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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 344

  • Le président algérien Abdelmadjid Tebboune apporte son soutien au recteur de la Grande Mosquée de Paris qui organise des colonies de vacances en Algérie

    Publié par Guy de Laferrière le 29 juillet 2023

    Le président algérien  Abdelmadjid Tebboune a eu ce jeudi 27 juillet un entretien téléphonique avec le recteur de la Grande mosquée de Paris Chems Eddine Hafiz, a indiqué la présidence de la République dans un communiqué. Le chef de l’Etat a loué les efforts déployés par cette institution religieuse et salué la réussite de l’opération d’envoi par la Grande mosquée de Paris de 900 enfants de la communauté algérienne en France pour passer des colonies de vacances en Algérie cet été, selon le communiqué.

    Le président Tebboune a indiqué que cette opération permettra à « nos enfants qui vivent en France de découvrir l’Algérie, ses richesses historiques et patrimoniales », selon le communiqué.

    Le président de la République a exprimé son soutien total au recteur de la Grande mosquée de Paris en lui demandant de « reconduire prochainement l’opération colonie de vacances et poursuivre à l’avenir son travail au profit de la jeunesse dans le but de lui offrir les meilleures clés pour une vie harmonieuse entre l’Algérie et la France. »

    Le 17 juillet, un groupe de 160 enfants de la communauté algérienne en France est arrivé à Oran pour passer 12 jours de vacances au bord de la mer à Mostaganem.

    Une initiative destinée à permettre aux familles algériennes installées en France aux revenus modestes d’envoyer leurs enfants pour des vacances en Algérie, a expliqué le président de la Fédération du nord de la France de la grande Mosquée de Paris, Abdelkader Aoussedj à l’agence officielle APS.

    Cette initiative « renforce les liens des nouvelles générations de la communauté avec leur pays », a dit un autre représentant de la Grande Mosquée de Paris.

    TSA via fdesouche

  • Israël : églises vandalisées, statue du Christ détruite, cimetière protestant profané, etc. ; les violences à l’encontre des chrétiens se multiplient

    Publié par Guy de Laferrière le 29 juillet 2023

    (…) Depuis quelques mois, les actes d’intimidation, de menace et de violences à l’encontre des chrétiens de Terre Sainte se multiplient, en particulier sur le territoire israélien. Des églises ont été vandalisées, une statue du Christ détruite, un cimetière protestant profané et, plus récemment, des extrémistes juifs ont tenté d’occuper des églises dans la ville de Haïfa. Bien qu’il s’agisse d’une petite minorité, qui ne représente, ni ne bénéficie du soutien de la majorité des Israéliens, ces extrémistes juifs risquent de provoquer une explosion de violence, contre laquelle s’élèvent déjà des voix de responsables religieux de Terre Sainte, chrétiens et non-chrétiens.

    Votre Béatitude, depuis quelques mois, on assiste à une recrudescence des intimidations et des violences à l’encontre des chrétiens en Terre Sainte, notamment sur le territoire d’Israël. Quelle est la situation?

    Malheureusement, c’est vrai, nous avons assisté à une augmentation des attaques au cours de cette dernière période. Disons que ces affrontements, ces crachats, ces accusations, ces insultes, ne sont pas nouveaux. Mais l’augmentation exponentielle de ces phénomènes, surtout dans la région de Jérusalem, dans la Vieille ville, est devenue un sujet de préoccupation et une question à l’ordre du jour qui inquiète à la fois la communauté chrétienne et les autorités israéliennes. Ces dernières disent faire tout ce qui est en leur pouvoir pour empêcher cela, sans grand succès jusqu’à présent. (…)

    Vatican News

    (…) « Ce n’est nullement une coïncidence si la légitimation de la discrimination et de la violence dans l’opinion publique et l’environnement politique israélien actuel se traduit aussi par des actes de haine et de violence contre la communauté chrétienne », a affirmé le custode de Terre Sainte, frère Francesco Patton dans un communiqué condamnant le dernier incident et appelant le gouvernement israélien à garantir la sécurité des différentes communautés et minorités religieuses. (…)

    SOS Chrétiens d’Orient

  • Déclin de la France : neuf millions de Français « en situation de privation matérielle et sociale » en 2022

    Publié par Guy de Laferrière le 29 juillet 2023

    lesmoutonsrebelles

    La pauvreté n’existe plus en France, il faut maintenant dire « privation matérielle et sociale ». Selon une récente étude menée par l’Insee, la proportion de personnes en situation de « privation matérielle et sociale » a connu une hausse significative en France en 2022. Ce phénomène inquiétant, qui touche désormais 14,0 % de la population vivant en logement ordinaire, soulève des préoccupations quant à la précarité croissante au sein de la société française.

    Une mesure alarmante de privation matérielle et sociale

    Début 2022, pas moins de 9 millions de personnes, soit 14,0 % de la population, se trouvent en situation de privation matérielle et sociale, selon les données de l’Insee. Cet indicateur vise à identifier les personnes incapables de couvrir les dépenses essentielles de la vie quotidienne, comme le chauffage du logement, l’achat de vêtements neufs, l’accès à Internet, ou encore les sorties sociales. Cette proportion est en nette augmentation par rapport à 2020, où elle s’élevait à 13,4 % avant la crise sanitaire, et atteint ainsi son plus haut niveau depuis 2013, année où cette mesure a été initiée.

    Impact des crises sanitaire et économique

    Cette recrudescence de la privation matérielle et sociale contraste avec la baisse observée début 2021, alors que les mesures de confinement et les restrictions liées à la crise sanitaire avaient allégé les dépenses des ménages et amélioré temporairement leur situation financière. Cependant, en 2022, avec le retour à des habitudes de vie antérieures à la crise et l’augmentation de l’inflation, le pouvoir d’achat des ménages a été érodé, accentuant ainsi les difficultés économiques.

    Une précarité qui touche particulièrement les zones rurales

    La hausse des prix de l’énergie a un impact plus marqué dans les zones rurales, où les dépenses en chauffage et carburants sont plus élevées. Cette augmentation est particulièrement notable dans les communes rurales, où la proportion de personnes en situation de privation matérielle et sociale a augmenté de 2 points depuis 2020, tandis qu’elle a diminué dans les grands centres urbains. Malgré cela, les territoires ruraux affichent toujours les taux les plus bas de privation matérielle et sociale (11 %) par rapport aux territoires urbains (15 à 16 %) en 2022.

    Les familles monoparentales et nombreuses les plus touchées

    La précarité matérielle et sociale touche particulièrement les familles monoparentales et les familles nombreuses. Début 2022, 3 personnes sur 10 vivant au sein de familles monoparentales sont en situation de privation matérielle et sociale, tout comme 2 personnes sur 10 au sein des familles nombreuses. Ces taux ont augmenté respectivement de 1,3 point et 0,9 point depuis 2020. Ces chiffres reflètent une réalité alarmante pour ces types de ménages, qui voient leur situation financière se dégrader.

    Conséquences sur le bien-être et l’inclusion sociale

    Outre les privations matérielles, les personnes en situation de précarité font état d’un mal-être plus marqué que les autres adultes. Elles se sentent plus fréquemment isolées et exclues de la société. Cette situation alarmante souligne la nécessité de mettre en place des mesures d’accompagnement pour soutenir ces individus vulnérables.

    L’augmentation de la privation matérielle et sociale en France en 2022 est un sujet préoccupant qui nécessite une action concertée pour soutenir les personnes les plus vulnérables. Il est essentiel de mettre en place des politiques et des programmes visant à améliorer leur situation financière, leur bien-être et leur inclusion sociale. Ce défi socio-économique appelle à une mobilisation collective pour réduire les inégalités et assurer une meilleure qualité de vie pour tous les citoyens.

    Source

  • Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Publié par Guy de Laferrière le 29 juillet 2023

    Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Nul n’est au-dessus des lois, ni la police, ni le ministre de la justice

    Mais contrairement aux policiers, Éric Dupond-Moretti n’a pas été incarcéré dans l’attente de son procès…

    Malgré ses huit pourvois, le ministre de la Justice, mis en cause pour prise illégale d’intérêts, sera jugé par la Cour de justice de la République.

    L’assemblée plénière de la Cour de cassation a validé la saisine régulière de la commission de l’instruction de la CJR, pour prise illégale d’intérêts. Éric Dupond-Moretti est notamment accusé d’avoir profité de sa fonction de ministre pour régler des comptes avec trois ex-magistrats du Parquet national financier (PNF) et un ex-juge d’instruction monégasque auxquels il s’était opposé dans sa première vie d’avocat.

    L’audience devrait se tenir à la fin de cette année ou début 2024.

     

    Source : lesalonbeige

  • Vers le payement par identification biométrique ou reconnaissance faciale ?

    Publié par Guy de Laferrière le 28 juillet 2023

    payement-par-reconnaissance-faciale-ou-biometrique

    Il y a un mois, le Sénat approuvait un projet de loi autorisant les enquêteurs judiciaires et les services de renseignement à utiliser l’identification biométrique dans les espaces publics pendant trois ans.

    La reconnaissance faciale et l’identification biométrique ont le vent en poupe, promues par le Forum économique mondial qui admire le système de crédit social à la chinoise.

    Cependant, il faut bien constater que le calendrier n’est pas toujours respecté.

    Souvenons-nous qu’en janvier 2018, certains professionnels des systèmes bancaires affirmaient dans les pages économiques de grands journaux qu’authentifier ses paiements par scan de l’iris de l’œil ou par reconnaissance faciale serait notre quotidien dès le printemps 2019. Tout début janvier 2018, une étude avait même été menée par l’Université d’Oxford, prétendant que 93% des consommateurs se disaient prêts à passer à l’identification biométrique pour leurs paiements.

    Force est de constater que quatre ans après l’échéance annoncée, il est plus que rare de scanner son iris pour effectuer un payement. Même si la technique existe, elle n(a pas connu un grand engouement.

    Auparavant, les mêmes professionnels des systèmes de payement avaient annoncé pour fin 2016 l’arrivée du paiement par selfie, par reconnaissance faciale en somme et par empreinte. Le consommateur devait pour ce faire télécharger une application pour enregistrer le scan de son empreinte ou de son visage. Là encore, l’agenda a été plus que perturbé.

    Mais qui dit retard ne veut pas dire abandon et les développements récents en matière de reconnaissance faciale font bien craindre que l’échéance approche.

     

    Source : medias-presse.info