ne pas avoir à vivre dans un quartier trop bigarré.
Trouvé sur Le Parisien : « Lassés par le trafic de drogue, les instits ont fini par déménager. A Sevran, en bordure de l’école élémentaire Marie-Curie, au 8 rue Pierre-Brossolette dans le quartier Rougemont, un bâtiment d’appartements de fonction dédiés en partie aux enseignants… n’en abrite plus aucun. Virés par les dealers.
« Les deux derniers qui y habitaient sont partis dans le courant de l’année scolaire 2018-2019. Ils ont été relogés ailleurs dans la ville », confirme-t-on dans l’entourage du maire Stéphane Blanchet (SE).
Ce mardi matin, dans l’une des écoles de ce groupe scolaire, on nous confirme que « le trafic de drogue, le bruit à toute heure, le squat de certains appartements, l’insalubrité, ont eu raison de la patience de ces enseignants ». »
Source : contre-info
Publié par Guy Jovelin le 04 septembre 2019

Donné à 2 500 petits garçons en 2019, le prénom Mohamed se classe pour la première fois dans les vingt prénoms les plus populaires en France.
Le nom du prétendu Prophète a été le premier prénom donné en Angleterre et au Pays de Galles en 2015.
Mohammed était le premier prénom masculin d’Oslo en 2014.
A Berlin en 2018, le prénom qui a été le plus donné aux garçons a été Mohammed. A Brême Mohammed était en deuxième position.
Source : lesalonbeige