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Le Parti de la France Occitanie Guy Jovelin - Page 342

  • Elections législatives aux Pays-Bas

    Publié par Guy de Laferrière le 24 novembre2023

    Thomas Joly

    Lors des élections législatives du mercredi 22 novembre, au scrutin proportionnel sur une liste nationale, le parti patriotique néerlandais PVV [Parti Pour la Liberté], mené par Geert Wilders, est devenu le premier parti des Pays-Bas avec 23,4 % des voix. Il n’en a pas fallu davantage aux médias aux ordres pour hurler au péril d’extrême droite, fasciste, raciste, islamophobe, aux portes du pouvoir, etc… Si au moins tout cela était, un minimum, vrai !
    La réalité est qu’un parti patriotique en tête d’un scrutin, en nette progression certes, au milieu de l’hystérie hostile du reste de la classe politique, aura bien du mal à former un gouvernement de coalition. Sa performance relative risque même d’aider tous les autres à s’unir, au nom d’un péril imaginaire pour la démocratie. Le PVV ne dispose que de 37 sièges. Or, il en faudrait 76, seuil de majorité des 150 sièges de la chambre, pour former un gouvernement. Si les 3 petits partis patriotiques voulaient bien s’allier avec lui, ce qui n’est d’ailleurs pas si évident -le parti agrarien pourrait refuser en particulier, avec ses 7 sièges-, il ne disposerait que de 13 sièges supplémentaires, soit 50 sièges. En face, les libéraux, les socialistes, les écologistes, pourraient donc reconstituer une majorité alternative ; pour le pire, ils ne sont pas si éloignés les uns des autres, et nettement plus proches entre eux, européistes, mondialistes, que du PVV. Les 2/3 des Néerlandais ont toujours très mal voté, il faut bien le constater.
    Ce que propose le PVV va dans le bon sens. Cesser immédiatement toute immigration, légale ou non, aux Pays-Bas, et renvoyer les nombreux délinquants étrangers. Mais ceci resterait par hypothèse, insuffisant pour sauver les Pays-Bas. Comme le rappelle aussi la déception immense du gouvernement Meloni en Italie, il y a parfois très loin entre la fermeté radicale sur l’invasion migratoire promise durant les élections, et l’application pratique sur les mois suivants, nulle. Ce qui sauverait les Nations européennes de la destruction à court terme serait l’inversion massive des flux migratoires, et pas un simple arrêt et une politique sécuritaire ferme. Sur le long terme, il faudrait favoriser les familles autochtones authentiques, stables, seul cadre crédible pour une relance de la natalité. Or, le PVV est un champion de la culture LGBTQI+, ce qui ne va dans le bon sens sur ce plan. Le PVV est encore plus progressiste avancé que le RN décadent de Marine Le Pen, dont il est un modèle historique, pour le pire. Pour sauver vraiment les Pays-Bas, il faudrait plutôt un correspondant du Parti de la France, qui n’existe pas hélas, du moins à un niveau électoral significatif.
     
    Scipion de Salm - Membre du Bureau politique du Parti de la France
     
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  • Talence : Un couple d’handicapés victime d’une agression “sans raison” d’une particulière violence, Abderrahmane et Wael, déjà bien connus de la justice, condamnés à 3 ans de prison

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2023

    « Ils étaient tranquilles, chez eux, et ont été agressés sans raison. Neuf mois plus tard, ils sont toujours traumatisés », expliquent Mes Laury Costes et Stéphanie Jean, les avocates d’un couple de personnes handicapées âgées d’une quarantaine d’années, victimes d’une agression d’une particulière violence, dans leur appartement, en pleine nuit, à Talence, en février dernier. Après plusieurs mois d’investigations, les enquêteurs sont remontés jusqu’à trois suspects.

    Âgés de 17 ans pour l’un et 19 ans pour les deux autres, ils ont été interpellés à Toulouse, Bordeaux et Talence, le 14 novembre. Les deux majeurs, Abderrahmane Ben Lahssen et Wael Hamoudi, étaient renvoyés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, ce 17 novembre.

    Les faits datent du 21 février. Ce soir-là, les victimes passent un moment chez une voisine, avant de rentrer chez elles, vers minuit. Le couple s’apprête à se coucher quand on frappe à la porte. La femme ne se méfie pas, pense que c’est la voisine et ouvre. Trois hommes masqués, gantés et armés d’un pistolet se jettent sur elle, la plaquent contre un mur et l’étranglent. « Plus tu cries, plus on serre », la menacent-ils, pour la faire taire.

    (…)

    Sud Ouest via fdesouche

  • Rassemblement pour Thomas interdit à Lyon

    Publié par Guy de Laferrière le 23 novembre 2023

    Rassemblement pour Thomas interdit à Lyon

    La préfecture du Rhône vient d’interdire la manifestation organisée pour Thomas à Lyon. De nombreux Français voulaient rendre un hommage à la victime de la racaille à Crépol…

    Mais la République française a ses priorités. Elle marche contre l’antisémitisme à la suite de quelques graffitis, et surtout pour témoigner son soutien à Israël. Mais elle n’a pas d’oreille pour la grande majorité des Français.

     

    Source : medias-presse.info

  • Assassinat odieux du jeune Thomas à Crépol

    Publié par Guy de Laferrière le 22 novembre 2023

    Thomas Joly

    Le plus révoltant dans l'assassinat odieux du jeune Thomas à Crépol c'est que les auteurs - surtout s'ils sont mineurs - seront condamnés à des peines dérisoires par nos juges rouges. Dans une société saine, ils seraient exécutés en place publique et leurs familles chassées du pays.

    Thomas Joly - Président du Parti de la France
     
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  • Argentine : Javier Milei, un nouveau Trump ou un Bolsonaro danseur de Tango ?

    Publié par Guy de Laferrière le 21 novembre 2023

    21 Novembre 2023, 06:02am | Publié par Thomas Joly

    L’heure serait-elle au « dégagisme » ? Après l’arrivée au pouvoir de Robert Fico en Slovaquie, allié stratégique de Victor Orban en Hongrie, la défaite au Libéria de l’ancien footballeur Georges Weah  - pourtant très populaire -, face à Joseph Boakai ancien vice-président , le succès incroyable du trouble-fête Javier Milei à Buenos-Aires, inaugure-t-elle une ère nouvelle ? Celle où les pachydermes des  clivages politiques traditionnels – gauche/droite -  les verrait  reconduits, les uns après les autres, dans leurs zoos respectifs ? La troisième voie empruntée par beaucoup de leurs outsiders n’est pas forcément la bonne, on le voit en France avec  le fameux «  en même temps »  de Macron, qui a ses limites. Le candidat  anti-système  argentin, se revendiquant même comme « anarcho-capitaliste », a pris la tronçonneuse comme emblème, tout un symbole ! Il est  considéré comme étant « climatoscpetique » - ce qui, à mes yeux,  est un compliment -, et a affirmé sa volonté de couper dans les dépenses publiques jugées inutiles. Mais l’Argentine n’est pas la France. Voici un pays au peuple très fier, qui fut la 5 ème économie mondiale au temps du Péronisme , quoiqu’on en pense et qu’on en  dise .

    Un déclin irréversible ?

     Il  est sur la pente glissante du déclin, en train de dévisser, comme notre chère France macronienne  qui est, elle aussi, sur le toboggan…Ce grand pays d’Amérique latine , aux paysages immensément variés – des forêts du nord, aux terres gelées du Sud, en passant par les Andes  - hier infranchissables,  et l’immense océan  vert qu’est la Pampa -, a connu moult bouleversements politiques. Du péronisme - un nationalisme social très prononcé, coloré de césarisme -, aux rituels duels conservateurs/ sociaux-démocrates,  en passant par la dictature militaire, ce pays semble être arrivé au bout de toutes les expériences  politiques possibles. Aux années Kirchner – Nestor et sa femme, Cristina, une longue parenthèse d’une quinzaine d’années, marquée par une effrayante corruption –, a succédé la  sempiternelle alternative gauche/droite, avec Mauricio Macri, ancien maire de la capitale (conservateur), et Alberto Fernandez (social-démocrate) entrant chacun à leur tour, à  la Casa rosada.

    Milei, le bulldozer

    Javier Milei 53 ans, bien élu, apparait comme un véritable bulldozer, un « renverseur de tables », un empêcheur de tourner en rond. C’est dire si la nation de Perón, de Fangio et du tango, en a assez des jeux politiciens néfastes, conduisant le pays  au tombeau. Un pays qui n’offre plus à sa jeunesse que l’espoir d’une incertaine émigration, 68 % de la tranche d’âge des 18 à 29 ans exprimant ce choix ! Une invraisemblable inflation de 142 % - !!!!-, une monnaie, le peso, totalement décrédibilisée au point que le nouveau venu n’écarte pas la solution du Dollar, comme d’autres pays latino-américains l’ont tenté. Buenos-Aires nous fait penser  à Barcelone ou à Paris, avec ses beaux immeubles haussmanniens,  trop concurrencés à mon goût, par l’architecture standard  mondialisée, qui fait que de Singapour à Houston,  en passant par Londres, on retrouve les mêmes buildings de verre, d’acier et de béton. Milei passe pour un Trump argentin, d’ailleurs le challenger de Jo Biden ne s’y est pas…  « trumpé », en le félicitant chaudement pour son incroyable victoire : 55,6 % des suffrages contre 44,3 % à Sergio Massa, son concurrent de centre-gauche, pourtant arrivé en tête au premier tour. Un score qui place le nouveau président de la Nation – on ne dit pas là-bas président de la République – à la première place sur le podium des président les mieux élus, depuis la chute du régime des généraux. La politique de Massa n’a pas évité à l’Argentine de dévisser, avec une dette colossale, et un prêt du FMI de 44 milliards  de dollars à rembourser au prix de sacrifices énormes.  Avec un salaire  mensuel moyen de 378 euros, et des familles qui ont recours au troc pour survivre, on commence à toucher le fond. Classé comme « libertarien », c’est à dire comme un apôtre d’une liberté totale, allant bien au-delà du simple  libéralisme -  quoique hostile à l’avortement-, cet économiste  iconoclaste remettra-t-il le train argentin sur les rails de l’abondance, alors que quatre citoyens sur dix sont frappés par une hideuse pauvreté ? Echappera-t-il au côté un peu « clownesque » de sa campagne ? C’est le souhait que l’on peut formuler pour ce pays latin, « blanc » à 80 %, comme l’Uruguay voisin.  « Aujourd’hui commencent la fin de la décadence (…) et la reconstruction de l’Argentine », a déclaré Milei devant des milliers de partisans réunis à son quartier-général de campagne, dans la capitale. Puisse-t-il être entendu…

    Jean-Claude Rolinat - Membre du Bureau politique du Parti de la France