Publié par Guy Jovelin le 30 août 2019
Par Francois le 29/08/2019

Source : fdesouche
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Publié par Guy Jovelin le 30 août 2019
Par Francois le 29/08/2019

Source : fdesouche
Publié par Guy Jovelin le 29 août 2019

Six hommes ont été reconnus coupables d’une série d’infractions sexuelles liées à l’exploitation sexuelle d’adolescentes à Rotherham il y a plus de dix ans.
La Sheffield Crown Court a entendu les hommes, accusés d’avoir exploité leurs victimes entre 1998 et 2002.
Abid Saddiq, âgé de 38 ans, a été reconnu coupable de deux chefs de viol, cinq d’attentat à la pudeur et deux d’enlèvements d’enfants.
Sharaz Hussain, 35 ans, Masaued Malik, 35 ans, et Aftab Hussain, 40 ans, ont été déclarés coupables d’attentat à la pudeur.
Deux autres accusés qui ne peuvent pas être nommés pour des raisons juridiques ont été reconnus coupables de viol et d’attentat à la pudeur.
Au cours du procès de cinq semaines, le jury a appris comment les filles avaient été ciblées en raison de leur vulnérabilité et avaient reçu de l’alcool et des drogues avant que certaines ne soient violées par plusieurs hommes.
La violence était parfois utilisée pour qu’elles s’y soumettent
Les jurés ont également reconnu que Saddiq avait violé une jeune fille dans une ruelle à l’âge de 14 ou 15 ans, puis qu’il narguait la mère de cette dernière.
Le père de quatre enfants a admis avoir eu des relations sexuelles avec certaines des plaignantes, mais a affirmé qu’elles avaient l’âge légal et avaient consenti aux rapports.
Les condamnations sont les dernières en date dans le cadre d’une enquête majeure de la National Crime Agency (NCA), l’Operation Stovewood.
Cette dernière a examiné les abus et l’exploitation sexuels à Rotherham sur une période comprise entre les années 1997 à 2013.
L’agence a déclaré que de son point de vue, 1 510 adolescentes ont été exploitées dans la ville [qui compte environ 120.000 habitants] au cours de cette période.
Le responsable des enquêtes, Philip Marshall, a déclaré que ces hommes avaient exploité des filles vulnérables pour leur satisfaction sexuelle.
Kate Hurst, du ministère public, a ajouté: « Chacun de ces hommes savait que les filles étaient soit vulnérables soit mineures. Ils se fichaient totalement de savoir si elles étaient des enfants ou non. »
Les six hommes étaient tous en détention provisoire et devraient être condamnés [actuellement en attente de sentence] ce vendredi.
Traduction Fdesouche d’un article de la BBC
Publié par Guy Jovelin le 29 août 2019
Deux scandales actuels – abondamment débattus en dehors de France et à peu près ignorés chez nous (notre pays méritant plus que jamais l’appellation ironique de « Tchernobylistan » que l’un de mes amis lui avait naguère décernée !) – révèlent surabondamment le niveau de corruption des « élites ».
Le premier de ces scandales est évidemment l’affaire Epstein.
Jeffrey Epstein, milliardaire gauchiste juif américain, était emprisonné dans l’attente d’un procès pour trafic de mineurs (après avoir été déjà condamné en 2008 à 18 mois de prison pour des faits de prostitution de mineure !).
Il a été opportunément retrouvé pendu dans sa cellule.
Mais il était notoirement proche de nombreux puissants de ce monde et bon nombre d’observateurs disent à demi-mot que ce procès aurait pu être le procès de la face obscure des démocrates américains.
À peu près en même temps, en Italie, une trentaine de personnalités ont été interpellées. Elles sont soupçonnées d’avoir retiré des enfants à leurs parents (officiellement accusés de les maltraiter) pour les vendre à des foyers d’accueil – notamment LGBT –, où certains de ces enfants auraient été violés.
Ce coup de filet touche plusieurs politiciens du Parti démocrate, l’équivalent italien du Parti socialiste.
Il ne s’agit évidemment pas de dire que tous les socialistes sont des violeurs d’enfants.
Pas davantage qu’on ne saurait dire que tous les conservateurs sont exempts de ce genre de vice monstrueux.
Mais la « contre-culture » soixante-huitarde gauchiste a beaucoup fait pour répandre cette pestilentielle corruption, morale et financière, dans l’oligarchie.
En particulier, il y a quelque chose de sordide à ce que la lutte contre la maltraitance des enfants soit ainsi exploitée par certains cyniques pour constituer un vivier d’esclaves sexuels.
Et le fait que ces scandales soient pratiquement étouffés par les médias français n’est pas très rassurant sur la résistance profonde de la société devant ces horreurs.
Nous ne sommes hélas pas sortis de la révolution de mai 68 – qui a bel et bien triomphé, contrairement à ce que colporte une historiographie complaisante.
Le récent abaissement de la « majorité sexuelle » à 15 ans, les récents « débats » sur un prétendu « consentement » d’une jeune fille de 11 ans à des relations sexuelles avec un adulte, sont là pour le confirmer.
Depuis le début de l’histoire humaine, il y a toujours eu des vicieux. Mais il a fallu attendre notre glorieuse et triomphante modernité pour qu’on fasse des lois pour faciliter la vie de ces détraqués. Je ne suis pas sûr que ce soit un progrès !
Source : les4verites
Publié par Guy Jovelin le 29 août 2019

Les médias du système semblent découvrir que Yann Moix, qui fricote aujourd’hui avec BHL et le CRIF, avait un fameux passé dans les milieux révisionnistes et antisémites.

Pourtant, Alain Soral avait déjà dévoilé l’essentiel du dossier en juin 2012. Extrait marquant ci-dessous.
Source : medias-presse.info
Publié par Guy Jovelin le 28 août 2019
Les indicateurs conjoncturels de fécondité permettent comparer les taux fécondité par groupes sociaux. Ils permettent des analyses sur les années récentes à la différence de la descendance finale (nombre moyen d’enfants mis au monde par une génération de femmes au cours de leur vie, qui nécessite d’attendre qu’elles aient dépassé 50 ans).
En 2016, l’ICF des immigrées est de 2,72 enfants par femme et celui des non immigrées de 1,79 enfant par femme, soit un écart de 0,93 enfant par femme.
L’ICF total des femmes, immigrées ou non, est de 1,91 enfant par femme.
Sans les immigrées, le niveau de la fécondité en France en 2016 serait donc inférieur de 0,12 enfant par femme (1,91 moins 1,79). Le surcroît de fécondité des femmes immigrées mesuré d’après l’ICF se lit aussi au travers de la part des naissances de mères immigrées dans l’ensemble des naissances en France (19 % en 2019), qui est plus élevée que la part des femmes immigrées parmi la population féminine de 15 à 50 ans (12 %, cette proportion variant de 4 % à 16 % selon les âges).
NB : pour l’insee, un immigré est une personne résidant en France, née à l’étranger et de nationalité étrangère à sa naissance.